Vagues d’espoir
En 1966, le sénateur américain Robert Kennedy a fait une visite influente en Afrique du Sud. Là, il a offert des paroles d’espoir aux adversaires de l’apartheid, dans son célèbre discours intitulé « Vagues d’espoir », à l’Université de Cape Town. Dans son exposé, il a déclaré : « Chaque fois qu’un homme défend un idéal ou agit pour améliorer le sort des autres ou se bat contre l’injustice, il envoie une petite vague d’espoir, et ces ondulations, provenant de millions de différents centres d’énergie et d’audace, forment un courant susceptible de balayer les murs les plus épais de l’oppression et de la résistance. »
Se faire violence
Il y a quelques années, j’ai travaillé comme enseignante suppléante à Birmingham en Angleterre. Au début, j’appréciais beaucoup la collaboration de l’aide enseignante. Mais lorsqu’elle s’est mise à prendre le contrôle de la classe, j’ai été tentée de céder au ressentiment et à l’insécurité. Mais j’ai décidé d’agir à l’inverse de mes sentiments et je lui ai communiqué toute mon appréciation, j’ai prié pour elle et je lui ai demandé des explications avec amour. Lorsque le temps est venu pour moi de quitter mon poste, elle m’a donné un cadeau et une lettre de remerciement. Faire le contraire de ce que mes émotions me dictaient a dissipé les sentiments hostiles d’une aide-enseignante qui aurait pu se sentir menacée et incomprise.
Fruits pourris
Il y a une section « vente rapide » dans mon supermarché du quartier où les fruits sont vendus au rabais. S’ils ne sont pas vendus rapidement, les aliments comestibles bien mûrs deviennent mous, flasques et infectés par les champignons.
À la fin…
Dans l’East End j’ai trouvé la grâce, la foi et l’espoir, cachés dans les coins les plus sombres. J’ai vu de la tendresse, de la misère et des rires parmi les saletés. Je me suis trouvé un but et une voie, et j’ai travaillé avec passion et avec la meilleure des raisons – je l’ai fait par amour. Cette citation prise d’un épisode de la série de la BBC SOS sages-femmes représente non seulement la vie dans les années 50 dans un quartier pauvre de Londres, mais elle reflète aussi la façon dont nous devrions vivre notre foi en Jésus.
Racontez votre histoire
On a demandé à Michael Dinsmore, ancien prisonnier et relativement nouveau chrétien, de donner son témoignage en prison. Après qu’il s’est exécuté, certains détenus sont venus lui dire : « C’est la réunion la plus captivante à laquelle on ait jamais assisté ! » Michael s’est étonné de constater que Dieu pouvait utiliser son histoire toute simple.
Mauvaises habitudes
Notre petite fille a toujours préféré dormir à plat ventre sans oreiller. Mais l’hiver dernier, elle a développé une maladie des sinus, et la seule façon d’arrêter sa toux pendant la nuit était de la coucher sur le côté la tête sur un oreiller. Ses six années à dormir à plat ventre sans oreiller sont devenues une habitude qui l’empêchait de rester dans cette position surélevée plus que quelques instants avant qu’elle ne se tortille et s’endorme sur le ventre.
JOINDRE LA MISÉRICORDE À LA JUSTICE
Lorsqu’un prévenu comparaît devant un juge, il est à la merci du tribunal. S’il est innocent, le tribunal devrait être un refuge pour lui. Par contre, s’il est coupable, on s’attend à ce que le tribunal lui impose une peine.
MIEUX QU’AVANT
Très jeunes, mes enfants avaient la peau presque parfaite. Elle était douce. Par ailleurs, ils n’avaient aucune sécheresse aux coudes ni corne aux pieds. Leur peau neuve contrastait avec la mienne, sur laquelle le passage des ans avait laissé diverses cicatrices et callosités.
Le petit peuple
Ils se sont assemblés sur l’herbe, montant sur les pentes pour mieux l’entendre. Le Maître se tenait là, sur la montagne, croisant le regard du plus grand nombre possible.
CHERCHER, ET NON SE CACHER
Lorsque notre fille était encore trop jeune pour marcher et ramper, elle s’est créé un moyen de se cacher des gens quand elle voulait qu’on la laisse seule ou avoir gain de cause. Elle se fermait tout simplement les yeux. Kathryn se disait que, si elle ne voyait personne, personne ne la voyait non plus. Elle employait cette tactique dans son siège de voiture lorsqu’un inconnu tentait de la saluer ; elle s’en servait dans sa chaise haute lorsque sa nourriture lui déplaisait ; elle y avait même recours lorsqu’on lui annonçait que l’heure du coucher était venue.