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Répondre au téléphone

Lorsqu’on lui a demandé ce qu’il trouvait le plus cool du fait d’être commandant en chef, le président américain Barack Obama a répondu : « Pour moi, je crois que la chose la plus cool est que, lorsque quelqu’un d’intéressant (un scientifique, un athlète, un auteur ou n’importe qui dans le monde) fait quoi que ce soit, si je lui téléphone, ils va me répondre. C’est une chose assez cool. » Sa réponse faisait suite à la question de la fille d’un journaliste qui croyait que l’aspect le plus cool du fait d’être président était de pouvoir passer du temps avec les artistes pop Beyoncé et Jay Z.

Le véritable succès

Quelle est votre définition du succès ? Voici ce que des gens ont répondu : « Être heureux », « Atteindre ses buts », « Voir les gens accepter le salut ». Un ami a dit : « Le succès, c’est de jouir de la prospérité de Dieu dans tous les domaines de ma vie : spirituel, physique, financier et relationnel. »

Accompagner

Ses trente compagnons de classe et leurs parents ont regardé Mi’Asya monter nerveusement sur le podium pour s’adresser à l’auditoire réuni à l’occasion de la remise des diplômes des élèves de cinquième année du primaire. Lorsque le directeur a ajusté le microphone à la hauteur de Mi’Asya, elle y a tourné le dos ainsi qu’à l’auditoire. La foule lui a alors murmuré des paroles d’encouragement : « Allons, ma chérie, tu peux y arriver ! » Mais elle n’a pas bougé d’un cheveu. C’est alors qu’une compagne de classe s’est avancée pour se tenir à côté d’elle, avec le directeur de l’autre côté. Puis les trois ont lu le discours ensemble. Quel superbe exemple de soutien !

Des larmes et des rires

L’année dernière, lors d’une retraite, j’ai retrouvé des amis que je n’avais plus vus depuis longtemps. Nous avons ri ensemble en savourant nos retrouvailles, mais j’ai aussi pleuré, car ils m’avaient beaucoup manqué.

Pas de plus grande joie

Bob et Evon Potter étaient un couple aimant s’amuser et ayant trois jeunes fils lorsque leur vie a pris une tournure merveilleuse. En 1956, ils ont assisté à une croisade de Billy Graham, à Oklahoma City, où ils ont donné leur vie à Christ. Voulant partager leur foi et la vérité au sujet de Christ, ils n’ont pas tardé à ouvrir leur foyer tous les samedis soir à des étudiants du lycée et de l’université qui désiraient étudier la Bible. Un ami m’y a invité, puis je suis devenu un habitué de la maison des Potter.

La progression du caméléon

En évoquant le caméléon, on pense probablement à sa capacité à changer de couleur selon son environnement, mais ce lézard possède une autre caractéristique intéressante. À plusieurs occasions, j’ai pu observer un caméléon en train de marcher le long d’un sentier en me demandant comment il pouvait bien finir par atteindre sa destination. À contrecoeur, le caméléon s’étire une patte, semble changer d’idée, tente le coup de nouveau, puis la dépose avec hésitation et soin, comme s’il craignait que le sol se dérobe sous lui. Voilà pourquoi je n’ai pu m’empêcher de rire en entendant dire : « Ne soyez pas un membre d’Église du genre caméléon qui se dit : Je vais aller à l’église aujourd’hui ; non, je vais y aller la semaine prochaine ; non, je crois que je vais attendre un moment !

Une répétition positive

Un certain journaliste avait pour habitude bizarre de ne jamais employer de stylos à encre bleue. Lorsqu’un collègue lui a demandé s’il avait besoin de quelque chose au magasin, il lui a répondu par l’affirmative, en précisant ceci : « Mais pas de stylos à encre bleue. Je ne veux pas de stylos à encre bleue. Je n’aime pas le bleu. Le bleu est trop prononcé. Alors si tu veux bien m’acheter douze stylos-billes à encre de n’importe quelle couleur, sauf le bleu ! » Le lendemain, son collègue lui a remis les stylos achetés, qui étaient tous à encre bleue. Quand le journaliste lui a demandé de s’expliquer, il lui a dit : « Tu n’arrêtais pas de dire "bleu", "bleu". Alors c’est le mot que j’ai le mieux retenu ! » Le langage répétitif de ce journaliste a produit un effet, mais pas celui escompté.

Les yeux tournés vers l’avenir

Lorsque Rembrandt, grand peintre hollandais, est mort subitement à l’âge de 63 ans, on a trouvé sur son chevalet une toile inachevée. Elle est centrée sur l’émotion qu’a ressentie Siméon en tenant dans ses bras l’Enfant Jésus, que les parents de celui-ci avaient amené au Temple de Jérusalem quarante jours après sa naissance. L’arrière-plan et les détails ordinaires de cette toile sont cependant restés inachevés. Certains experts en oeuvres d’art croient que Rembrandt se savait au seuil de la mort et – comme Siméon – était maintenant prêt à « s’en aller en paix » (LU 2.29).

Des questions en suspens

Le 31 octobre 2014, un engin spatial expérimental s’est désintégré lors d’un vol d’essai et s’est écrasé dans le désert des Mojaves. Le copilote est mort, alors que le pilote a miraculeusement survécu. On n’a pas tardé à découvrir ce qui s’était produit, mais pas la cause. Un article de journal portant sur l’écrasement était titré : « Des questions restent en suspens ».

Des ancres d’espoir

Ce qui nous vient à l’esprit lorsque nous songeons à la retraite c’est de visiter des îles exotiques, de s’étendre dans un hamac et de profiter de longues journées de loisirs. Eh bien, ce n’est pas l’image de la retraite qu’Estella Pyfrom a en tête. Cette enseignante retraitée et fille d’ouvriers agricoles saisonniers a utilisé la totalité de son fond de retraite (900 000 $) pour servir les autres. Elle a acheté un autobus dans lequel elle a installé des ordinateurs et des bureaux, et elle roule dans le secteur où elle enseignait pour fournir un endroit où les enfants défavorisés peuvent faire leurs devoirs et en apprendre sur la technologie. Les étudiants en difficultés affluent vers ce qu’elle a baptisé « l’Autobus Brillant », et y trouvent de l’espoir.