Des anges qui me protègent
Jacob fuyait son frère. Seul et effrayé, il avait marché aussi loin qu’il le pouvait, puis avait pris une pierre pour s’en faire un oreiller. Il a ensuite eu un songe où Dieu se tenant au haut d’une échelle lui fait cette promesse : « Je suis avec toi, je te garderai partout où tu iras » (Ge 28.15). Il a vu des anges monter et descendre l’échelle, allant patrouiller dans le monde et revenant pour rapporter ce qu’ils avaient fait (Job 1.6 ; 2.1 ; Hé 1.14).
Au travail
Nous avions un souper de groupe suivi de témoignages sur un Dieu qui aime assez son peuple pour lui transmettre ses rêves. Nous avons entendu parler d’un complexe d’appartements pour mères célibataires, d’une grange aménagée pour les mariages et de terrains de camping chrétiens, de la fondation d’une nouvelle église locale. Le point commun entre ces réalisations était le désir de voir le nom de Dieu devenir grand grâce à chaque pas de foi.
La tour de… livres
Marta Minujin avait construit une sculpture haute de 25 mètres représentant la Tour de Babel à la place San Martin à Buenos Aires. Cette artiste avait utilisé plus de 30 000 livres donnés, écrits dans presque toutes les langues du monde. À l’intérieur de la tourelle, les visiteurs pouvaient entendre un enregistrement de la voix de Minujin prononcer le mot livre en plusieurs langues. Elle a dit que sa mission consistait à « unir tous les peuples ».
Arcs‑en‑ciel et souvenirs
La vue d’un arc‑en‑ciel peut nous inspirer bien des idées. On pense à des contes de fées de lutins et des pots remplis d’or lorsque nous en repérons un.
Une simple parole
Je suis abonnée à un magazine qui encourage la simplicité. Les éditeurs adorent les articles traitant de solutions rapides et efficaces aux problèmes ménagers ou relationnels, et aux casse‑tête d’harmonisation. Par exemple, un des numéros proposait 799 nouvelles façons d’utiliser des objets que l’on possède déjà, alors qu’un autre présentait des repas savoureux faits à partir de seulement trois ingrédients.
LA VOLONTÉ DE QUI ?
« Que tout se passe comme vous le voulez » est un voeu souvent exprimé lors du Nouvel An chinois. Aussi formidable qu’il puisse sembler, il vaut mieux que ce soit la volonté de Dieu qui s’accomplisse plutôt que la mienne.
La Parole qui soutient
J’en étais à ma neuvième semaine de grossesse lorsque je me suis mise à saigner. La peur de perdre notre bébé m’a saisie si fort que je pouvais à peine respirer. Cette nuit‑là, je parcourais frénétiquement l’Écriture afin d’y trouver du réconfort, lorsque j’ai ouvert ma Bible dans Genèse 26.24 : « L’Éternel lui apparut dans la nuit, et dit : Je suis le Dieu d’Abraham, ton père ; ne crains point, car je suis avec toi ; je te bénirai, et je multiplierai ta postérité. » Ces quelques mots ont calmé mon coeur affolé et j’ai réussi à dormir paisiblement.
LA FILLE AU MANTEAU JAUNE
C’est son manteau jaune qui a capté mon attention, puis je me suis vite intéressé de plus en plus à cette jolie étudiante de première année d’université à la longue chevelure marron. Je n’ai pas tardé à prendre mon courage à deux mains, à interrompre Sue, qui lisait en marchant une lettre qu’elle avait reçue d’un gars de chez elle, et à lui demander maladroitement un rendez-vous. À mon grand étonnement, elle me l’a accordé.
Volonté de Dieu et nos espoirs
Mesurant à peine quelques centimètres, l’image du sonagramme semblait tout droit sortie d’un film de science‑fiction. Les petits bouts de bras et la tête bien définie étaient la promesse de celui qui allait être notre premier‑né. Il nous manquait de connaître son sexe, ses traits de personnalité et ses qualités distinctives pour avoir une vue d’ensemble du coeur qui battait. Les photos du sonagramme qui avaient capturé l’image de cette petite vie qui grandissait dans l’utérus étaient des trésors pour mon mari et moi. Elles nous rappelaient que ce que nous ne pouvons voir à l’oeil nu était en fait, bien réel même si caché.
DÉGUISÉ
Dans les semaines qui ont suivi l’infarctus auquel mon mari a survécu, nous avons souvent remercié Dieu de lui avoir épargné la vie. On m’a souvent demandé au cours des mois suivants comment je me sentais. Ce à quoi je répondais souvent simplement : « Bénie. Je me sens bénie. »