Le remède contre la jalousie
J’ai accepté avec joie de m’occuper de mes petits‑enfants pendant que leurs parents sortaient pour la soirée. Après les avoir serrés dans mes bras, j’ai demandé aux garçons ce qu’ils avaient fait durant le weekend. (Les deux avaient leurs propres aventures à relater.) Bridger, trois ans, m’a raconté presque d’un même souffle qu’il était resté à dormir chez sa tante et son oncle, où il avait mangé une glace, il avait fait un tour de manège et avait regardé un film ! Ensuite, ce fut le tour de Samuel, cinq ans. Quand je lui ai demandé ce qu’il avait fait, il m’a répondu : « Du camping. » « T’es‑tu amusé ? », lui ai‑je demandé. « Pas vraiment », m’a‑t‑il alors répondu d’un air triste.
Avancer péniblement
Kellie Haddock est une femme courageuse que je connais et que j’admire depuis plus d’une décennie. En 2004, j’ai lu pour la première fois le blog qu’elle a écrit à la suite de l’accident tragique qui a coûté la vie à son mari et a causé des blessures permanentes à son bébé, Eli.
Une vie de gratitude
Dans l’espoir de gagner en maturité spirituelle et en gratitude, Sue s’est fait ce qu’elle appelle un vase de gratitude vivante. Chaque soir, elle écrivait sur un bout de papier une chose dont elle était reconnaissante à Dieu et le déposait ensuite dans son vase. Certains jours, les louanges lui venaient facilement ; d’autres fois, elle avait du mal à trouver un seul sujet. À la fin de l’année, elle a relu tous les mots que contenait son vase, louant ainsi Dieu de nouveau pour tout ce qu’il avait fait. Il lui avait accordé de petites choses comme un magnifique coucher de soleil ou une soirée assez fraîche pour lui permettre d’aller marcher dans un parc, ainsi que de grandes choses comme la grâce de surmonter une situation difficile ou l’exaucement d’une prière.
Pourquoi moi ?
Ruth était une étrangère. C’était une veuve. Elle était pauvre. Dans bien des régions du monde, on la considérerait aujourd’hui comme une moins que rien n’ayant aucun avenir.
Avec respect
Le gouvernement d’Israël donnait du fil à retordre à son peuple. Vers la fin de l’an 500 av. J.-C., les Hébreux étaient impatients d’achever la reconstruction du Temple, que Babylone avait détruit en 586 av. J.-C. N’étant toutefois pas certain que le peuple avait raison de le reconstruire, le gouverneur de la région a envoyé un mot à ce sujet au roi Darius (ESD 5.6-17).
La facilité de l’ingratitude
Le bruit qu’émettaient les essuie-glaces fonctionnant à plein régime pour chasser la pluie battante ne faisait qu’ajouter à mon irritation tandis que je m’adaptais à la conduite de la voiture d’occasion que je venais d’acheter : une vieille familiale indiquant 129 000 km au tachymètre et dépourvue de coussins latéraux gonflables pour protéger les enfants.
Honorer Dieu
Le service religieux était toujours en cours, et des visiteurs étaient présents ce matin-là. Le prédicateur n’en était rendu qu’à la moitié de son sermon lorsque j’ai remarqué que l’une de nos visiteuses s’était levée et se dirigeait vers la sortie. Curieux et préoccupé, je suis sorti lui parler.
Poussière de diamant
Le public a réagi de diverses manières à un hiver particulièrement rude dans notre région du Michigan. Tandis que la neige continuait de tomber en mars, la plupart des gens ont commencé à en avoir marre et à se plaindre des prévisions météorologiques qui continuaient d’annoncer du froid.
Pas de pois !
Lorsque nos enfants étaient jeunes, l’un d’eux a dit catégoriquement : « Non ! » quand nous lui avons passé les pois à l’heure du souper. « Non, quoi ? » lui avons-nous demandé. Nous espérions entendre : « Non, merci ! », mais il a plutôt dit : « Non, pas de pois ! » Cela a entraîné une discussion sur l’importance des bonnes manières. En fait, nous avons eu de telles discussions à maintes reprises.
Porte de sortie
Shin est né dans un camp de prisonniers de Corée du Nord où il a vécu jusqu’à l’âge de 23 ans. Il n’a vait jamais songé à s’évader, puisqu’il n’imaginait pas que la vie était différente de l’autre côté de la clôture électrique. Puis un jour, il a rencontré un nouveau prisonnier. Park lui a parlé du monde extérieur, en particulier du porc et du poulet bouilli. Les gens de l’extérieur se délectent de ces mets pendant que Shin mange des rats pour survivre. Un soir, Shin et Park ont laissé tomber le bois qu’ils étaient en train de ramasser et ont couru vers la clôture. Park est arrivé le premier et s’est fait électrocuter instantanément lorsqu’il se trouvait entre le premier et le deuxième fil. Shin a rampé aux côtés de son ami inanimé et s’est précipité avec peine vers la liberté. Aujourd’hui, Shin vit en Corée du Sud où il tente de signaler et de dénoncer les conditions inhumaines dans lesquelles vivent les prisonniers.