Généreux
L’année dernière, des donateurs anonymes de plusieurs villes des États-Unis ont surpris les clients d’un grand magasin par leur générosité. À Omaha, au Nebraska, un directeur de magasin a rapporté combien de clients, venant payer les articles qu’ils avaient fait mettre de côté, ont appris qu’un étranger avait déjà réglé la note pour eux. À Indianapolis, une assistante-gérante a raconté l’histoire d’un père, portant des habits sales et accompagné de trois jeunes enfants, qui s’est rendu au bureau des mises de côté pour faire un paiement, espérant arriver à tout rembourser avant Noël. Toutefois, sa commande avait été entièrement réglée. La même femme qui avait payé pour lui avait donné des billets de 50 $ à plusieurs personnes, en sortant du magasin.
BREBIS ROSES
Tandis que je me rendais en voiture de Glasgow à Édimbourg, en Écosse, je jouissais de la magnifique campagne environnante lorsqu’une scène plutôt humoristique a attiré mon attention. Au haut d’une petite colline se trouvait un troupeau assez grand de moutons roses.
Non à l'indifférence
Description de l’emploi : Rétablir la sécurité nationale. Corriger l’injustice économique. Régler les conflits à l’interne. Mettre en oeuvre des réformes religieuses. Salaire offert : une tonne de menaces.
LA CULTURE DU JETABLE
Nous vivons plus que jamais dans une culture jetable. Réfléchissez un instant à certaines des choses qui sont fabriquées en vue d’être jetées : rasoirs, bouteilles d’eau, briquets, assiettes en papier, ustensiles en plastique. On utilise des produits que l’on jette et que l’on remplace ensuite.
« Attendez, ce n'est pas tout ! »
Avez-vous déjà écouté un publireportage, l’une de ces annonces publicitaires de 30 minutes ? Moi oui ! Je connais tout sur le Veg-O-Matic et le Pocket Fisherman. Et comment pourrais-je oublier le couteau à steak Ginsu ? Ils ne m’ont pas amadoué au point que je téléphone pour passer une commande, mais j’ai découvert que ces publireportages sont parfois le « divertissement » parfait pour vaincre l’insomnie.
LUMIÈRE FILTRÉE
La toile intitulée A Trail of Light (Un sentier de lumière), de l’artiste Bob Simpich, de Colorado Spring, illustre un bosquet de trembles dont le feuillage doré baigne dans les rayons du soleil automnal. Les feuilles du haut brillent avec éclat, alors que le sol sous les arbres se compose de lumière et d’ombres. Voici ce que le peintre a dit au sujet de ce contraste : « Je ne peux résister à la lumière qui filtre à travers les arbres jusqu’au tapis forestier. Elle y tisse quelque chose de tout à fait magique. »
Une seule bonne chose
J’ai prié très fort, dit-elle, Dieu, je t’en prie, est-ce qu’une seule bonne chose pourrait m’arriver ? Une heure plus tard, elle commençait une horrible grippe. L’amertume était à la porte, elle se posait des questions légitimes. Elle a crié à Dieu, et sa réponse semblait être une farce divine !
DANS LA TEMPÊTE
Une tempête se préparait – non seulement à l’horizon, mais aussi sous le toit d’une amie. « Lorsque j’étais à Hong Kong, m’a-t-elle dit, les services météorologiques locaux annonçaient l’approche d’une terrible tempête. Par contre, celle qui menaçait à l’intérieur était pire encore que celle du dehors. Tandis que mon père était hospitalisé, les membres de ma famille s’efforçaient d’équilibrer responsabilités familiales et responsabilités professionnelles, en plus des visites à l’hôpital. Ils étaient si fatigués que leur patience s’amenuisait, et la situation à la maison était tendue. »
Contempler le beau
Un jour, Edgar Allan Poe a écrit : « Le plaisir, qui est à la fois le plus pur, le plus élevé et le plus intense des plaisirs, vient, je le soutiens, de la contemplation du Beau. » Selon le psalmiste, ce plaisir c’est la contemplation de Dieu.
LE POUVOIR DU RITUEL
Lorsque j’étais petite, une des règles de la maison consistait à ne jamais aller se coucher en colère (Ép 4.26). Nous devions toujours résoudre d’abord nos querelles et nos désaccords. Or, cette règle s’accompagnait d’un rituel du coucher. Maman et papa nous disaient, à mon frère et à moi : « Bonne nuit ! Je vous aime. » Ce à quoi nous répondions : « Bonne nuit ! Je vous aime aussi. »