Le nom de Dieu
Une collègue a découvert qu’un site Internet utilisait son nom pour attirer des gens à un séminaire biblique. Mais on ne l’avait pas réellement invitée à être conférencière. Elle s’est aussitôt mise à enquêter sur l’affaire. Serait‑ce un vol d’identité ?
L’INTERMÉDIAIRE
Imaginez-vous au pied d’une montagne, coude à coude avec tous les autres de votre collectivité. Le tonnerre et les éclairs se manifestent ; vous entendez une trompette retentir à vous percer les tympans. Parmi les flammes, Dieu descend sur la montagne. Le sommet s’enveloppe de fumée ; toute la montagne se met à trembler, ainsi que vous (Ex 19.16-20).
RENONCER À NOS MIROIRS
Lorsque Moïse a réuni les enfants d’Israël pour amorcer la construction du Temple (Ex 35 – 39), il a fait appel aux services de Betsaleel, un artisan très habile, pour qu’il participe à la fabrication des meubles. On dit que l’on a demandé à certaines femmes de faire don de leurs précieux miroirs d’airain afin de fabriquer la fameuse cuve d’airain (38.8). Elles y ont renoncé afin de contribuer ainsi à préparer un endroit où la présence de Dieu résiderait.
La joie durant le voyage
L’annonce d’une balade en voiture en famille est le moyen le plus rapide pour que mes deux jumeaux de six ans soient prêts et assis dans la voiture. Mais alors que nous descendons notre rue, que nous tournons le coin et que nous nous engageons sur l’autoroute, le refrain du voyage standard se fait entendre du siège arrière par de petites voix : « On arrive quand ? » C’est une question qui est souvent répétée, et bien que les parents s’en lassent rapidement, les enfants n’envisagent jamais d’abandonner le voyage et de rentrer à la maison. Ils peuvent devenir impatients, mais ils veulent poursuivre jusqu’à destination.
Effort collectif
Il y a peu de temps, je regardais un documentaire sur le tournage d’une dramatique télévisée coréenne. Je suis un amateur de l’émission. Mais l’expérience en coulisse a porté mon appréciation à un tout autre niveau. J’ai appris qu’il faut plus qu’un scénariste talentueux pour faire d’un programme une réussite. Il faut des acteurs et des actrices pour donner vie à l’histoire. Puis, il y a le directeur, les éclairagistes, les éditeurs, et plus encore. Les membres de l’équipe de cette émission travaillent si bien ensemble qu’ils sont récemment allés en vacances à Cebu pour célébrer le succès de l’émission. Ça, c’est une équipe !
Loin de chez soi
Le jour où j’ai obtenu mon diplôme de l’université, ma soeur était en voyage avec sa classe de lycée dans le même État où je me trouvais. Elle voulait célébrer avec moi et, par bonheur, un chaperon était prêt à la conduire à mon école qui se trouvait à 6 heures et demie au nord. Mais lorsqu’ils ont quitté l’hôtel, ils se sont dirigés vers le sud. Évidemment, aucun des deux n’avait un bon sens de l’orientation. Ce n’est que quelques heures plus tard (après être entrée dans une zone pittoresque très au sud de l’État) qu’ils se sont rendu compte que quelque chose clochait.
Faites le plein
Lorsque je suis en Ouganda, je conduis un camion diesel. Je crois donc être en mesure d’utiliser adéquatement la camionnette diesel que le copain de ma soeur me prête durant mon séjour aux États-Unis. Mais j’ai fait une grave erreur : j’ai rempli le réservoir d’essence au lieu de diesel.
L'envol
Dans l’histoire d’un héros peu crédible, J. R. R. Tolkien dépeint une image frappante d’une délivrance prescrite et inattendue. Cerné par des loups et des gobelins, Bilbo croyait que tout était fini. Avec ses amis, il était emprisonné entre les arbres qui ont vite été embrasés par le feu des gobelins. Gandalf grimpa sur la plus haute branche et disparut. Offrant une merveilleuse vision de la délivrance opportune de Dieu ; des aigles immenses surgirent pour sauver le groupe de voyageurs et les mener en lieu sûr. Pris de vertige, Bilbo détesta le voyage.
Sculpter une souche
Un matin, j’ai vu un homme abattre un arbre avec une scie à chaîne en face de bâtiments d’exploitation locaux. Il était toujours là en après-midi, s’acharnant sur la souche en inclinant sa scie de façon inhabituelle. Quelques jours plus tard, je suis passée près de la souche qui avait maintenant l’aspect d’un épi de maïs. L’homme n’avait pas simplement abattu l’arbre, il avait sculpté des rangées de grains que l’on apercevait entre les feuilles de l’épi, l’emblème agricole du Midwest des États-Unis.
L'un devant l'autre
Avant de me marier avec Miska, j’avais le sentiment que je devais répondre oui à cette question : Pourrais-je vivre sans elle ? Mes intentions étaient romantiques et chevaleresques, mais ma question était mal orientée. J’ai réalisé qu’il n’existe probablement personne sans qui je ne peux vivre. Avec le temps, je me suis trouvé une meilleure question à laquelle répondre : Est-ce que je veux vivre sans Miska ?