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Qu’est‑ce qui dure toujours ?

Un ami ayant traversé de nombreuses difficultés dernièrement a écrit : « En me remémorant les quatre derniers trimestres en tant qu’étudiant, force m’est de constater que beaucoup de choses se sont produites. […] C’est affolant, vraiment affolant. Rien ne dure toujours. »

Sa Parole : le mot de la fin

Dawson Trotman, leader chrétien dynamique du milieu du XXe siècle et fondateur des Navigateurs, a insisté sur l’importance que revêt la Bible dans la vie du croyant. Trotman terminait chacune de ses journées par ce qu’il appelait « Sa Parole : le mot de la fin ». Avant de s’endormir, il méditait un verset ou un passage biblique qu’il avait mémorisé, puis il priait pour que celui‑ci influence le cours de sa vie. Il désirait que les dernières paroles qui nourrissaient sa réflexion chaque jour soient celles de Dieu.

Bonté certaine

En grandissant, ma soeur et moi avons reçu de nos parents un enseignement sur l’amour de Jésus et nous avons appris à apprécier la prière personnelle avec lui. Étant plus âgée, les diverses épreuves de la vie m’ont mis beaucoup de pression et mes prières se sont transformées en requêtes fondées sur mes besoins plutôt qu’en dialogues avec celui qui aime donner à ses enfants (MT 7.11). Autrement dit, mes prières dépendaient des circonstances plutôt que du caractère de Dieu. Avec le temps, j’ai appris à demander selon sa volonté, mais aussi selon sa bonté.

Contemplez-le

À quand remonte la dernière fois où vous avez passé du temps dans le silence à apprécier la beauté de Dieu ? Un certain artiste chrétien croit que la contemplation de sa beauté est nécessaire à la vie chrétienne. L’auteur Joseph Sunde, dans un article de blog intitulé Beauty on a Bike Ride (La beauté lors d’une promenade à vélo), a cité l’artiste Mako Fujimura : « Peut-être la meilleure chose que nous pourrions faire en tant que communauté chrétienne est de contempler notre Dieu et sa création. »

Porter du bon fruit

Ma vue par le hublot de l’avion était frappante : d’étroits champs de blé mûr et des vergers nichés entre deux montagnes nues. Une rivière traversait la vallée. Une rivière d’eau vivifiante, sans laquelle aucun fruit ne pourrait pousser.

Avancer péniblement

Kellie Haddock est une femme courageuse que je connais et que j’admire depuis plus d’une décennie. En 2004, j’ai lu pour la première fois le blog qu’elle a écrit à la suite de l’accident tragique qui a coûté la vie à son mari et a causé des blessures permanentes à son bébé, Eli.

Quelque chose cloche

Le lendemain de la naissance de notre fils Allen, le médecin m’a dit : « Quelque chose cloche. » Notre fils, d’apparence si parfaite, avait un défaut de naissance risquant de lui être fatal et devait être envoyé en avion dans un hôpital situé à 1130 km pour qu’on l’y opère d’urgence.

Les bras ouverts

Le jour où mon mari, Dan, et moi avons commencé à donner des soins à nos parents vieillissants, nous nous sommes pressés l’un contre l’autre, car nous avions l’impression de nous jeter d’une falaise. Nous ignorions alors que, chemin faisant, nous aurions à accomplir une tâche des plus ardues consistant à laisser Dieu sonder et façonner notre coeur, ainsi qu’à profiter de cette période particulière pour raviver notre amour envers lui.

Atteindre l’équilibre

C’est l’hiver dans la ville de New York. La température de l’air frôle la congélation. Un homme enfile sa combinaison de plongée et se prépare à surfer sur les vagues de Long Beach, une région au sud de Queens où il vit. Avant d’entrer dans l’eau, il médite sur les dangers à éviter et prie les dieux de l’océan. Sur sa planche de surf, une création hawaïenne de 2,7 mètres, se trouve une photo de son gourou spirituel maintenant décédé. L’homme dit que l’image lui procure « l’équilibre ».

S.O.S. (Mayday)

Le signal de détresse international « S.O.S. » (Mayday) est toujours répété trois fois de suite, afin de veiller à ce que l’on comprenne clairement l’urgence de la situation qui représente une menace pour la vie. Alors officier radio en chef à l’aéroport Croydon de Londres, Frederick Stanley Mockford a créé ce signal en 1923. Or, ces installations maintenant fermées ont jadis enregistré un grand nombre de départs vers l’aéroport Le Bourget de Paris et d’arrivées en provenance de ce dernier. Selon le National Maritime Museum, Mockford aurait forgé le mot « Mayday » en déformant l’appel à l’aide en français m’aidez.