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Ne pas se réjouir

Les Akans du Ghana ont un proverbe : « Le lézard ne s’emporte pas tant contre les garçons qui lui ont lancé des pierres que contre ceux qui en ont été témoins et se sont réjouis de son malheur. » Se réjouir du malheur d’une personne, c’est y participer ou même lui souhaiter du mal.

Recherchés

Au Moyen-Orient, là où la culture bédouine est bien vivante, vous trouverez des bergers qui s’occupent de leurs moutons avec beaucoup de tendresse et de vigilance. J’ai déjà observé certains de ces hommes pendant qu’ils travaillaient et j’ai été étonné de voir la douceur avec laquelle ils prennent soin leur troupeau. Ils protègent leurs amis laineux contre les tempêtes et les prédateurs, les maladies et la faim. Et si l’une des créatures à la toison laineuse vient à disparaître, ils la cherchent jusqu’à ce qu’ils la trouvent.

Il est écrit

Lorsqu’il s’agit d’assembler des choses, objets électroniques, meubles, etc., mon fils et moi préconisons des approches différentes. Steve est beaucoup plus du type « mécano » ; il fait donc fi du manuel d’instructions et se met directement au travail. Il peut avoir presque fini tandis que je suis toujours en train de lire les avertissements du fabricant.

Se noyer dans l’amour

J’ai récemment baptisé un membre d’âge scolaire de mon Église dans une rivière du coin. Son père s’est avancé dans l’eau avec moi, et nous tenant de chaque côté de son fils, nous l’avons immergé et sorti de l’eau fraiche et purifiante. Le père rayonnait pendant toute la sainte cérémonie. C’était le baptême de son fils, mais il était évident qu’il éprouvait autant de joie que lui.

Rater sa chance

J’ai entendu les paroles les plus tristes aujourd’hui. Deux chrétiens parlaient d’un sujet sur lequel ils ne s’accordaient pas. Le plus âgé des deux avait pris un air suffisant. Se servant de l’Écriture comme d’une arme, il accusait l’autre de tout ce qu’il considérait comme mal chez lui. Le plus jeune semblait fatigué du sermon, fatigué de l’autre et découragé.

L’amour en premier

Un soir, mon amie m’a fait voir l’une des trois plaques décoratives qu’elle devait fixer au mur de son salon. « Tu vois, j’ai déjà l’Amour », me dit-elle en me montrant la première plaque. « La Foi et l’Espérance ont été commandées. »

Vivre d’amour

Tout récemment, je fouillais dans de vieux fichiers stockés sur un disque dur lorsque je suis tombé sur dix minutes de vieux messages vocaux de Wyatt et Seth alors âgés de trois et quatre ans. Mes enfants avaient l’habitude de me passer des coups de fil lorsque j’étais au travail ou parti en voyage. Une petite voix toute jeune bruissait : « Papa, je t’aime. Pourrons-nous aller faire une promenade à vélo lorsque tu seras de retour à la maison ? » Mon message préféré est celui où Wyatt répète en staccato : « Je-t’aime-papa. Je-t’aime-papa. Je-t’aimepapa. » En me remémorant ces beaux jours mes yeux se sont remplis de larmes, des larmes nées d’un amour intense.

Le privilège de l’amour

Il y a trois jours, mon mari et moi avons clos un chapitre de notre vie. Le ministère de la jeunesse a été mon créneau durant mes 18 années de mariage, et depuis plus longtemps encore pour mon mari. En nous préparant à nous occuper de l’implantation d’une Église, nous avons fait une longue série d’adieux : une dernière retraite jeunesse, un dernier banquet de Noël et un dernier service jeunesse. L’au revoir final et le plus difficile a eu lieu lundi soir.

Ses enfants

Deux frères chinois vivent avec nous le temps de leurs études aux États-Unis. Puisque nous avons déjà trois fils, ma femme et moi appelons Dongyao et Dongpeng nos « fils chinois ». Ils ont des parents aimants en Chine, mais nous nous efforçons de les aimer aussi. Nous avons maintenant cinq enfants !

Pas étonnant !

Il est parfait pour toi », m’a dit mon amie. Elle parlait d’un homme qu’elle venait de rencontrer. Elle m’a décrit son regard aimable, son sourire plaisant et son coeur en or. Quand je l’ai rencontré, je suis tombée d’accord. Aujourd’hui, il est mon mari ; pas étonnant que je l’aime !