Libre de vivre la vérité
Mon fils Wyatt âgé de 10 ans et moi sommes passés devant une chaîne bien connue de restaurants de hamburgers. « Papa, a dit Wyatt, je n’aime pas que les publicités présentent les restaurants à service rapide comme des endroits joyeux et agréables alors qu’ils sont tristes et sales. » Puis il a dit : « Et les salles de bains sont en mauvais état. »
Prévention et remède
Un dentiste chrétien aux États-Unis avait une assistante attirante. Craignant d’être tenté d’avoir une liaison avec elle, il l’a congédiée. Plus tard, la Cour suprême a statué dans un verdict unanime qu’il avait le droit de congédier la jolie femme hygiéniste dans le but de protéger son mariage. Nous sympathisons tous avec le sort de cette jeune femme. Cependant, l’opinion publique sur ce que le dentiste a fait était divisée. Plusieurs l’ont critiqué pour avoir égoïstement et injustement puni l’assistante à cause de sa propre convoitise sexuelle. D’autres l’ont félicité d’avoir reconnu avec honnêteté sa propre faiblesse et d’avoir pris des mesures décisives pour l’empêcher de pécher contre Dieu.
Sois patient
Si vous aviez la possibilité de sélectionner les membres de votre Église locale ou de votre petit groupe, choisiriez-vous des gens qui …
• ne font ce qu’ils sont censés faire ?
• vous donnent toujours dix raisons pour lesquelles vos idées ne fonctionneront pas ?
• trouvent difficile de toujours faire la volonté de Dieu ?
DES BRUITEURS
Crunch. Crac. Flap. Au début du cinéma, des bruiteurs créaient des sons pour étayer l’action de l’histoire. En pressant une bourse de cuir remplie de fécule de maïs, ils produisaient le son de pas dans la neige ; en secouant une paire de gants, ils imitaient le son des ailes d’oiseau en vol ; en fouettant l’air d’une baguette, ils faisaient un flap. Pour rendre les films aussi réalistes que possible, ils utilisaient des techniques imaginatives pour recréer des sons.
DEMANDEZ-LE À L’AUTEUR
Au fil des ans, j’ai fait partie de divers clubs littéraires. En général, plusieurs de mes amis et moi lisons un livre, puis nous nous réunissons pour discuter des idées que son auteur y a avancées. Chaque fois, quelqu’un soulève inévitablement une question à laquelle aucun de nous ne peut répondre. C’est alors qu’une personne déclare : « Si seulement on pouvait le demander à l’auteur. » Or, à New York, il existe une nouvelle tendance : rendre la chose possible. Certains auteurs s’offrent pour rencontrer des clubs littéraires, moyennant une jolie somme.
Dans notre coeur
Après avoir été témoin de la communion chaleureuse des croyants en Jésus, l’écrivain grec non croyant Lucien (120‑200 apr. J.‑C.) a réagi ainsi : « On ne saurait croire leur empressement en de pareilles occurrences : pour tout dire, en un mot, rien ne leur coûte. Leur premier législateur [Jésus] leur a encore persuadé qu’ils sont tous frères. » Environ à la même époque, Tertullien a affirmé : « Mais c’est surtout cette pratique de la charité qui, aux yeux de quelques‑uns, nous imprime une marque spéciale. " Voyez, dit‑on, comme ils s’aiment les uns les autres, voyez, dit‑on, comme ils sont prêts à mourir les uns pour les autres " »
LA PAROLE PARMI NOUS
La Parole de Dieu se présente à nous sous de nombreuses formes. Les sermons centrés sur la Bible, la lecture de celle-ci, les chansons chrétiennes, les études de groupe et le matériel de croissance spirituelle nous rappellent les vérités scripturaires au sujet de Dieu. Il ne faut toutefois pas négliger la lecture et l’étude personnelles de la Bible.
UNE FORMIDABLE EXPLOSION
Dans le livre Kisses from Katie (Baisers de Katie), Katie Davis raconte la joie qu’elle a éprouvée en déménageant en Ouganda et en adoptant plusieurs petites Ougandaises. Un jour, une de ses filles lui a demandé : « Maman, si je laisse Jésus venir dans mon cœur, est-ce que je vais exploser ? » Katie lui a d’abord répondu que non. Lorsque Jésus entre dans notre cœur, il s’agit d’un événement spirituel.
Découvrez ce qui est vôtre
Quelques résidents de mon état ont découvert des trésors perdus. Beaucoup ont récupéré de l’argent, des biens ou d’autres avoirs financiers. Grâce au programme d’état I-cash, Melva a récupéré 296,33 $ que son ancienne banque ne lui avait pas versés. Robert s’est connecté au site web du programme et a découvert que sa grand-mère lui avait légué 3 000 $. La devise du programme est : Découvrez ce qui est vôtre.
PLUS QU’UNE ATTENTE
J’ignore comment les choses se font par chez vous, mais lorsque je dois téléphoner à quelqu’un pour qu’il vienne réparer un de mes appareils, l’entreprise me répond quelque chose comme : « Le réparateur se présentera chez vous entre 13 h et 17 h. » Comme j’ignore quand le réparateur sera là, tout ce que je peux faire, c’est l’attendre.