Notre tâche prioritaire
Lorsqu’une érudite britannique a appelé les adeptes de toute religion à travailler ensemble à l’unité mondiale, les gens de partout l’ont applaudie. En faisant remarquer que les religions principales avaient une foi commune dans la Règle d’or, elle a suggéré ceci : « La tâche prioritaire de notre époque consiste à bâtir une société planétaire dans laquelle les gens de toutes convictions pourront vivre ensemble en paix et en harmonie. »
Trop près
J’ai grandi en Oklahoma, où de fortes intempéries sont monnaie courante du début du printemps jusqu’à la fin de l’été. Je me rappelle un soir où le ciel bouillonnait de sombres nuages, le météorologue à la télé nous a prévenus qu’une tornade approchait, puis il y a eu une panne d’électricité. Mes parents, ma soeur et moi nous sommes alors empressés de descendre l’escalier de bois menant à l’abri aménagé derrière la maison, où nous avons attendu que passe la tempête.
Avec respect
Le gouvernement d’Israël donnait du fil à retordre à son peuple. Vers la fin de l’an 500 av. J.-C., les Hébreux étaient impatients d’achever la reconstruction du Temple, que Babylone avait détruit en 586 av. J.-C. N’étant toutefois pas certain que le peuple avait raison de le reconstruire, le gouverneur de la région a envoyé un mot à ce sujet au roi Darius (ESD 5.6-17).
Ver luisant
En réponse à une personne le critiquant, l’ancien premier ministre britannique Winston Churchill a répondu : « Nous sommes tous des vers, mais je crois être un ver luisant. » Aujourd’hui, à un match de football, j’ai été témoin d’une réaction différente, mais de plus en plus commune, à une critique. Au lieu de tenter de redresser la situation avec humour et grâce, un groupe de parents a pratiquement pris d’assaut le terrain lorsqu’un arbitre a sanctionné un joueur de leur équipe. Lorsque le joueur a répliqué impoliment à l’arbitre, les parents ont crié : « Bien dit ! Tu avais raison, et tu dois le faire savoir à l’arbitre ! » Plus le garçon était impertinent, plus les parents l’encourageaient bruyamment. Ce faisant, ils ont démontré leur ignorance et leur mépris du commandement fondamental de Dieu : « Soyez soumis, à cause du Seigneur, à toute autorité établie parmi les hommes » (1 PI 2.13).