Demi-tour
Leslie Newbigin, qui œuvre depuis longtemps comme missionnaire en Inde, nous raconte sa visite d’un village du diocèse de Madras.
Vivre dans des tentes
Au Minnesota, cet État connu pour ses nombreux lacs magnifiques où j’ai grandi, j’aimais beaucoup faire du camping et admirer les merveilles de la création de Dieu.
Est-ce qu’on est au ciel ?
Dans le drame fantastique Jusqu’au bout du rêve, Ray Kinsella entend une voix mystérieuse venant d’un champ de maïs lui murmurer : « Si tu le bâtis, il viendra sûrement ». Après un certain temps, il comprend que la voix lui demande de construire un terrain de baseball au milieu de son champ de maïs.
Retrouvailles
En mars 2015, une Espagnole a publié sur Facebook des photos d’un garçon dont elle s’était occupée en tant que parent de famille d’accueil. Elle avait rencontré le jeune garçon environ 30 ans plus tôt alors qu’elle était bénévole dans un centre jeunesse.
Quand nous voyons Jésus
L’un de mes cantiques préférés est When we see Christ (Lorsque nous verrons Christ). Le refrain déclare que toutes nos difficultés et nos épreuves en auront valu la peine lorsque nous verrons Jésus face à face. En vue de ce jour, nous pouvons vivre avec courage pour lui aujourd’hui.
Pas un seul passereau
Ma mère, si digne et si décente durant toute sa vie, était maintenant alitée dans un hospice, dont un vieillissement débilitant la rendait captive. Sa respiration était difficile. Son état en déclin contrastait avec la superbe journée de printemps qui, par la fenêtre, l’invitait à sortir prendre l’air.
Observateur du ciel
Bouleversé par des problèmes au bureau et à la maison, Matt a décidé d’aller faire une promenade à pied. L’air printanier parfumait la soirée. Tandis que le ciel infini passait du bleu sombre au noir, un épais brouillard s’est lentement installé. Les étoiles ont commencé à scintiller, annonçant la levée de la pleine lune à l’Est. Pour Matt, cet instant était profondément spirituel en ce sens qu’il se disait : Il est là. Dieu est là, et il veille sur tout ça.
Le parfum du ciel
Les insectes l’adorent et les humains la détestent. C’est l’odeur âcre de la rafflésie, une plante qui peut peser plus de sept kilogrammes et dont la fleur peut mesurer plus d’un mètre de diamètre ! Ce gigantesque végétal émet une odeur de chair ou de viande en décomposition, que les scarabées et les mouches adorent. Bien que sa floraison attire les insectes, elle repousse les gens. Son odeur est si nauséabonde qu’elle a été surnommée la « fleur cadavre ».
Le meilleur reste à venir
Pour notre famille, le mois de mars signifie plus que la fin de l’hiver, mais aussi l’arrivée du grand spectacle du basketball universitaire, « La folie de mars ». En tant que fans inconditionnels, nous regardons les tournois en encourageant nos équipes préférées avec enthousiasme. Si nous allumons la télé un peu d’avance, nous avons la chance d’écouter les commentateurs parler du match à venir et de voir parfois les joueurs faire des tirs au panier et des exercices d’échauffement avec leurs coéquipiers.
Des larmes au ciel ?
Une de mes chansons préférées est la gagnante d’un Grammy en 1993, Tears in heaven. C’est une qu’Eric Clapton a écrite pour l’aider à guérir de sa douleur après la mort accidentelle de son fils de quatre ans. Plongé dans la tragédie et le chagrin, Eric exprime son espoir de revoir son fils un jour. Il parle d’un endroit hors de notre monde, un endroit loin des pleurs – le ciel : « Derrière la porte se trouve la paix, j’en suis sûr, et je sais qu’il n’y aura plus de larmes au ciel. » Cette chanson m’a profondément ému. Tout comme Clapton, nous connaissons tous parfois des moments déchirants, des moments qui nous font soupirer après le jour où nous ne pleurerons plus jamais.