Le temps de la solitude
Dans la pile de courrier d’après Noël, j’ai découvert un trésor : une carte de Noël faite à la main et peinte sur du carton recyclé. De simples coups de pinceau à l’aquarelle évoquaient des collines auxquelles des conifères donnaient vie par un temps glacial. Centré au bas de la carte et encadré de baies rouges, le message suivant était écrit à la main : Peace be with you! (Que la paix soit avec vous !)
Soldats, athlètes et fermiers
Qu’est-ce qu’un soldat, un athlète et un fermier ont en commun ? La discipline. Le soldat effectue des exercices jour après jour afin d’être prêt pour la bataille. L’athlète s’entraîne rigoureusement pour participer aux compétitions. Le fermier travaille du lever du soleil jusqu’à son coucher, en espérant patiemment une abondante récolte.
Un bon ouvrier
Croyez-vous être un bon ouvrier aux yeux de Dieu ? Il est difficile de répondre à cette question. Certains ont l’impression qu’ils ne seront jamais assez bons pour mériter un tel éloge. D’autres avouent que la recherche de son approbation ne fait pas partie de leurs priorités. De plus, il est facile d’être trop modeste ou faussement positif. Comment peut-on donc s’autoévaluer correctement ?
Comment être fort
Des choses à régler. Trop à faire. Des gens qui ont des problèmes veulent te voir. Appels, interruptions, rien ne se fait. Est-ce cela que représente servir le Fils de Dieu ? Quel est le temps consacré à sa Parole ? Quel est le moment dédié à écouter sa voix ? À quel moment savourer les merveilles de la vie ? Le temps est consumé par nos responsabilités (Traduction libre).
Service fidèle
Ayant servi sous les drapeaux durant la Première Guerre mondiale, C. S. Lewis connaissait bien le stress associé au service militaire. Dans un discours public qu’il a donné durant la Seconde Guerre mondiale, il a décrit avec éloquence les épreuves que le soldat doit vaincre : « La crainte procède de l’adversité sous toutes ses formes et est omniprésente dans la vie du soldat en service actif. Comme la maladie, elle nous menace de souffrance et de mort. Comme la pauvreté, elle nous menace d’un mauvais logement, de froid, de chaleur, de soif et de faim. Comme l’esclavage, elle nous menace d’un dur labeur, d’humiliation, d’injustice et de règles arbitraires. Comme l’exil, elle nous sépare de tout ce que nous aimons. »
Une lettre du front
Depuis plus de deux décennies, Andrew Carroll exhorte les gens à ne pas jeter les lettres que des membres de leur famille ou des amis ont écrites en temps de guerre. Carroll, directeur du Center for American War Letters à l’université Chapman, en Californie, les considère comme étant un lien irremplaçable pour unir la famille plus étroitement et lui ouvrir la porte de la compréhension. À ce sujet, Carroll a dit : « Les générations plus jeunes lisent ces lettres et posent des questions, puis affirment : "Maintenant je comprends ce que tu as subi, ce que tu as sacrifié." »
Ne cessez jamais d’apprendre
Sheryl est avide de lecture. Alors que d’autres regardent la télévision ou jouent à des jeux vidéo, elle s’absorbe dans les livres.
Décisions du coeur
Une jeune femme a écrit : « Je suis tombée amoureuse d’un non-croyant, mais je sais que ce n’est pas bien. Que dois-je faire ? » Un de nos auteurs a publié cette question ainsi que sa réponse sur le site Web du NMQ.
Vous êtes en bonnes mains
À une certaine période dans les années 1950, le groupe de marketing de la compagnie d’assurance Allstate avait du mal à trouver un slogan pour le premier plan de campagne publicitaire de la société. Alors que l’équipe était prête à partir après une journée complète de remue-méninges, le directeur commercial Davis Ellis s’est souvenu d’un commentaire rassurant que sa femme lui avait fait un mois plus tôt alors que leur enfant malade était à l’hôpital.
Digne de confiance
L’année dernière, pendant que ma femme et moi visitions le British Museum, nous avons croisé dans la galerie assyrienne un groupe de personnes en train d’écouter un homme qui semblait être le guide du musée. « Voici l’Obélisque noir », a‑t‑il dit, en montrant une statue. « Le triomphe de Shalmaneser III au IXe siècle av. J.‑C. y est consigné. Ce dirigeant est mentionné dans 2 Rois chapitre 8, et si vous regardez de près, juste ici, vous verrez une gravure d’Israélites lui payant le tribut ».