Vraiment libres !
Olaudah Equiano (vers 1745‑1746) n’avait que 11 ans lorsqu’on l’a enlevé et vendu comme esclave. Il a alors effectué l’horrible traversée depuis l’Afrique de l’Ouest jusqu’aux Indes occidentales, puis jusqu’en colonie de Virginie, et ensuite en Angleterre. À 20 ans, il a acheté sa liberté, mais en continuant de porter les cicatrices émotionnelles et physiques des traitements inhumains qu’il avait dû subir.
Lois et grâce
Récemment, des pompiers ont choisi de ne pas aller secourir un homme qui se noyait dans la baie de San Francisco. Selon le chef des pompiers intérimaire qui supervisait l’équipe sur place, l’une des choses qui les a empêchés d’agir est un règlement qui interdit aux pompiers d’entrer dans l’eau. Les secouristes étaient mécontents puisqu’ils voulaient désespérément agir, mais les politiques les en empêchaient. Chercher à obéir avant tout aux règlements est une forme de légalisme, quelque chose qui est trop souvent présent dans nos Églises aujourd’hui.
Une douce influence
Plusieurs années avant de devenir le 26e président des États‑Unis (1901‑1909), Theodore Roosevelt a appris que son fils aîné, Theodore junior, était malade. Or, la cause de cette maladie lui a porté un coup terrible, car les médecins lui ont dit qu’il en était la cause. Ted souffrait d’un « épuisement nerveux » du fait que Roosevelt l’avait impitoyablement poussé à devenir le « battant » héroïque qu’il n’avait lui‑même pas été durant son enfance marquée par une santé fragile. En l’entendant, Roosevelt père a promis de lâcher prise : « À compter d’aujourd’hui, je ne presserai plus jamais Ted physiquement ou mentalement. »
Des amis dangereux
L’un de nos fils, d’âge primaire, a été victime d’intimidation dans son autobus scolaire. Il y a deux semaines, après être rentré de l’école, il est arrivé tout triste dans la cuisine et a affirmé : « Je ne veux plus prendre l’autobus. » Il a été difficile pour lui d’apprendre à se protéger tout en restant ouvert au pardon et à la possibilité de proposer son amitié à ceux qui le harcèlent.
Le voyage terrestre ultime
La nationale 5 de Madagascar offre à la vue la beauté d’une côte au sable blond, d’une immense palmeraie et de l’océan Indien. Cette « route » aménagée sur 200 km à même les rochers, le sable et la terre est connue comme l’une des pires du monde. Les touristes en quête de panoramas à couper le souffle ont donc intérêt à la parcourir en véhicule à quatre roues motrices avec un conducteur chevronné au volant et un mécanicien à bord.
Un appel
Je n’ai jamais voulu être le pasteur d’une Église. Ainsi, lorsque les anciens de mon assemblée m’ont demandé d’envisager de remplir ce rôle, j’ai immédiatement refusé. Je leur ai clairement dit que ce n’était pas mon appel. Je ne doutais aucunement que je serais incompétent. Puisque l’idée ne m’attirait pas du tout, il me semblait que Dieu n’exigerait pas que je suive un tel chemin.
Nommer Dieu
Dans son livre The God I Don’t Understand (Le Dieu que je ne comprends pas), Christopher Wright fait observer que, contre toute attente, une certaine personne est parmi les premières à nommer Dieu. C’est Agar !
Pourquoi désobéir ?
Pourquoi devrais-je obéir à ce commandement de Dieu ? me suis-je demandé. Est-ce parce que les conséquences de ma désobéissance seraient désagréables ? Hum ! Mais est-ce tout ? Ah ! je vois maintenant – mon raisonnement était inversé ! J’aurais dû me demander : « Pourquoi désobéirais-je ? »
Le porte‑parole de Dieu
Nerveux, j’attendais que le téléphone sonne et que l’entrevue radiophonique commence, en me demandant quelles questions on me poserait et comment j’y répondrais. J’ai donc prié : « Seigneur, je m’exprime bien mieux par écrit, mais je présume que c’était la même chose pour Moïse. Alors je compte sur toi pour me donner les bonnes paroles à prononcer. »
Seul dans l’obscurité
Le film Gravité raconte l’histoire de Ryan Stone, une brillante ingénieure biomédicale, lors de sa première mission spatiale. Son partenaire de mission est l’astronaute chevronné Matt Kowalski. Lors d’une sortie de routine dans l’espace, un désastre survient. Leur navette est détruite et Stone et Kowalski se retrouvent complètement seuls. N’étant retenus que par le câble qui les lie l’un à l’autre, ils partent à la dérive en effectuant des spirales dans l’obscurité.