UN TEMPS POUR TOUT
Si vous êtes comme moi, vous avez eu du mal à refuser d’endosser de nouvelles responsabilités, surtout s’il s’agit d’une bonne cause qui viendra en aide à des gens. Il se peut que nous ayons de bonnes raisons de choisir avec soin nos priorités. Reste qu’en refusant d’en faire plus, il se peut que nous éprouvions parfois de la culpabilité ou le sentiment que, d’une certaine façon, nous ne sommes pas à la hauteur de notre marche de foi.
LE MONDE DE NOTRE PÈRE
Lorsqu’Amanda Benavides était en deuxième année du premier cycle à l’université Point Loma Nazarene, à San Diego, en Californie, elle a commencé à changer d’avis au sujet du service chrétien ici-bas. Amanda avait grandi en pensant que la protection de l’environnement n’avait rien à voir avec sa relation avec Jésus. Tout cela a cependant changé lorsqu’on l’a mise au défi de reconsidérer le rôle que joue le chrétien dans la protection de la planète, surtout dans le lien entre cette protection et l’évangélisation des plus démunis du monde.
COURRIEL DE PRIÈRE
Il n’y a pas longtemps, l’un de mes amis a dû se faire opérer. Deux disques lombaires et un tendon d’Achille détaché le faisaient atrocement souffrir. Après l’avoir assuré de mes prières, l’idée m’est soudain venue de lui envoyer quelque chose par écrit pour l’encourager encore plus. Je lui ai donc envoyé le courriel suivant :
ORGUEIL ET PRÉJUGÉS
Dans les années 1930, le foyer dans lequel j’ai grandi était aimant et heureux, mais mes parents étaient souvent partis. Chaque fois, le noyau du foyer devenait la minuscule et joyeuse Annie, notre femme de ménage.
CONVERSATION COURAGEUSE
Se peut-il que des percées technologiques en matière de communications nous empêchent de faire face aux gens correctement ? Après tout, les employeurs peuvent maintenant envoyer un avis de licenciement par Internet. Les gens peuvent critiquer les autres sur Facebook et Twitter au lieu de leur parler de vive voix. Peut-être vaudrait-il mieux mettre tout cela de côté et imiter Paul dans la manière dont il a communiqué avec Pierre lorsqu’ils ont eu un différend.
UNE FEMME D’INFLUENCE
Au cours des premières années de la Réforme protestante en Europe, Katharina Von Bora, une ancienne religieuse, a épousé Martin Luther (1525). Au dire de tous, ils ont connu un mariage heureux au sujet duquel Luther a dit : « Il n’y a pas de liens plus doux ni de séparations plus cruelles que ceux qui se produisent au cours d’un bon mariage. »
SE SOUCIER DES AUTRES
Les statistiques nous jouent parfois des tours. Même si les chiffres nous renseignent, il arrive aussi qu’ils nous désensibilisent par rapport aux gens qu’ils représentent. Cela m’a frappé dernièrement tandis que je lisais des statistiques : chaque année, 15 millions de personnes meurent de faim. Cela donne froid dans le dos ; et pour ceux d’entre nous qui vivent dans une société d’abondance, la chose est difficile à imaginer. En 2008, près de neuf millions d’enfants sont morts avant l’âge de cinq ans, et le tiers d’entre eux à cause de la famine. Ces chiffres sont ahurissants, mais ils représentent beaucoup plus que de simples chiffres. Ce sont des gens que Dieu aime.
PORTES OUVERTES
Le philosophe danois Søren Kierkegaard (1813-1855) a écrit : « Si je devais émettre un vœu, je ne voudrais ni richesse ni puissance, mais […] l’œil qui, toujours jeune, toujours brûlant, découvre partout le possible. »
MALHEUREUX ET INDIGENT ?
D’une certaine manière, nous pouvons tous nous identifier à David lorsqu’il dit : « Car je suis malheureux et indigent » (Ps 86.1). Même le plus riche d’entre nous devrait comprendre que la pauvreté et le besoin concernent plus l’esprit que le portefeuille. Lorsque le milliardaire Rich DeVos s’adresse à des groupes, il dit souvent : « Je ne suis qu’un pécheur sauvé par grâce. »
LE DIABLE M'Y A CONTRAINT
En mars 2009, on a accusé une femme d’avoir détourné plus de 73 000 $ des fonds de son Église dans l’État de Washington. Lorsque les détectives l’ont interrogée, elle leur a répondu : « Satan a joué un grand rôle dans ce vol. » On aurait dit qu’elle prétendait que le diable l’y avait contrainte.
Il se peut que Satan…