Une lettre du front
Depuis plus de deux décennies, Andrew Carroll exhorte les gens à ne pas jeter les lettres que des membres de leur famille ou des amis ont écrites en temps de guerre. Carroll, directeur du Center for American War Letters à l’université Chapman, en Californie, les considère comme étant un lien irremplaçable pour unir la famille plus étroitement et lui ouvrir la porte de la compréhension. À ce sujet, Carroll a dit : « Les générations plus jeunes lisent ces lettres et posent des questions, puis affirment : "Maintenant je comprends ce que tu as subi, ce que tu as sacrifié." »
Revenir à la vie
La mer Morte en Israël est un endroit unique en son genre pour aller plonger. Il faut peu de temps aux touristes qui entrent dans l’eau pour se rendre compte que les flotteurs ne sont pas nécessaires. Ouais ! on n’a pas besoin de nager sur place dans la mer Morte. Grâce à sa concentration exceptionnellement élevée en sel, les gens flottent à sa surface comme des pommes dans un baril d’eau.
Le temps et l’éternité
J’ai toujours voulu apprendre à jouer du violoncelle. Mais je n’ai jamais trouvé le temps de prendre des leçons. Puisque le temps est court, je préfère passer mon temps à faire des choses que je ne pourrai faire au ciel – des choses comme aider un croyant ou une croyante à grandir dans sa foi, ou entrer en contact avec quelqu’un qui ne croit pas en Jésus. Je me dis : Au ciel, j’aurai toute l’éternité pour parvenir à maîtriser cet instrument !
Fins heureuses
Le film de 1995 Apollo 13 comporte deux transmissions radio très connues :
La première : Houston, nous avons un problème. Et puis : Allo Houston, ici Odyssey. On est content de vous retrouver.
MULTIPLIE-LE
Il y avait cinq ans qu’Amy luttait contre le cancer. Le médecin lui a alors annoncé que les traitements ne fonctionnaient pas et qu’il ne lui restait plus que quelques semaines à vivre. Comme elle désirait mieux comprendre et avoir une plus grande assurance quant à l’éternité, Amy a posé une question à son pasteur : « À quoi ressemblera le ciel ? »
UNE SALUTATION ÉTERNELLE
Après avoir passé une semaine de vacances avec sa fille et son petitfils de 4 ans, Oliver, Kathy a dû leur dire au revoir. Elle m’a écrit : « Les belles retrouvailles que nous avons connues me font désirer ardemment les cieux. Làhaut, nous n’aurons plus à essayer de conserver nos souvenirs en esprit. Làhaut, nous n’aurons plus à prier pour que le temps passe lentement et que les journées durent longtemps. Làhaut, nos accueils ne se changeront jamais en au revoir. Les cieux seront un "accueil éternel", et il me tarde d’y aller. » En tant que grandmère pour la première fois, elle désire être le plus possible en compagnie de son petitfils Oliver ! Elle est reconnaissante pour le temps qu’elle passe avec lui et pour l’espérance de la vie au ciel, où les instants merveilleux ne se termineront jamais.
L’ULTIME RÉUNION
Je n’oublierai jamais avoir veillé sur mon père, assis près de son lit, durant les derniers jours qu’il a passés auprès de nous avant de glisser dans l’éternité. Jusqu’à aujourd’hui, le moment de son décès n’a cessé de produire un effet profond sur moi. Mon père était toujours là pour moi. Je pouvais toujours lui téléphoner chaque fois que j’avais besoin de conseils. Je garde d’excellents souvenirs des journées passées à pêcher ensemble ; nous discutions alors de Dieu et de la Bible, et je l’incitais à me raconter ses anecdotes du temps de sa jeunesse à la ferme.
Théologie de route
Je roulais en direction sud sur l’autoroute lorsque j’ai croisé un panneau publicitaire qui présentait ce message inquiétant : L’ENFER EST RÉEL. Je suis d’accord avec ces mots, mais pour une raison ou une autre, cette leçon de théologie de bordure de route m’est vite sortie de la tête. En faisant le chemin inverse vers le nord, l’autre côté du panneau m’a tirée de mon hypnose avec ces mots : JÉSUS EST RÉEL. Ces deux vérités affichées dos à dos m’ont amenée à me questionner : Pourquoi la réalité de l’enfer ne me pousse-t-elle pas à partager Christ plus souvent ?
AVEC LUI POUR TOUJOURS !
En 1859, durant la grande tourmente de la guerre de Sécession, Abraham Lincoln a eu l’occasion de s’adresser à l’Agricultural Society à Milwaukee, Wisconsin. Il a alors raconté à ses auditeurs l’histoire d’un monarque de l’Antiquité en quête d’une parole « vraie convenant à toutes les époques et à toutes les situations ». Devant ce défi ambitieux, ses sages lui ont proposé la parole suivante : « Cela passera aussi. »
Le brouillard de Londres
Quand un homme en a assez de Londres, il en a assez de la vie, a déclaré Samuel Johnson, car il y a à Londres tout ce que la vie peut apporter. » Le Dr Johnson a vécu au XVIIIe siècle en (surprise !) Angleterre, alors sa vision de sa capitale était probablement biaisée. Par contre, à cette époque, Londres était le summum de ce que ce monde avait à offrir. Aucune autre ville n’offrait autant de divertissements et de distractions, et l’industrie, le commerce, et la portée mondiale de la Grande-Bretagne semblaient sans limites.