QUI EST CET HOMME ?
Lorsque Kelly Steinhaus s’est rendu au Harvard Square pour demander aux étudiants de l’université ce qu’ils pensaient de Jésus, ils ont répondu en se montrant respectueux envers celui-ci. L’un d’eux a dit que c’était « une personne qui prenait soin des gens ». Un autre a déclaré : « Il a l’air d’être un chic type. » D’autres l’ont rejeté sur-le-champ : « C’était juste un gars. Je ne crois pas que c’était le Sauveur. » Et encore : « Je n’accepte aucun système de foi qui dit : "Je suis le seul chemin qui mène à Dieu." » Certains demandent de manière réfléchie qui est Jésus, alors que d’autres le rejettent.
JE CRIERAIS : ALLÉLUIA !
Il y a quelques jours, j’ai épié mon vieil ami Bob en train de pédaler avec vigueur sur un vélo stationnaire du gym de notre quartier en fixant du regard le moniteur de tension artérielle qu’il portait au doigt.
LA VICTOIRE SUR LA MORT !
Une toile ancienne que j’ai vue dernièrement m’a fait grande impression. Son titre, Anastasis , signifie « résurrection ». Cette œuvre illustre de manière saisissante la victoire de Christ sur la mort. Le Seigneur Jésus, qui vient de sortir du tombeau, retire Adam et Ève de leurs tombes pour les faire entrer dans la vie éternelle. Ce qu’il y a de si étonnant au sujet de cette œuvre d’art, c’est sa façon de démontrer avec quel éclat le Christ ressuscité a renversé la mort spirituelle et physique, qui résulte de la chute de l’homme.
PÂQUES TOUS LES JOURS
Une de mes amies, qui est professeur à la maternelle, a entendu une conversation animée entre ses élèves. La petite Maria a lancé la question : « Qui aime Dieu ? » Tous ont répondu : « Moi ! Moi ! Moi ! » Billy a dit : « J’aime Jésus. » Kelly a protesté en disant : « Mais il est mort. » Billy a affirmé : « Oui, mais chaque jour de Pâques il revient à la vie ! »
JE VIS
Laura Brooks, âgée de 52 ans et mère de deux enfants, l’ignorait alors, mais elle comptait parmi les quatorze mille personnes dont le nom avait été entré par erreur en 2011 dans la banque de données gouvernementale des personnes décédées. Elle s’est demandé ce qui n’allait pas lorsqu’elle a cessé de recevoir ses chèques d’invalidité, et que la banque a commencé à refuser ses chèques de remboursement d’emprunt et de loyer. Elle s’est donc rendue dans sa succursale pour régler la question, mais son représentant lui a dit que ses comptes avaient été fermés parce qu’elle était décédée ! De toute évidence, on s’était trompé.
Une nouvelle genèse
Il y a quelques années, alors que je conduisais mon fils Wyatt à la maternelle, nous nous sommes mis à discuter de la résurrection. Naturellement, sa signification et son fonctionnement le laissaient perplexe. Il a finalement posé la question à laquelle il désirait ardemment obtenir une réponse. « Papa », a-t-il demandé, « lorsque Dieu nous ressuscitera des morts, serons-nous réellement vivants ? Ou le serons-nous uniquement dans notre tête ? »
La pierre qui roule
Jésus était mort, ses bourreaux en ont été témoins (Mc 15.37‑39), Pilate l’a confirmé (15.44,45), deux juges de la cour ayant préparé son corps pour l’enterrement l’ont attesté (v. 43 ; Jn 3.1 ; 19.38,39). Jésus a été déposé dans un tombeau neuf, taillé dans le roc. L’entrée était scellée par une très grande pierre ronde (Mc 15.46). Pour ouvrir cette porte pesant de une à deux tonnes, beaucoup d’hommes forts étaient nécessaires. Cela préoccupait les femmes qui s’en allaient oindre le corps de Jésus : « Elles disaient entre elles : Qui nous roulera la pierre loin de l’entrée du sépulcre ? » (16.3.) Toutefois, elles s’inquiétaient inutilement, puisque la grande pierre « avait été roulée » (v. 4), un travail accompli par un ange (Mt 28.2).
Les yeux du coeur
Si vous voulez m’humilier, mettez-moi une image d’Où est Charlie ? entre les mains. Ce sont ces dessins où l’on tente de trouver le personnage de Charlie fondu dans le décor. Je peux scruter ces images pendant des heures sans le moindre résultat. Quand quelqu’un m’indique finalement l’endroit où il se trouve, je deviens embarrassé de le voir là, bien en vue ! Comme le théologien Stanley Hauerwas a dit : « Nous ne voyons pas la réalité simplement en ouvrant les yeux. »
Revenir à la vie
Le jeune couple argentin pleurait la mort de son bébé. Le personnel médical avait déclaré le bébé mort-né et s’était empressé de le sortir de la salle d’accouchement. La mère, encore sous l’effet des médicaments, n’a même pas eu le temps de dire au revoir à sa fille. Analia Bouter et son mari, Favian, sont allés à la morgue pour faire leurs adieux. Lorsque le personnel a tiré sur le tiroir contenant le bébé, ils ont entendu des pleurs. Le nouveau-né était vivant !
Toutes choses nouvelles
Les scientifiques russes ont récemment découvert de la matière végétale dans un terrier d’écureuil, datant de l’ère de glace – une substance qui est restée gelée pendant des milliers d’années. Ils ont apporté la matière au laboratoire où ils ont régénéré avec succès un plant florissant de Silene stenophylla. Les scientifiques continueront de creuser dans le pergélisol de la Sibérie dans l’espoir de trouver de la matière congelée provenant d’autres plantes ou animaux. Ils aimeraient tant découvrir des tissus de mammouth laineux, qu’ils pourraient ramener à la vie, comme dans Jurassic Park (Le Parc Jurassique).