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Perdu, mais retrouvé

Lorsque nous avons découvert que ma belle‑mère avait disparu en faisant des courses avec un proche, ma femme et moi nous sommes affolés.

Le bon Berger

Assise avec mon mari dans la salle d’hôpital, j’attendais, angoissée. Notre jeune fils subissait une chirurgie correctrice de l’œil qui me tourmentait. J’ai alors essayé de prier, pour demander à Dieu de me calmer.

Une brebis perdue

Phillip Keller, berger et auteur du livre Un berger médite le Psaume 23, a écrit que les brebis doivent avoir un berger. Elles ont besoin de plus d’attention et de soins méticuleux que tout autre animal de bétail. N’ayant aucune aptitude de défense ni d’attaque, elles sont inexorablement vulnérables aux attaques des prédateurs.

Possible

Beaucoup de gens ont été surpris lorsque ma soeur a quitté son emploi bien rémunéré au gouvernement après y avoir travaillé pendant 14 ans. Je crois que Dieu l’a dirigée vers cet emploi (une longue histoire), qu’il a utilisé ce travail pour la former et l’équiper (une autre longue histoire) et qu’il l’a appelé à le quitter (encore une très longue histoire). En fait, elle a quitté son travail sans en avoir trouvé un autre. Elle n’a pas eu le temps de réfléchir, car elle avait plusieurs projets à terminer et à remettre. Par la grâce de Dieu, elle ne s’est toutefois pas inquiétée. Ma soeur était convaincue que Dieu, son Berger, allait pourvoir à ses besoins (PS 23.1).

Un Berger pour la vie

En changeant d’année scolaire, mon fils s’est écrié : « Je veux avoir mon professeur pour toujours ! » Nous avons dû l’aider à comprendre que le changement de professeur fait partie de la vie. Il se peut que nous nous demandions : Y a‑t‑il une seule relation qui dure toute une vie ?

L’anneau de l’invisibilité

Le philosophe grec Platon (vers 427 à 348 av. J.‑C.) a découvert une façon imaginative d’éclairer le côté sombre du coeur humain. Il a raconté l’histoire d’un berger ayant découvert par hasard un anneau d’or que l’on avait profondément enfoui dans le sol. Un jour, un terrible tremblement de terre a ouvert un tombeau très ancien aménagé dans le flanc d’une montagne, révélant ainsi l’anneau à ce berger. Or, celui‑ci a aussi découvert accidentellement que l’anneau concerné détenait le pouvoir magique d’accorder à la personne qui le portait de devenir invisible chaque fois qu’elle le désirait. En réfléchissant à l’invisibilité, Platon s’est demandé : Si les gens n’avaient à se soucier ni de se faire prendre en flagrant délit ni de se faire punir, résisteraient‑ils à la tentation de mal agir ?

Quelqu’un à célébrer

De nombreuses scènes de la Nativité illustrent les mages en visite auprès de Jésus à Bethléhem en même temps que les bergers. D’après l’Évangile selon Matthieu, le seul livre biblique où cette histoire nous est racontée, les mages sont pourtant venus auprès de lui ultérieurement. Jésus n’était plus alors dans l’étable d’une auberge, mais dans une maison. Matthieu 2.11 nous indique ceci : « Ils entrèrent dans la maison, virent le petit enfant avec Marie, sa mère, se prosternèrent et l’adorèrent ; ils ouvrirent ensuite leurs trésors, et lui offrirent en présent de l’or, de l’encens et de la myrrhe. »

Ai‑je du prix ?

Je fais la queue à la caisse d’un supermarché du quartier en regardant autour de moi. Je vois alors des adolescents à la tête rasée et aux anneaux dans le nez en train de contempler les friandises ; un jeune professionnel en train d’acheter un steak, une botte d’asperges et une patate douce ; une aînée en train d’hésiter entre les pêches et les fraises. Dieu connaît‑il tous ces gens par leur nom ? Ont‑ils réellement du prix à ses yeux ? Voilà ce que je me demande.

Comme des brebis

Lorsque je vivais avec mon grand‑père dans le nord du Ghana, je devais faire paître des moutons. Chaque matin, je les conduisais dans les pâturages et je les ramenais avant la tombée de la nuit. C’est ainsi que j’ai remarqué pour la première fois à quel point les moutons pouvaient être têtus. Chaque fois qu’ils voyaient une ferme, par exemple, leur instinct les conduisait tout droit sur elle, ce qui m’a occasionné bien des ennuis auprès des fermiers.

Le Dieu de ma force

Personne n’aurait pris les soldats babyloniens pour des gentilshommes, car ces hommes impitoyables, résilients et cruels s’attaquaient aux autres peuples comme l’aigle fond sur sa proie. Puissants, mais aussi arrogants, ils idolâtraient presque leurs aptitudes à guerroyer. En fait, la Bible dit au sujet du peuple de Babylone : « Sa force à lui, voilà son dieu ! » (HA 1.11.)