Service fidèle
Ayant servi sous les drapeaux durant la Première Guerre mondiale, C. S. Lewis connaissait bien le stress associé au service militaire. Dans un discours public qu’il a donné durant la Seconde Guerre mondiale, il a décrit avec éloquence les épreuves que le soldat doit vaincre : « La crainte procède de l’adversité sous toutes ses formes et est omniprésente dans la vie du soldat en service actif. Comme la maladie, elle nous menace de souffrance et de mort. Comme la pauvreté, elle nous menace d’un mauvais logement, de froid, de chaleur, de soif et de faim. Comme l’esclavage, elle nous menace d’un dur labeur, d’humiliation, d’injustice et de règles arbitraires. Comme l’exil, elle nous sépare de tout ce que nous aimons. »
Une foi diluée
Habituellement, je pense au sel dans le contexte de ce que je consomme, comme quand mon médecin « m’encourage » sans cesse à dire non à l’utilisation d’une trop grande quantité de cette substance. Mais le sel n’est pas seulement quelque chose dont on saupoudre les frites. Dans les temps anciens, on l’utilisait pour conserver les aliments, ou comme offrande, et on le frottait sur les nouveau-nés comme acte de purification (Lé 2.13 ; Éz 16.4). Dans cette optique, le sel est le symbole de notre caractère unique en tant que croyants en Jésus – nous sommes mis à part, bénis, utiles et saints
Un pas plus près
Il y a quelques années, un ami et moi avons décidé de gravir le mont Whitney. Ayant 4421 mètres d’altitude, son sommet est le plus élevé des États‑Unis. Nous avons atteint le portail Whitney tard un soir, nous avons déroulé nos sacs de couchage dans le campement de base et nous avons essayé de dormir un peu avant d’amorcer notre ascension dès l’aube. Techniquement parlant, Whitney n’exige pas une escalade, mais plutôt une longue marche épuisante – une ascension incessante de près de 18 km.
Terminez en beauté
À la suite du décès de ma grand-mère, nos jumeaux de cinq ans nous ont interrogés, mon mari et moi, au sujet de la mort. Tout ce que j’ai pensé dire c’est qu’elle s’en est allée après avoir terminé son travail. C’est une idée simple, mais l’Écriture révèle que nous avons un certain nombre de jours pour terminer notre travail sur terre (Ps 39.4 ; 90.10,12).
Décisions du coeur
Une jeune femme a écrit : « Je suis tombée amoureuse d’un non-croyant, mais je sais que ce n’est pas bien. Que dois-je faire ? » Un de nos auteurs a publié cette question ainsi que sa réponse sur le site Web du NMQ.
Regards bien dirigés
J’accorde beaucoup d’importance à l’excellence, et je dois même lutter contre le perfectionnisme de temps en temps. Mais il m’arrive de préférer la vitesse à la précision. La preuve, il y a tout plein de petits trous derrière les photos accrochées à mes murs. Il n’est donc pas surprenant de voir des photos tomber de temps à autre. Après tout, je ne peux pas m’attendre à grand‑chose d’une technique qui s’appuie sur une brosse à cheveux en guise de marteau, et sur un bon oeil au lieu d’un ruban à mesurer. Mes tentatives paraissaient simplement plus rapides que la précision de mesure.
Pas trop jeune
Des recherches récentes ont révélé ce que les adolescents désirent vraiment de la part des adultes dans leur vie. Les études de l’Institut de recherche ont permis de découvrir que les adolescents veulent que leurs parents et autres influenceurs plus âgées fassent ce qui suit : 1. Regarde‑nous. 2. Passe du temps avec nous. 3. Écoute‑nous. 4. Sois fiable. 5. Démontre de la reconnaissance pour ce que nous faisons. 6. Relaxe. 7. Démontre de l’intérêt. 8. Ris avec nous (et de toi‑même). 9. Demande‑nous de t’aider. 10. Mets‑nous au défi.
Persévérance
Récemment, j’ai fait un voyage de 17 heures de route en compagnie de ma famille et d’un étudiant étranger. Nous avions décidé de passer par un pays limitrophe pour gagner du temps. Malheureusement, nous avons dû rebrousser chemin à la frontière étant donné que notre étudiant étranger ne possédait pas les papiers appropriés. Cette sécurité accrue était porteuse de mauvaise nouvelle pour nous. Nous étions déçus mais, sans nous décourager, nous avons emprunté le chemin long qui menait à notre destination.
UNE VIE DE CONSTANCE
En étudiant le livre de Daniel, j’ai été frappé de constater avec quelle facilité il aurait pu éviter de se faire jeter dans la fosse aux lions. Les rivaux jaloux de Daniel au sein du gouvernement de Babylone lui ont tendu un piège en fonction de l’habitude qu’il avait de prier Dieu chaque jour (Da 6.1-9). N’ignorant rien de leur complot, Daniel aurait très bien pu décider de prier en privé pendant un mois jusqu’à ce que les choses rentrent dans l’ordre ; mais ce n’était pas son genre.
La joie durant le voyage
L’annonce d’une balade en voiture en famille est le moyen le plus rapide pour que mes deux jumeaux de six ans soient prêts et assis dans la voiture. Mais alors que nous descendons notre rue, que nous tournons le coin et que nous nous engageons sur l’autoroute, le refrain du voyage standard se fait entendre du siège arrière par de petites voix : « On arrive quand ? » C’est une question qui est souvent répétée, et bien que les parents s’en lassent rapidement, les enfants n’envisagent jamais d’abandonner le voyage et de rentrer à la maison. Ils peuvent devenir impatients, mais ils veulent poursuivre jusqu’à destination.