Aussi fort qu"une fourmi
Il y a 35 ans, Thomas Daigle et son épouse ont obtenu un prêt immobilier. En sortant de la banque, Thomas a trouvé une pièce d’un cent par terre. À la blague, ils ont dit qu’ils devraient ramasser les sous noirs pour rembourser leur hypothèque. Des dizaines d’années plus tard, ils en avaient amassé 62 000. Ils ont apporté leur butin à la banque pour payer le solde sur leur prêt. Les employés de la banque ont mis deux jours à compter leurs pièces. Les Daigle n’avaient plus d’hypothèque !
COURONNES D’HONNEUR
Les joyaux de la couronne du Royaume-Uni sont gardés sous très haute surveillance jour et nuit, en sécurité et bien protégés, dans la Tour de Londres. Chaque année, des millions de gens vont voir ces trésors de beauté pour s’exclamer d’admiration devant eux. Ils symbolisent la puissance du royaume, ainsi que le prestige et le rang élevé de ceux qui les portent.
Pas question de partir
J’ai été élue il y a à peine trois mois au poste de diaconesse de la jeunesse dans mon église locale, et déjà, trois personnes désirent se retirer de leur ministère. D’autres sont parties en mission. J’étais comme un général qui tente de se préparer pour la guerre, mais qui perd tous ses soldats.
DIEU GÉNÉREUX
Lorsque notre famille vivait à Chicago, il y a plusieurs années, nous y jouissions de nombreux avantages. Parmi les premiers sur ma liste se trouvent les restaurants étonnants qui semblaient chercher à se damer le pion les uns aux autres, non seulement en matière de grande cuisine, mais aussi par la quantité de nourriture qu’ils nous servaient. Dans un certain restaurant italien, ma femme et moi commandions une demi-assiette de notre plat de pâtes préféré et en avions suffisamment pour en ramener à la maison et en faire notre repas du lendemain soir ! Les portions généreuses nous donnaient l’impression d’être chez grand-mère lorsqu’elle nous exprimait son amour en cuisinant pour nous.
D'un enfant à un homme
Des études menées auprès d’enfants dont le père était absent démontrent qu’ils ont à relever des défis majeurs dans leur vie. Les statistiques sont alarmantes : les jeunes qui grandissent sans leur père risquent deux fois plus la prison que ceux qui ont grandi avec leurs deux parents. Quatre-vingt-cinq pour cent des enfants qui ont des troubles de comportement et 71 % de ceux qui quittent les bancs d’école proviennent de familles dont le père était absent. De plus, 90 % des jeunes sans abri et en fugue proviennent de familles sans père.
LEÇON TIRÉE D’UN MAL DE DENTS
Dans son classique intitulé Les fondements du christianisme , C. S. Lewis écrit : « Enfant, j’avais souvent mal aux dents », avant d’ajouter : « et je savais que, si j’allais voir ma mère, elle me donnerait quelque chose pour soulager la douleur ce soir-là, ce qui me permettrait de m’endormir. Je n’allais toutefois pas voir ma mère, du moins pas avant d’avoir vraiment mal. […] Je savais qu’elle me conduirait chez le dentiste dès le lendemain matin. […] Je voulais que mon mal soit immédiatement soulagé, mais cela ne se produirait pas sans que mes dents soient redressées une fois pour toutes. »
Si... alors
Notre maison étant à vendre, mon mari et moi consultons régulièrement les sites d’agences immobilières. Implantant une église à plus de 50 kilomètres d’ici, nous anticipons avec impatience le jour où nous pourrons vivre dans la communauté où nous exercerons notre ministère. Dans cette période d’attente, nous pourrions facilement tomber dans la tentation du « si… alors. » Si tu nous promets le succès, nous irons, si tu nous promets une belle maison, nous déménagerons. Toutefois, un engagement basé sur un « si… alors » n’a pas un fondement à toute épreuve.
QUE VOULONS-NOUS ?
Mon amie Mary me dit qu’elle ne chante pas toujours toutes les paroles des cantiques et des refrains durant le culte à l’Église : « Il ne me semble pas honnête de chanter "Tout ce que je veux, c’est Jésus", alors que mon cœur désire bien d’autres choses. » Son honnêteté me plaît.
Bwana asifiwe !
Bwana asifiwe ! sont les mots swahilis pour « Louez l’Éternel ! » En voyageant de la sécheresse de Tala aux quartiers pauvres de Kawangare et aux ghettos très peuplés et dangereux de Korogocho au Kenya, c’est ainsi que tous les croyants me saluaient.
JOUR J
Dernièrement, j’ai demandé à Mary Ann, ma sœur aînée, si elle se rappelait le jour où notre famille avait emménagé dans la maison où nous vivions depuis de nombreuses années. Elle m’a répondu : « Tu avais environ neuf mois, et je me rappelle que maman et papa ont passé toute la nuit à faire des cartons en écoutant la radio. C’était le 6 juin 1944, et ils suivaient le récit en direct du débarquement en Normandie. »