Le véritable succès
Quelle est votre définition du succès ? Voici ce que des gens ont répondu : « Être heureux », « Atteindre ses buts », « Voir les gens accepter le salut ». Un ami a dit : « Le succès, c’est de jouir de la prospérité de Dieu dans tous les domaines de ma vie : spirituel, physique, financier et relationnel. »
L’épreuve préliminaire
Au cricket, l’épreuve préliminaire peut s’avérer exténuante. Les athlètes la disputent de 11 h à 18 h, avec pauses repas et thé, mais les matchs peuvent s’étendre sur une période allant jusqu’à cinq jours. Il s’agit d’un test d’endurance, ainsi que d’habileté.
Quelle opinion importe ?
J’ai présenté au groupe de jeunes de mon Église une leçon portant sur l’Écriture que j’avais soigneusement préparée. Lorsque j’ai eu terminé, un jeune homme du groupe m’a dit : « Je crois que vous auriez pu faire mieux. » Cela m’a blessée. Puis je me suis rappelé une phrase qu’un ouvrier de longue date de l’Église avait dite : « Nous prétendons être des serviteurs de Dieu, mais lorsqu’on nous traite en tant que tels, cela nous contrarie. »
Le mauvais fer à cheval
La défaite de Napoléon en Russie d’il y a 200 ans est attribuable aux durs hivers de là‑bas. Un des problèmes particuliers que son armée a dû affronter tient au fait que ses chevaux étaient ferrés pour l’été. L’hiver venu, ces chevaux sont morts parce qu’ils glissaient sur les routes glacées en tirant des chariots de ravitaillement. La mauvaise chaîne de ravitaillement de Napoléon a ainsi réduit une grande armée de 400 000 soldats en une d’à peine 10 000 soldats. Une petite faille ; un résultat catastrophique !
Dévorer le pauvre
Dans les grandes villes, observe Nathaniel Hawthorne, c’est malheureusement le cas, les pauvres sont malgré eux voisins et compagnons de chambre du malfaisant. Hawthorne décrivait la vie des bidonvilles de Londres au XIXe siècle, mais sa remarque est intemporelle. Les gens qui manquent d’argent ont tendance à vivre dans des quartiers où le crime et l’exploitation sont communs.
Libérée de la crainte
La crainte s’insinue dans mon coeur contre mon gré. Elle y crée un sentiment de désespoir. Elle me vole ma paix et ma concentration. Qu’est‑ce que je redoute au juste ? Je m’inquiète de la sécurité de ma famille ou de la santé de mes êtres chers. Je panique devant la perte d’un emploi ou la cassure d’une relation. La crainte tourne mon regard vers l’intérieur et révèle un coeur qui a parfois du mal à faire confiance.
Reconnaissance et paix
Étant père de quatre enfants, je leur dis ces quatre mots presque chaque jour : « Vous devriez être reconnaissants ! » Je le fais lorsqu’ils refusent de manger leurs légumes au repas ou lorsqu’ils veulent un jouet que « tous » leurs amis ont déjà. Pour mes enfants, et je soupçonne que cela est vrai pour plusieurs d’entre nous, rendre grâce à Dieu est une discipline à acquérir individuellement, la réaction appropriée à ce que Dieu a fait pour nous.
L’espèce humaine
Le réveille‑matin sonne. Trop tôt, semble‑t‑il. Mais une longue journée vous attend. Vous avez du travail à faire, des rendez-vous à respecter, des gens de qui prendre soin et plus encore. Sachez que vous n’êtes pas le seul. Tous les jours, nous sommes nombreux à aller d’une chose à une autre à vive allure. C’est le lot de toute l’humanité.
Pas de réponses faciles
Un couple se trouvait dans une situation sans issue. Lors d’une sécheresse intense, les deux risquaient de recevoir une amende de 500 $ s’ils arrosaient leur pelouse plus de deux fois par semaine. Leur pelouse étant devenue brune, la Ville les a informés qu’en dépit de la sécheresse, ils devaient la conserver « verte et bien entretenue » à défaut de quoi ils auraient à payer (vous l’avez deviné) une amende de 500 $.
Distractions tactiques
La toute première fois que ma femme et moi avons collaboré à un projet d’écriture, il nous est apparu cruellement évident que la tergiversation serait un obstacle de taille. Elle avait pour rôle de réviser mon travail et de me tenir à mon échéancier ; mon rôle semblait consister à la rendre folle. La plupart du temps, son sens de l’organisation et sa patience ont triomphé de ma résistance aux dates de tombée et au cap à maintenir.