D’agréables rappels
Lors de sa découverte en 1922, le tombeau du roi Toutankhamon était rempli de choses que les Égyptiens de l’Antiquité croyaient nécessaires à la vie après la mort. Parmi des articles comme des autels en or, des bijoux, des vêtements, des meubles et des armes se trouvait un pot rempli de miel – encore comestible après 3200 ans !
Des paroles insouciantes
Ma fille a souvent été malade ces derniers temps, et son mari s’est montré merveilleusement attentionné et solidaire. « Tu as trouvé un véritable trésor ! » lui ai-je dit. « Ce n’est pas ce que tu pensais de lui quand je l’ai rencontré pour la première fois », m’a-t-elle répondu avec un large sourire.
Battus
L’autre jour, j’ai lu deux passages, l’un dans Deutéronome et l’autre dans Nombres, qui disaient pratiquement la même chose. Ils m’ont fait mieux reconnaître les conséquences qui résultent de la désobéissance à Dieu et du fait de ne pas tenir compte de ses avertissements. En bref : Avancer sans la direction, l’autorisation et l’aide de Dieu, peu importe de quelle façon nous justifions nos paroles ou nos actions, mènera au jugement.
Une petite chose ?
Les résidents de l’État ensoleillé de la Floride, aux États‑Unis, sont aux prises avec une créature qui se déplace lentement, mais qui est très destructrice. L’escargot géant africain, qui peut atteindre la taille d’un rat, fait des ravages, car il ronge le stuc qui recouvre l’extérieur des maisons et dévore chaque plante qui se trouve sur son chemin. De plus, ces escargots produisent 1 200 oeufs par année et laissent derrière eux une trace dégoûtante de boue et d’excréments partout où ils vont. Ces petits animaux, lents et en quelque sorte petits, sont rapidement devenus un problème important.
Vous êtes ce que vous dites
Il est vrai que « vous êtes ce que vous mangez ». J’ai une marque favorite de céréales sucrées qu’il m’arrive parfois de grignoter, même en sachant qu’une demi‑heure plus tard, je risque de m’effondrer. Il est important d’avoir un bon régime alimentaire parce que, grâce au miracle du métabolisme, notre nourriture devient une partie de nous‑mêmes. Mon corps pourrait bien être composé de 20 % de lait et de sirop de maïs hydrogéné !
Aucune réserve
Tout récemment, les paroles d’un ami ont rendu l’une de mes proches anxieuse et triste. La personne a confié certaines de ses expériences passées en tentant maladroitement « d’aider » mon être cher à mieux comprendre ses difficultés du moment. Malheureusement, l’ami en question n’avait aucune réserve ! Il en a raconté plus qu’il aurait dû et cela a amené le membre de ma famille à éprouver de la peur et de la détresse.
UNE GUERRE DE MOTS
Le 28 juillet 1914, l’Autriche et la Hongrie ont déclaré la guerre contre la Serbie en réaction à l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand et de sa femme, Sophie. En moins de quatrevingtdix jours, d’autres pays d’Europe avaient choisi leur camp afin d’honorer leurs alliances militaires et de poursuivre leurs propres ambitions. Il a suffi d’un seul évènement ayant dégénéré pour amorcer la Première Guerre mondiale, un des conflits militaires parmi les plus destructeurs des temps modernes.
UNE PAROLE DITE À PROPOS
Il se peut que vous ayez entendu l’adage : « Tout est question de timing. » Selon la Bible, le bon timing s’applique également à nos paroles. Réfléchissez à un moment où Dieu s’est servi de vous pour donner une parole à propos afin de rafraîchir quelqu’un ou vous a fait taire alors que vous désiriez prendre la parole parce qu’il était plus sage de ne rien dire.
LE BON VIEUX HIBOU
Il y a quelques années, un auteur anonyme a écrit un court poème portant sur l’avantage de savoir mesurer ses propos : « Assis dans un chêne se trouvait un bon vieux hibou ; plus il voyait, moins il parlait ; moins il parlait, plus il entendait ; pourquoi ne sommes-nous pas tous comme ce vieux hibou ? »
Des paroles infectueuses
Dans le film Doute (2008), un prédicateur raconte l’histoire d’une dame qui confesse son péché de commérage au curé. Il lui dit de se rendre chez elle, de monter sur le toit avec un oreiller de plumes, de l’ouvrir avec des ciseaux et de revenir le voir. Elle fait comme il a dit. Le curé lui demande de décrire ce qu’elle a vu. « Des plumes partout, mon père. » Il répond : « Je veux que tu retournes les récupérer. » Elle proteste : « C’est impossible ! Je ne sais pas où elles sont allées. Le vent les a emportées très loin. » Le curé répond : « C’est exactement comme le commérage ! »