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Pris au piège

À une certaine période, alors que j’avais une étroite relation avec Jésus, la vie est devenue extrêmement difficile. J’avais dit à un ami que je me sentais comme une souris, secouée de part et d’autre dans les pattes d’un chat jouant avec sa victime avant d’y porter le coup de grâce.

LE PETIT GÉANT

L’ennemi géant avance à grandes enjambées dans la vallée d’Élah. Sa taille est de 2,75 m. Son armure, qui comporte plusieurs petites cuirasses en bronze, brille sous le soleil. Sa lance est entourée de cordes, afin de la faire tournoyer dans l’air, de lui permettre de parcourir une plus grande distance et d’être plus précise. Goliath semble invincible.

RECADRER L’IMAGE

Pendant trois mois, j’ai été aux premières loges de l’œuvre merveilleuse de Dieu. Vingt-huit mètres au-dessus du Jardin botanique de Norfolk, des ouvriers ont installé une webcam dirigée sur le nid d’une famille d’aigles royaux pour que les cybernautes puissent regarder ce qui s’y passait.

Passion évidente

Dans ma rue, habite une femme qui raffole des fleurs. Aux premiers signes du printemps, elle remplit sa véranda de semis dans des pots de terre cuite. Tout au long de l’été, les fleurs se déploient comme un magnifique arc-en-ciel. Les jonquilles et les tulipes offrent une performance digne des danseurs d’un corps de ballet. Une légère brise répand le doux parfum des pivoines. Plus tard dans la saison, c’est au tour des imposantes roses trémières et des joyeuses marguerites d’être sous le feu des projecteurs. Cette femme exprime sa passion à tous les passants sans même dire un mot.

IL A TRANSFORMÉ MA VIE

Après la mort du pionnier de l’informatique Steve Jobs, en 2011, plus d’un million de personnes du monde entier ont affiché sur Internet un mot élogieux à son sujet. Leurs hommages avaient pour thème commun la façon dont Jobs avait transformé leur vie. Ces internautes disaient qu’ils menaient une vie différente en raison de ses innovations créatives et qu’ils tenaient donc à exprimer leur reconnaissance et leur chagrin. À l’écran d’une certaine tablette électronique, on pouvait lire en grands caractères : iSad (iTriste).

À venir

Ma soeur prendra peut-être une année sabbatique pour étudier l’hébreu à l’Université de Jérusalem. Je lui ai dit : « Eh bien, assure-toi de bien repérer les montagnes afin de savoir où fuir durant la grande tribulation. » Bien qu’ayant dit cela un peu par plaisanterie, nous croyons toutes deux que Jésus reviendra bientôt et prenons à coeur ses paroles prophétiques dans Matthieu 24.

DES BRIQUES SANS PAILLE

Nous sommes nombreux à relever le défi de travailler avec des ressources limitées. Possédant moins d’argent, moins de temps, une énergie vacillante et moins d’assistants, notre charge de travail risque de rester la même. Il arrive même parfois qu’elle augmente. Il y a d’ailleurs un dicton qui résume bien ce problème : « Plus de briques, moins de paille. »

LA PUISSANCE DE LA COMPASSION

Atteint de dyslexie, Francis Schaeffer, auteur et apologiste chrétien, avait du mal à bien épeler les mots. Au collège qu’il fréquentait, les fautes d’orthographe lui faisaient perdre des points dans tous ses travaux écrits. En première année, Schaeffer s’est fait dire par un professeur : « C’est la meilleure dissertation de philosophie que j’ai lue, mais la pire orthographe. Que faire ? Je ne peux pas vous donner la note de passage. »

NAVIGUER DANS LA TEMPÊTE

Dans l’Antiquité, le peuple de la nation Axum (vivant aux abords de la mer Rouge dans l’Éthiopie moderne) a découvert que l’on pouvait profiter des vents impétueux de la mousson pour naviguer rapidement à la voile. Au lieu de redouter les grands vents et les pluies fortes, ils ont appris à naviguer dans la tempête.

LE CHEMIN DES LARMES

La déportation de milliers d’Indiens d’Amérique au début du xixe siècle constitue un événement très grave et tragique de l’histoire des États-Unis. Des nations amérindiennes, qui avaient signé des traités avec la population de colons blancs et qui avaient combattu à ses côtés, ont été chassées de leurs terres ancestrales. Durant l’hiver 1838, des milliers de Cherokees ont été obligés d’amorcer une marche pénible de 1600 km vers l’Ouest appelée « Chemin des larmes ». Cette injustice a coûté la vie à des milliers de gens, qui étaient nombreux à ne pas avoir les vivres, les vêtements et les chaussures nécessaires pour survivre à un tel voyage.