Un adepte pour la vie
Cade Pope, un garçon de 12 ans de l’Oklahoma, a posté 32 lettres écrites à la main – une à chacun des dirigeants d’une équipe de la Ligue nationale de football (NFL) des États‑Unis. Cade y disait : « Ma famille et moi aimons le football. Nous jouons au football imaginaire et regardons [les] matchs tous les weekends. […] Je suis prêt à choisir une équipe de la NFL que j’encouragerais toute ma vie ! »
Les portes de l’adoration
En entrant dans certaines des plus grandes villes du monde, on peut trouver de célèbres portes comme la Brandebourg (Berlin), la Jaffa (Jérusalem) et les Downing Street (Londres). Or, que ces portes aient été construites dans un but défensif ou cérémoniel, elles représentent toutes la différence entre se trouver dans ou hors de certains quartiers. Certaines sont ouvertes ; d’autres sont fermées à tous, sauf à quelques personnes.
Ce que Dieu a accompli
Récemment, j’ai eu le privilège de prendre la parole dans un camp d’été pour garçons de neuf à douze ans. Au cours de la semaine, le Saint-Esprit a agi, et douze campeurs ont reçu Jésus comme leur Sauveur. Parmi eux se trouvait un garçon de neuf ans qui s’est approché de moi lors du dernier soir et qui m’a dit : « Vous avez changé ma vie ! » Je lui ai souri et lui ai répondu : « J’en suis heureux, mais c’est Dieu qui a réellement changé ta vie ! » Je savais que Dieu avait accompli son oeuvre dans le coeur de ce garçon.
Hoo‑ah !
Le « hoo‑ah » des militaires américains constitue une réponse gutturale que les troupes aboient pour exprimer leur approbation. Son sens initial s’est perdu au cours de l’Histoire, mais certains disent qu’il provient d’un ancien acronyme : HUA – Heard, Understood and Acknowledged (entendu, compris et reconnu). Je l’ai entendu pour la première fois durant ma formation de base.
Se renier soi-même
Un pasteur plein de sagesse confiait ceci à sa nouvelle directrice de louanges : « J’espère que vous ne jouerez jamais un certain style de musique dans notre église. » Elle saisit un stylo et lui demanda : « Quel est-il ? » Il répondit : « Je ne vous le dirai jamais. Si nous insistons tous pour faire les choses à notre manière, nous ne chanterons plus rien. »
De loin ?
From a distance », cette chanson pour laquelle Bette Midler a remporté le Grammy de la Chanson de l’année en 1991, décrit ce à quoi ressemble la Terre de loin : « De loin, le monde est bleu et vert […] l’harmonie règne […] Personne n’est dans le besoin. Il n’y a ni fusils, ni bombes, ni maladies […] Nous sommes des instruments […] jouant des chants d’espoir, jouant des chants de paix. » La chanson se termine avec ce refrain en continu : « Dieu nous regarde de loin. »
L’enfant au tambour
L’enfant au tambour est un chant de Noël bien connu, écrit en 1941. Il se fonde sur un noël tchèque traditionnel. Bien que dans le récit de Noël de Matthieu 1 et 2 et de Luc 2 il n’y ait aucune référence à un petit tambour, la version originale du chant aborde la vraie signification de l’adoration. Elle raconte l’histoire d’un garçon que les mages invitent à aller voir l’Enfant Roi. Contrairement à eux, le petit tambour n’a aucun cadeau à lui présenter. Il lui offre donc ce qu’il a : il joue du tambour pour lui.
Bilan de santé spirituelle
Afin de découvrir des problèmes de santé avant qu’ils ne deviennent sérieux, les médecins recommandent un examen de routine. De même, nous pouvons dresser le bilan de notre santé spirituelle en nous posant quelques questions fondées sur le grand commandement (MC 12.30).
Un choix
Un soir, ma famille et moi regardions un épisode de l’émission de télévision Brain Games. Dans une des parties de l’émission, on testait la capacité des gens à faire des choix. Un groupe allait dans une arrière-salle où il y avait entre 50 et 60 saveurs de crème glacée. L’autre groupe se rendait dans un commerce où l’on ne retrouvait que trois saveurs. Le groupe qui devait choisir parmi le plus grand nombre de saveurs avait éprouvé plus de difficultés que celui qui avait moins de choix. Avoir le choix n’était pas libérateur, mais contraignant.
Le point central
J‘étais en train de chanter avec enthousiasme avec les autres pendant le culte d’adoration lorsqu’une femme s’est mise à interpréter un solo. Je ne me rappelle pas du titre de la chanson, mais je me souviens d’avoir pensé : Quelles paroles ennuyeuses et bourrées de clichés religieux ! Ah ! Encore une bonne vieille musique chrétienne paisible. J’en redemande ! (Je l’avoue, mon sarcasme était déplacé.)