Mois : août 2014

La mort d'un compagnon

Mon ami est entrepreneur et ses employés ont deux règles à respecter : « Règle no 1 : Le patron a toujours raison. Règle no 2 : S’il a tort, référez-vous à la règle no 1. » On sait tous qu’il dit ça pour rire, mais ces paroles expriment le souhait de la plupart d’entre nous.

SUIVRE LE MAÎTRE

Lors d’une exposition canine tenue près de chez moi, j’ai regardé parader un corgi du Cardiganshire nommé Trevor. Au commandement de son maître, il s’éloignait de plusieurs mètres à la course et revenait immédiatement, il sautait des clôtures et il identifiait des objets au seul moyen de son odorat. Au terme de chaque exercice, il s’assoyait aux pieds de son maître pour attendre d’y recevoir d’autres instructions.

Des paroles infectueuses

Dans le film Doute (2008), un prédicateur raconte l’histoire d’une dame qui confesse son péché de commérage au curé. Il lui dit de se rendre chez elle, de monter sur le toit avec un oreiller de plumes, de l’ouvrir avec des ciseaux et de revenir le voir. Elle fait comme il a dit. Le curé lui demande de décrire ce qu’elle a vu. « Des plumes partout, mon père. » Il répond : « Je veux que tu retournes les récupérer. » Elle proteste : « C’est impossible ! Je ne sais pas où elles sont allées. Le vent les a emportées très loin. » Le curé répond : « C’est exactement comme le commérage ! »

QUELQU’UN CHANTE-T-IL ?

À 322 km au-dessus de la Terre, Chris Hadfield, astronaute et commandant canadien de la Station spatiale internationale, s’est joint à un groupe d’étudiants se trouvant dans un studio sur la Terre pour chanter une chanson. Ensemble, ils ont interprété « Is Somebody Singing » (Quelqu’un chante-t-il ?), une chanson que Hadfield et Ed Robertson ont coécrite.

Un prophète maussade

Nous avons tendance à croire que les prophètes de Dieu sont saints et ont une conduite irréprochable. Pourtant, il y en a un qui a été assez effronté pour crier : « Seigneur, si tu ne les tue pas, tue-moi ! Je préfère mourir ! » Son nom est Jonas, et ses paroles ont été immortalisées dans la Bible.

QUELQU’UN CHANTETIL ?

À 322 km audessus de la Terre, Chris Hadfield, astronaute et commandant canadien de la Station spatiale internationale, s’est joint à un groupe d’étudiants se trouvant dans un studio sur la Terre pour chanter une chanson. Ensemble, ils ont interprété « Is Somebody Singing » (Quelqu’un chantetil ?), une chanson que Hadfield et Ed Robertson ont coécrite.

DES BULLETINS AMBULANTS

Le premier contact que Pete Peterson a eu avec le Vietnam s’est produit durant la guerre. Lors d’un bombardement survenu en 1966, son avion s’y est fait abattre et il s’y est fait capturer. Plus de trente ans après, il est retourné là-bas à titre d’ambassadeur des États-Unis. Dans un certain article de presse, on disait de lui qu’il était « un panneau de réconciliation ambulant ». Ayant bien compris depuis longtemps que Dieu ne lui avait pas sauvé la vie pour qu’il vive dans la colère, il a employé le reste de ses jours et son rang social pour mieux protéger les enfants vietnamiens en insistant pour que l’on crée de meilleures normes de sécurité à cette fin.

Le véritable amour

Une adolescente de 13 ans a volé la voiture de son frère et a parcouru près de 1 300 kilomètres pour rencontrer un garçon de 12 ans qu’elle a connu sur le Web. Son désir de romance l’a poussé à dérober la carte bancaire de sa mère et à quitter sa maison à Cypress, au Texas, en sortant par la fenêtre de sa chambre. Elle a été appréhendée par des policiers à environ 80 kilomètres de la résidence du garçon à Nashville au Tennessee.

DES BULLETINS AMBULANTS

Le premier contact que Pete Peterson a eu avec le Vietnam s’est produit durant la guerre. Lors d’un bombardement survenu en 1966, son avion s’y est fait abattre et il s’y est fait capturer. Plus de trente ans après, il est retourné làbas à titre d’ambassadeur des ÉtatsUnis. Dans un certain article de presse, on disait de lui qu’il était « un panneau de réconciliation ambulant ». Ayant bien compris depuis longtemps que Dieu ne lui avait pas sauvé la vie pour qu’il vive dans la colère, il a employé le reste de ses jours et son rang social pour mieux protéger les enfants vietnamiens en insistant pour que l’on crée de meilleures normes de sécurité à cette fin.

Y A-T-IL LIEU D’ESPÉRER ?

Je me suis assise en silence près de la tombe de mon père, attendant que commence l’enterrement privé de ma mère en famille. Le directeur des funérailles a apporté l’urne cinéraire. J’avais le cœur en charpie et la tête embrumée. Comment vais-je bien pouvoir surmonter leur perte à tous les deux à seulement trois mois d’intervalle ? Dans mon deuil, j’éprouvais de la solitude et un peu de désespoir devant un avenir sans eux.