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Veillez et priez

De ma fenêtre, je peux voir une colline de 1700 m de hauteur appelée Cerro del Borrego ou « colline de la Brebis ». Or, en 1862, l’armée française a envahi le Mexique. L’ennemi étant cantonné dans le parc central d’Orizaba, l’armée mexicaine est venue camper au sommet de cette colline. Le général mexicain a toutefois omis de poster une sentinelle pour garder l’accès au sommet. Tandis que les troupes mexicaines dormaient, les Français les ont attaquées, tuant 2000 soldats.

Qui défendez‑vous ?

Appelée par son professeur à s’avancer devant la classe pour analyser la grammaire d’une phrase, Kathleen a paniqué. Nouvellement transférée dans cette école, elle n’avait pas encore appris cette notion grammaticale. La classe s’est alors moquée d’elle.

L’espèce humaine

Le réveille‑matin sonne. Trop tôt, semble‑t‑il. Mais une longue journée vous attend. Vous avez du travail à faire, des rendez-vous à respecter, des gens de qui prendre soin et plus encore. Sachez que vous n’êtes pas le seul. Tous les jours, nous sommes nombreux à aller d’une chose à une autre à vive allure. C’est le lot de toute l’humanité.

Changer de place

Il n’aurait pas dû se trouver là, mais sa douleur et l’isolement l’avaient poussé au désespoir. Sa vie se résumerait-elle à crier : « Impur ! Impur ! » chaque fois que quelqu’un s’approchait de lui ? À porter des vêtements déchirés pour signaler sa maladie… à se sentir si seul ?

Il y avait longtemps qu’on ne l’avait pas étreint. Et…

Un lieu lointain

L’île de Tristan da Cunha est célèbre pour son isolement. Il s’agit de l’île habitée, grâce aux 288 insulaires qui l’ont adoptée pour lieu de résidence, la plus lointaine du monde. Cette île se situe dans l’océan Atlantique Sud, à près de 2820 km de l’Afrique du Sud, la terre la plus proche. Quiconque veut y faire un saut doit naviguer pendant sept jours pour s’y rendre, car il n’y a aucune piste d’atterrissage sur l’île.

Intouchable

La lèpre était l’une des maladies les plus redoutées à l’époque de Jésus. La personne qui en souffrait était condamnée à vivre seule et isolée. Les lois cérémonielles juives interdisaient tout contact physique avec un lépreux. Celui-ci devait vivre hors du camp, à l’écart de sa famille et de ses voisins (LÉ 14.2,3). S’il venait à s’aventurer dans le grand public, il devait crier : « Impur ! Impur ! » afin que les gens sachent qu’ils devaient s’en tenir loin (13.45,46).

Publiez‑le !

Nous étions en 1975, et quelque chose d’important venait tout juste de m’arriver. Je devais trouver mon ami Francis, à qui je faisais bien des confidences, afin de lui en parler. Le trouvant à son appartement en train de se préparer à sortir à toute allure, je l’ai ralenti. Le regard qu’il m’a alors lancé m’a indiqué qu’il avait dû sentir que j’avais quelque chose d’important à lui dire : « Qu’y a‑t‑il ? » m’a‑t‑il demandé. Ce à quoi j’ai répondu : « Hier, j’ai donné ma vie à Jésus ! »

Savoir et faire

Le philosophe chinois Han Feizi a fait remarquer ceci au sujet de la vie : « Il est facile de connaître les faits. Il est cependant difficile d’agir selon les faits. »

Nul besoin de craindre

Un vol paisible était sur le point de devenir mouvementé. La voix du pilote est venue interrompre le service des boissons pour demander aux passagers de veiller à ce que leur ceinture soit bouclée. Puis l’avion n’a pas tardé à tanguer comme un navire sur un océan démonté. Alors que les autres passagers s’efforçaient de composer avec les turbulences, une fillette n’a cessé de lire son livre tout le long. Après l’atterrissage, on a voulu savoir ce qui lui avait permis de rester si calme. Ce à quoi elle a répondu : « Mon papa est le pilote et il me ramène à la maison. »

Des pécheurs comme nous

Je les déteste. Ce sont des _______ ! » (Il a utilisé un euphémisme pour canailles.) Plus je discutais avec l’adolescent, plus je constatais qu’il détestait un certain groupe d’élèves de son école à cause de leur façon de parler et d’agir. Mon jeune ami ne souhaitait pas se trouver en présence des fautifs et ne les aimait tout simplement pas. Bien que croyant en Jésus, il ne pouvait supporter la présence de gens qu’il considérait comme des vauriens.