BIEN VIVRE
La beauté, la richesse, la puissance, l’amour, le mariage et les plaisirs sont de bonnes choses, mais pas les meilleures. Le mieux, c’est d’aimer Dieu et d’accepter son amour – de le glorifier et de nous lier d’amitié avec lui pour la vie. Cette attitude nous assure la meilleure des vies en raison de la satisfaction et de la joie qu’elle nous procure actuellement (Jn 10.10) et du fait que c’est ce que les chrétiens feront pour l’éternité.
UNE LETTRE IMPÉRISSABLE
Les membres de la même famille qui ont fondé les boutiques d’artisanat Hobby Lobby sont nés de nouveau. Le président, Steve Green, se passionne pour la Bible et projette d’établir un musée de la Bible qui exposera des livres et des manuscrits rares provenant des quatre coins du monde. Il a dit : « Nous désirons […] encourager les gens à tenir compte de ce que [ la Bible ] a à dire. […] Nous nous sommes donné pour but de créer un musée autour de l’histoire de la Bible. Aucun livre n’a été plus mal traité et plus aimé. Son histoire incroyable mérite d’être racontée. »
UN MESSAGE DE LA PART DE DIEU
En 1971, Ray Tomlinson faisait des expériences pour voir comment les gens et les ordinateurs pouvaient interagir. En envoyant par son ordinateur un message à un autre appareil de son bureau par un réseau, il a envoyé le tout premier courriel. Aujourd’hui, des décennies plus tard, plus d’un milliard de courriels sont envoyés chaque jour, un grand nombre renfermant d’importantes nouvelles, mais d’autres véhiculant parfois des publicités indésirables ou un virus destructeur. Voici une règle fondamentale régissant les courriels : « Ne les ouvrez pas, à moins d’en connaître les expéditeurs. »
VINGT-SEPT POUR CENT
Les gens entretiennent des attitudes variées par rapport aux prophéties bibliques. Certains croyants s’en préoccupent à tel point qu’ils passent leur temps à discuter des derniers événements de l’actualité, voyant en eux les signes bibliques indiquant que le retour de Christ pourrait avoir lieu à tout instant. D’autres envisagent ces prophéties avec une telle nonchalance qu’ils semblent ne faire aucun lien entre elles et la vie chrétienne.
LE CERCLE DES SAGES
Je siégeais auparavant au conseil des anciens d’une Église californienne. Un des anciens plus âgé que la plupart d’entre nous, Bob Smith, nous exhortait souvent à consulter la Parole de Dieu pour obtenir une direction.
L’ESPRIT DE L’ÉPOQUE
Chaque époque possède ses propres pensées, idées et valeurs qui influencent la culture ; il s’agit de « l’esprit de l’époque ». C’est le genre de consensus grandissant qui nous endort, nous amenant petit à petit à adhérer aux valeurs à la mode dans la société.
LA SURDITÉ
Lorsque Thomas Gallaudet a obtenu son diplôme du séminaire en 1814, il envisageait de devenir prédicateur. Cependant, son appel au ministère a pris une direction différente lorsqu’il a rencontré Alice, une fillette de neuf ans et malentendante de son quartier. Gallaudet s’est mis à communiquer avec elle en écrivant des mots au sol à l’aide d’un bâton.
DE LA TÊTE AU COEUR
Lorsque j’étais enfant, mon professeur de piano était à cheval sur la mémorisation. Il ne suffisait pas que je sois capable de jouer un morceau sans erreur. Je devais jouer de mémoire plusieurs morceaux à la perfection. C’est qu’elle ne voulait pas que, si on leur demandait de jouer, ses élèves disent : « Je suis désolé, je n’ai pas ma partition avec moi. »
NI PLUS NI MOINS
Je lisais quelque chose dernièrement qui disait combien il est facile de déformer le message de la Bible. Il se peut que nous lui fassions dire ce que nous croyons déjà être vrai au lieu de lui permettre de nous parler au moyen du message que Dieu a voulu nous communiquer. Certaines personnes utilisent la Bible pour défendre une opinion, alors que d’autres l’utilisent pour s’attaquer à cette même opinion. Tous la citent afin d’étayer leurs points de vue respectifs, mais tous ne peuvent pas avoir raison.
LEÇONS TIRÉES D’UNE CLÔTURE
Lorsqu’un vent furieux de mars a abattu une section de la clôture entourant notre maison, j’ai eu pour première réaction d’en imputer la faute à celui qui l’avait construite pour moi à peine quelques mois plus tôt. En y repensant, j’ai toutefois compris que la faute me revenait. Vers la fin des travaux, j’ai dit à l’ouvrier qu’il était inutile de remplacer quatre poteaux de l’ancienne clôture par de nouveaux ancrés dans le béton. « Contentez-vous d’attacher la nouvelle clôture aux anciens poteaux. Ça ira », lui ai-je dit. Et ce fut le cas, jusqu’à ce qu’un grand vent se mette à souffler.