Le phare
L’existence même d’un centre de ministère rwandais appelé « Le Phare » symbolise la Rédemption. Ce centre est situé sur un terrain où, durant le génocide de 1994, le président d’alors possédait une résidence cossue. Cette nouvelle structure résulte toutefois du travail des chrétiens qui l’ont érigée en guise de rayon de lumière et d’espoir. Le complexe du Phare abrite un institut biblique visant à former une nouvelle génération de leaders chrétiens, ainsi qu’un hôtel, un restaurant et d’autres services communautaires. Des ruines mêmes de cette maison présidentielle, Dieu a fait jaillir une nouvelle vie. Ceux qui ont construit Le Phare voient en Jésus leur source d’espoir et de rédemption.
La bienveillance de Dieu
Il m’arrive parfois de dire aux gens que ma femme a fréquenté l’université grâce à une bourse d’études de ballon-chasseur. Certaines personnes naïves me répondent : « Ah bon ? » D’autres sont sceptiques : « Le ballon chasseur ? Vraiment ? Depuis quand est-ce un sport admissible aux bourses ? »
Merci pour votre commentaire
Merci pour votre commentaire
Voir jusqu’à demain
Je me plais à admirer un ciel bleu sans nuages. Le ciel est un splendide élément de la magnifique oeuvre d’art que le Créateur nous a donné à savourer. Imaginez à quel point les pilotes doivent aimer la vue qui s’offre à leurs yeux. Or, ils emploient divers termes aéronautiques pour décrire un ciel se prêtant parfaitement aux vols d’avion, mais mon préféré est : « On peut voir jusqu’à demain. »
Dévastée dans l’allée 9
Le coeur lourd, j’avais envie de ranger mon panier de courses et d’interrompre leur conversation. Même si je n’avais pas entendu toute leur âpre discussion, j’en avais assez entendu pour savoir que les quatre clients étaient très insatisfaits de certains membres de leur Église locale. Ironiquement, aucun d’entre eux n’a semblé plus heureux après avoir évacué sa colère. Je ne les connaissais pas, ni ceux dont ils parlaient, ni même leur Église, mais cette division au sein du corps de Christ dans l’allée d’un commerce m’a attristée.
Le génie de la décharge
Noah Purifoy a amorcé sa carrière d’artiste d’« assemblage » avec pour matière première trois tonnes d’ordures récupérées après les émeutes survenues en 1995 dans la région de Watts, à Los Angeles. À partir notamment de roues de vélo cassées, de boules de jeu de quilles, de pneus usés et de téléviseurs endommagés – des choses inutilisables –, un de ses collègues et lui ont créé des sculptures au message puissant concernant les gens que l’on traite comme des « détritus » au sein de la société moderne. Un certain journaliste a surnommé M. Purifoy « le génie de la décharge ».
Un ton gracieux
Un jour j’ai eu un échange difficile avec l’un de mes fils. Il avait fait plusieurs mauvais choix qui exigeaient que je lui parle sérieusement. Cependant, mon fils est sensible et, comme il le fait souvent, il a assumé la responsabilité de son comportement. Même si j’étais fâché contre lui, je lui ai dit que je lui pardonnais. Plus tard, conscient que quelque chose tracassait toujours mon fils, je lui ai demandé ce qui n’allait pas. Il m’a répondu : « Eh bien, tu as dit que tu me pardonnais, mais tu ne l’as pas fait d’un ton aimable. » Mon fils a détecté que j’avais dit les bons mots, mais que ma façon de parler révélait le contraire. Je lui ai dit que je lui pardonnais, mais le ton de ma voix ne reflétait pas la grâce.
Petits mensonges et chatons
Ma mère a remarqué que le petit Elias de quatre ans s’enfuyait à la course d’auprès des chatons naissants. Elle lui avait demandé de ne pas les toucher. « As‑tu touché aux chatons, Elias ? » lui a‑t‑elle alors lancé.
Le péché de faire semblant
En 2008, un homme a péri dans un accident de voiture en Nouvelle-Zélande. L’autopsie a révélé qu’il ne portait pas sa ceinture de sécurité, mais une fausse ceinture qui passait par-dessus son épaule pour faire croire aux automobilistes ou aux policiers qu’il en portait une. Il faisait semblant de respecter la loi, mais selon le coroner, son subterfuge lui a coûté la vie.
L’amour manifesté
Lors de l’apparition mystérieuse d’une série de panneaux roses disant « I love you » dans la petite ville de Welland, en Ontario, la journaliste locale Maryanne Firth a décidé de faire enquête à ce sujet. Son travail de détective ne l’a toutefois conduite nulle part. Des semaines plus tard, de nouveaux panneaux ont fait leur apparition sur lesquels on pouvait lire cette fois‑ci le nom d’un parc de la place, ainsi qu’une date et une heure.