Prince de la paix
Nous marchions dans un magasin lorsque la fille de 12 ans de mon amie a fait un commentaire sur la couverture d’un magazine de décembre 2012 qui traitait de la fusillade de l’école primaire Sandy Hook aux États-Unis qui a fait 26 victimes : 20 enfants et 6 adultes. Son frère de 6 ans qui en savait peu sur l’événement déchirant, a regardé sa mère et dit : « Je crois que le nom de Jésus que je préfère est Prince de la paix. » « Moi aussi », répondit mon amie. « Moi aussi. »
Ouvrez sa parole
Combien de fois, comme moi, avez-vous plongé dans le péché, que ce soit dans la toxicomanie, l’inconduite sexuelle, les ragots, l’orgueil, la colère incontrôlée ou la paresse, en tentant d’atténuer les douleurs de la vie ? Il est trop facile de répondre au vide, à la déception ou au mal que nous vivons en nous détournant des commandements de Dieu au lieu de nous tourner vers eux.
La foi à haut risque
Un groupe d’amis et moi tentons de lire la Bible en 90 jours. À ce jour, nous sommes surpris de voir à quel point Dieu prend vie en nous depuis le début du projet.
Quand les blessés blessent
Je gardais deux enfants de cinq ans pendant que leurs mères étaient parties faire les courses. Ils s’amusaient bien jusqu’à ce que l’un d’eux lance involontairement une balle sur le nez de l’autre.
Aime comme tu t’aimes
À la suite d’une fusillade ayant fait une douzaine de victimes, une écrivaine a déploré le fait que l’horrible événement n’a pas bénéficié d’une couverture médiatique ni de l’attention à l’échelle nationale. « Combien de morts aurait-il fallu pour que le pays prenne une pause ? », s’est plainte Cynthia McCabe sur un blogue. Alors que certaines personnes passent rapidement à autre chose après avoir eu une pensée sur le crime insensé et pour les proches des victimes, plusieurs individus, organismes et Églises font preuve de compassion envers ceux qui ont été touchés par la tragédie. Mon amie Heidi est figure parmi ceux qui – avec les membres de son Église locale – ont choisi de se souvenir des victimes de façon concrète.
Le coeur d’un surfeur
Le film Noah’s Arc : The Noah Snyder Documentary (L’arche de Noé : Documentaire sur Noah Snyder) raconte l’histoire de Noah Snyder et de son parcours exceptionnel qui a commencé sur les Bancs extérieurs de la Caroline du Nord et qui l’a mené à s’établir en tant que professionnel du surf. En le regardant, mon fils et moi étions émus autant par les superbes scènes de surf que par les vérités profondes de l’histoire. Il était inspirant de voir Noah et quelques-uns de ses amis d’enfance passer de simples chercheurs de sensations fortes à des jeunes hommes qui chérissent un but, des responsabilités et une relation avec Dieu.
De lourdes charges
Un homme âgé m’a vue transporter avec peine une lourde boîte de ma voiture jusqu’au bureau de poste. Plutôt que de laisser son âge, son épuisement marqué ou la grosse chaleur le faire reculer, il s’est empressé de m’aider.
Un Père tendre
Alors que je passais par une période difficile et remettais en question la bonté et les soins de Dieu, plusieurs croyants sont venus m’apporter leur soutien. Ils m’ont aidée à admettre l’existence de mes problèmes tout en évitant de m’attarder sur eux. Ils m’ont dirigée vers l’Écriture, ont prié pour moi et ont fait en sorte que mes besoins soient comblés. Leur compassion m’a aidée à vivre le doux amour du Christ (De 32.2). Au lieu de me juger à cause de ma faible foi, mes confidents ont prouvé que « [l’ami] aime en tout temps, et dans le malheur il se montre un frère » (Pr 17.17).
Assez pour partager
Il y a eu un temps où, chaque soir durant trois années consécutives, mon fils Wasswa et moi accueillions douze petits invités à notre table en Ouganda. Avant cette période, les enfants passaient souvent des journées entières sans nourriture. Ils ont commencé à venir à notre maison lorsqu’ils ont entendu dire que nous les nourririons. Plusieurs de ces garçons et filles, certains n’ayant que trois ans, marchaient environ huit kilomètres pour se rendre à notre maison. Je les ramenais donc chez eux chaque soir.
La guerre
Le journaliste Jeffrey Gettleman a affirmé : « Une raison bien simple explique le fait que certaines des guerres les plus sanglantes et les plus brutales d’Afrique ne semblent jamais se terminer : il n’y a pas réellement de guerres… Les combattants ne sont pas tenants d’une idéologie ; ils n’ont pas de but précis… J’ai été témoin, et parfois de beaucoup trop près, de combats soldat contre soldat (désormais rares en Afrique) se transformant en soldat contre civil. »