Rouler de dessus nous
J’ai honte de l’admettre, mais parfois je prie pour que Dieu me trouve un bon endroit où stationner lorsque je vais chercher mes enfants à l’école. Je me demande si je fais cela parce que, au fond de moi-même, je crois que Dieu n’est capable de prendre soin que des petites choses de la vie, et pas beaucoup plus.
Amener nos amis à Jésus
Lorsque j’étais enfant, la poliomyélite faisait partie des maladies les plus redoutées. On l’appelait aussi paralysie infantile parce qu’elle affectait majoritairement de jeunes enfants. Avant qu’un vaccin soit développé dans les années 1950, chaque année, aux États-Unis seulement, 20 000 enfants étaient paralysés et environ 1 000 petits mouraient à cause de cette maladie.
Quelle tristesse ?
Dans la foulée de nombreuses confessions publiques de politiciens déchus, de personnalités sportives et de dirigeants d’entreprises, Paul Wilkes fait référence à la distinction pratique que fait Susan Wise Bauer : « Les excuses sont une expression de regrets : Je suis désolé. Une confession, c’est l’aveu d’une faute : Je suis désolé d’avoir commis une faute. J’ai péché. » Elle continue ainsi : « Les excuses sont adressées à un public. Les confessions impliquent un changement intérieur… qui se manifeste par des actions visibles. »
Dieu a tant aimé…
Le 28 juillet 2014 a marqué le 100e anniversaire du début de la Première Guerre mondiale. Dans les médias britanniques, de nombreux débats et documentaires ont retracé le début de ce conflit de quatre ans. Même le programme télévisé M. Selfridge, basé dans un vrai magasin à Londres, inclut un épisode de 1914 montrant de jeunes employés faisant la queue pour s’engager comme volontaires dans l’armée. En observant ces expressions de sacrifice de soi, j’ai senti ma gorge se nouer. Ces soldats étaient si jeunes, si enthousiastes, et si incertains de revenir de l’horreur des tranchées.
Examen de conscience
Yed Anikpo a créé une application mobile appelée Heartpoints pour aider les chrétiens à suivre leurs progrès spirituels. Les utilisateurs de l’application peuvent passer en revue leur historique quotidien pour se réjouir de leurs victoires ou se repentir de leurs péchés. Selon Anikpo, « Heartpoints peut nous aider à définir ce qui constitue notre marche aujourd’hui, afin de l’examiner et de l’utiliser pour éclairer […] notre pèlerinage de demain. »
Au bord
Il existe un tunnel de lave souterrain au sud de Kuna, dans l’Idaho, qui a gagné une certaine notoriété auprès des gens de la région. Si je ne m’abuse, il a pour seule entrée un puits béant plongeant tout droit dans les ténèbres.
Le désordre de qui ?
Est‑ce qu’ils ne pourraient pas transporter leurs ordures jusqu’ici ? » ai‑je grommelé à Jay en ramassant des bouteilles vides sur la plage et en les jetant dans la poubelle située à moins de six mètres de là. « Le fait de laisser la plage sale pour les autres leur procure‑t‑il plus de fierté ? J’espère vraiment que ce sont des touristes. Je préfère croire que parmi les gens du coin aucun ne traiterait notre plage avec aussi peu de respect. »
Mangeur de péchés
Il y a longtemps dans quelques endroits du Royaume-Uni et des États-Unis, il existait une pratique qui consistait à manger les péchés. Un mangeur de péchés était habituellement une personne pauvre et affamée qu’on amenait dans la maison d’une personne décédée. On lui donnait du pain à manger et quelque chose à boire. Après avoir terminé son repas, il accomplissait un rituel de prières pour le défunt. Cette curieuse coutume déchargeait la personne, et parfois toute une famille, de ses péchés. Le mangeur de péchés était ensuite banni par la communauté jusqu’à ce qu’on ait besoin de lui à nouveau. Pourquoi était-il banni ? Il avait « mangé » (pris sur lui) les péchés du mort.
Au café
Crystal regarde fixement par la fenêtre du café et se demande si la vie ne s’améliorera jamais. Déjà cinq hommes et deux enfants, et elle n’a que vingt-neuf ans. Elle se sent seule et se demande si l’homme numéro six rendra les choses meilleures.
Présent dans le fatras
La famille royale de Dieu dans la Genèse est quelque peu louche. Pensons à la famille d’Abraham. Il a couché avec sa servante et a, par la suite, consenti au désir de sa femme en la forçant, elle et son fils à s’exiler dans le désert (Ge 21.14). Quelle famille pourrait faire pire ?