LETTRE D’AMOUR
Chaque matin, à mon arrivée au bureau, j’ai pour habitude simple de vérifier tous mes courriels. La plupart du temps, je les survole d’un œil négligeant. Il y en a toutefois certains qu’il me tarde d’ouvrir. Comme vous l’aurez deviné, il s’agit de ceux provenant des êtres qui me sont chers.
Chars et ordinateurs
Je fixais l’écran vide de mon ordinateur. Ce n’était pas une de ces pages blanches qui nous fait signe de la remplir de mots. C’était un écran totalement noir. J’ai secoué la souris, rien. J’ai enlevé la pile et laissé le cordon d’alimentation branché et j’ai tenté de le redémarrer. Toujours rien. Finalement, l’écran a repris vie dans un clignotement. Je pouvais maintenant me remettre au travail. Enfin, c’est ce que je croyais. Mais l’écran s’est assombri à nouveau, me confirmant que j’allais devoir me procurer un nouvel appareil très bientôt.
JE SUIS RACHETÉ !
Un jour qu’Ann rendait visite à son mari à l’hôpital, elle s’est mise à discuter avec un soignant de service. Ann se plaît à engager la conversation avec des gens partout où elle est et à trouver le moyen de leur parler de Jésus. Ann a demandé au soignant s’il savait ce qu’il désirait faire à l’avenir. En l’entendant lui répondre qu’il n’était pas certain de le savoir, elle lui a indiqué qu’il importait de connaître d’abord Dieu pour que celui-ci nous aide à prendre de telles décisions. C’est alors qu’il a relevé sa manche de chemise pour lui montrer qu’il s’était fait tatouer « I am redeemed ! » (Je suis racheté !) sur le bras.
Bonne année !
Bonne année ! Que cette année soit remplie de joie ! Ces voeux, nous allons les entendre à profusion aujourd’hui. Et vous les souhaiterez vous-même aux autres. Sans aucun doute, chacun de nous espère que la prochaine année sera remplie de bénédictions et de joie. Le psalmiste a verbalisé son désir de connaître des jours heureux à l’avenir en affirmant ceci avec ssurance : « Heureux celui qui a pour secours le Dieu de Jacob, qui met son espoir en l’Éternel, son Dieu ! » (Ps 146.5.)
Vous lui appartenez
Qu’il est pénible d’être la propriété d’un autre être humain. Les esclaves sont des gens souffrant d’abus et de tristesse inimaginable parce que leur vie ne leur appartient pas en propre. On leur impose un logis, un travail et même un(e) époux(se). Ils n’ont rien à dire. Il est si difficile d’appartenir à quelqu’un que, même à notre époque, on exprime la domination d’une personne sur une autre en utilisant des paroles comme : « Suzanne tient Tom en laisse », ce qui signifie qu’elle lui fait faire ce qu’elle veut.
BIEN AU CHAUD
Lorsque j’étais enfant, ma famille vivait dans une maison que mon père avait bâtie dans une forêt de cèdres située à l’ouest de Duncanville, au Texas. Notre maison comportait une petite aire de cuisine, deux chambres à coucher et une grande salle munie d’un imposant foyer de pierres dans lequel nous brûlions des bûches longues de plus d’un demimètre. Ce foyer constituait le cœur chaleureux de notre maison.
Lorsque donner n’aide pas
Les enfants de la rue peuplent la plupart des intersections de Kampala, la capitale de l’Ouganda. J’en connais beaucoup par leur prénom, et quand je suis prise dans un embouteillage, ils se rassemblent régulièrement autour de ma voiture pour parler et rire avec moi.
LES MERVEILLES DU CŒUR
Notre cœur bat à un rythme d’environ 100 000 battements par jour, injectant ainsi du sang dans chacune des cellules de notre corps. Cela totalise environ 35 millions de battements par année et 2,5 milliards de battements au cours d’une vie moyenne. La médecine nous indique que toute contraction est semblable à l’effort qu’il faudrait déployer pour tenir une balle de tennis dans la paume de sa main et la serrer bien fort.
DANS QUEL CAMP ÊTES-VOUS ?
Au cœur de la guerre de Sécession, un des conseillers du président Lincoln a déclaré qu’il était reconnaissant de ce que Dieu prenait le parti de l’Union. Ce à quoi Lincoln a répondu : « Monsieur, ce qui m’intéresse, ce n’est pas de savoir si Dieu est dans notre camp ; ma plus grande préoccupation, c’est d’être dans celui de Dieu, car Dieu a toujours raison. »
L'harmonie
Un groupe de jeunes adultes avait passé de nombreuses heures à étudier l’Écriture et à oeuvrer côte à côte. Il va sans dire qu’un lien étroit s’était formé entre eux. Mais un problème susceptible d’anéantir cette camaraderie est apparu. Ils ne pouvaient se mettre d’accord sur la façon de l’aborder. Soudainement, ils n’étaient plus aussi unis qu’avant. Tout le monde a été convié à un repas pour mettre les choses au clair. Ils ont tous appris une importante leçon sur l’unité, un élément fondamental du Psaume 133.