Le don
La plupart d’entre nous ne diront pas, tout naturellement, qu’ils sont prêts à mourir en paix. Nous devons faire l’expérience de quelque chose de très profond avant de pouvoir prononcer ces mots ! Pourtant, c’est exactement ce qu’a affirmé Siméon alors qu’il tenait le bébé Jésus dans ses bras. Il a dit à Dieu : « [Tu] laisses ton serviteur s’en aller en paix » (LU 2.29).
Soldats de plastique et BGI
Nos deux jeunes fils voulaient une crèche de Noël. Nous en avons donc installé une petite dans leur chambre. Un soir, alors que ma femme les bordait, elle a aperçu de petits soldats de plastiques placés à côté de la crèche. Liam (cinq ans) les y avait disposés pour qu’« ils assurent la sécurité de bébé Jésus ».
Plutôt curieux
Sans moi vous ne pouvez rien faire.
Un amour infini
Les derniers actes historiques que rapporte l’Ancien Testament sont décrits dans les livres d’Esdras et de Néhémie, alors que Dieu permet au peuple d’Israël de rentrer d’exil à Jérusalem pour s’y établir de nouveau. La cité de David s’est alors repeuplée de familles hébraïques, un nouveau Temple y a été construit et les murailles en ont été réparées.
La dernière strophe
Au cours de l’été de 1861, la femme de Henry Wadsworth Longfellow, Frances, est décédée dans un tragique incendie. Le premier Noël sans elle, il a inscrit dans son journal : « Les Fêtes sont inexprimablement tristes. » Comme le Noël suivant n’était guère mieux, il a écrit : « Joyeux Noël, disent les enfants, mais ce n’est plus le cas pour moi. »
L’attente
Nous recherchons tous quelque chose. Que recherchez-vous ? Un emploi, un mariage, la paix familiale ? Imaginez avoir à attendre des siècles avant de voir une promesse s’accomplir, mais qu’il n’y ait aucune preuve qu’elle va réellement se réaliser. C’est sous ce climat spirituel et émotionnel que Jésus est né. Les gens attendaient que Dieu accomplisse sa promesse de restauration par le Messie, mais l’obscurité politique, sociale et spirituelle dissimulait toute preuve que Dieu tiendrait sa promesse. Plusieurs personnes en avaient assez de pratiquer la justice. Pourtant, un homme continuait d’attendre et avait confiance en la promesse de Dieu (Lu 2.25).
Un puissant rayon lumineux
Lorsque les nazis ont envahi la Pologne, le Père Maximilien Kolbe a transformé sa confrérie en centre de réfugiés. Avant que les troupes SS ne découvrent sa machination, il avait caché plus de 2 000 Juifs. Le SS a envoyé Kolbe à Auschwitz où il est devenu le prisonnier no 16670. Bien qu’il ait été battu, assujetti aux travaux forcés et qu’il n’ait eu que de maigres restes comme nourriture, sa douceur ne s’est jamais atténuée.