Dans un monde où les promesses se font et se défont facilement, beaucoup doutent de leur valeur. Nous lisons ce genre de citation : « Le problème avec les promesses est qu’elle sont faites pour être brisées. C’est un non-dit. »

À quoi sert une promesse ? Ça dépend de la nature de la promesse et de la personne qui l’a faite, sans oublier la capacité de cette personne à remplir son engagement. Heureusement, en tant que croyants en Jésus, nous n’avons pas à douter de ses promesses. Les promesses que nous obtenons sont grandes et précieuses (2 Pi 1.4). Comme C. H. Spurgeon a dit : « Le Dieu qui fait la promesse trouvera le moyen de la garder. »

Il y a dans les lectures quotidiennes des éléments très intéressants. Dieu a promis que tous les croyants, tant les Juifs que les païens, hommes et femmes, jeunes et vieux, serviteurs et maîtres, recevraient l’Esprit (Joë 2.28,29). C’est une merveilleuse promesse, car jusqu’à maintenant, le peuple de Dieu était identifié par la circoncision et par son obéissance à la Loi. Le Saint-Esprit n’était descendu que sur quelques personnes uniquement à des fins spécifiques, comme pour Betsaleel dans Exode 35.31.

Dans Actes 2.1-6, nous voyons la remarquable réalisation de la promesse prophétique de Jésus concernant le Saint-Esprit. Cette promesse s’accomplit encore aujourd’hui, car celui qui invoque le nom du Seigneur reçoit le Saint-Esprit. Il le scelle pour le jour de la rédemption et le fortifie puissamment pour vivre la vie chrétienne (Ép 3.16 ; 4.30).

Tout comme il a accompli sa promesse faite dans Joël 2.28,29, Dieu accomplira également sa promesse des versets 30 à 32. Le jour du jugement approche, et Dieu a promis que quiconque invoquera son nom sera sauvé (v. 32).

Louez-le, car il est le Dieu qui garde toutes ses promesses !