Quand nous voyons Jésus
L’un de mes cantiques préférés est When we see Christ (Lorsque nous verrons Christ). Le refrain déclare que toutes nos difficultés et nos épreuves en auront valu la peine lorsque nous verrons Jésus face à face. En vue de ce jour, nous pouvons vivre avec courage pour lui aujourd’hui.
À la disposition de tous
Dans notre culture obsédée par la célébrité, il n’y a rien d’étonnant à ce que les entrepreneurs commercialisent « les célébrités à titre de produits… leur permettant de vendre des instants de leur vie privée et leur attention ».
Débordant de fruits
Je faisais ma promenade matinale lorsque j’ai vu quelque chose qui bloquait le sentier devant moi. Quelques mètres plus loin sur le trottoir, un énorme amoncellement de branches s’étendait par-dessus une clôture blanche. Des pommes mûres et rouges alourdissaient les branches !
L’amour de Dieu révélé
Quand je prends la parole dans un lycée, on me pose souvent cette question : « Si Dieu nous aime, pourquoi autant de gens souffrent dans le monde ? » Comme réponse, je demande à mes auditeurs de remettre en question l’idée selon laquelle Dieu exprimerait le mieux son amour pour nous en nous donnant des choses et en nous rendant la vie facile.
Le corps est important
La revue The Week contient une rubrique Et puis quoi encore ? qui traite des événements actuels. Dans un numéro récent, on a demandé aux lecteurs de soumettre leurs réponses à une question concernant un commentaire du chef et vedette de la télé, Anthony Bourdain : « Votre corps n’est pas un temple, c’est un parc d’attractions. Profitez des tours. »
Dieu avec nous
Le refrain de la chanson From a Distance, qui a remporté un Grammy, donne l’impression que Dieu nous regarde depuis un endroit éloigné. Dieu veille effectivement sur nous. Par exemple, quand il a rappelé à Jacob sa promesse de bénir toutes les familles de la terre à travers la sienne, Dieu a aussi promis de veiller sur elles partout où elles iraient.
Ce qui nous est cher
Abe vivait dans un pays où les habitants sont fermés au message de Jésus. Nous sommes devenus amis le premier mois où j’y ai vécu, et peu de temps après, il m’a demandé de lui enseigner la Bible.
Face à face
Même si le monde est électroniquement branché comme jamais auparavant, rien ne vaut la présence physique d’une personne. Quand on fraternise et l’on rit ensemble, on peut ressentir – presque inconsciemment – les émotions de l’autre en observant son expression faciale. Les gens qui s’aiment, proches ou amis, se plaisent à se côtoyer.
Le bien ultime
En Jamaïque, mes parents nous ont élevées ma soeur et moi en nous enseignant à devenir de « bonnes personnes ». Sous notre toit, cela voulait dire obéir à nos parents, dire la vérité, réussir à l’école et au travail, et aller à l’église… du moins à Pâques et à Noël. J’imagine que beaucoup de gens adhèrent à cette définition, quelle que soit leur culture. Or, l’apôtre Paul s’est servi, dans Philippiens 3, de la définition qu’en donnaient les gens de sa propre culture pour apporter un enseignement plus important encore.
Nous avons un Prêtre
L’auteur William Willimon a raconté la fois où il a rencontré une femme atteinte d’un cancer, aux derniers moments de sa vie. Épuisée à force de se battre contre cette maladie, elle s’est cramponnée au crucifix qu’elle avait reçu de sa grandmère lorsqu’elle était fillette. C’était un symbole de ce que Jésus représentait pour elle. Lorsque Willimon est entré dans la chambre, il lui a demandé s’il devait faire venir un prêtre. La femme lui a tendu le crucifix qui arborait le corps de Jésus cloué sur la croix et elle a dit : « Merci, mais j’ai un Prêtre. »