Au travers du voile
Tandis que mon vol prenait sa vitesse de croisière, l’agent de bord a ouvert le rideau qui délimitait la classe affaires...
Rester fermes
Dans le pays qu’ils habitent, Adrian et sa famille se font persécuter pour leur foi en Jésus. Malgré tout, ils manifestent l’amour de Christ.
Le seul Roi
En écoutant le pasteur raconter que Jésus avait quitté le ciel pour venir sur la terre, ...
Le voile déchiré
On a cloué à une croix de bois, plantée sur une colline hors des murs de Jérusalem, ...
Gravé sur ses mains
Durant les nombreuses années qu’il a passées dans son église de Londres au cours des années 1800...
L’arbre parlant
Un des plus vieux poèmes chrétiens de la littérature anglaise est « The Dream of the Rood » (Le Rêve de la Croix). Le mot rood provient du terme issu du vieil anglais rod ou pole, qui désigne la croix à laquelle Christ a été crucifié. Dans ce très vieux poème, l’histoire de la Crucifixion est racontée de nouveau, mais selon la perspective de la croix. En apprenant que l’on doit l’abattre pour servir d’instrument à la crucifixion du Fils de Dieu, l’arbre rejette cette idée monstrueuse. Christ le convainc toutefois de l’aider à apporter la rédemption à tous ceux qui croiraient.
Un « Jésus kitsch »
Le « Jésus kitsch » est très populaire. Sur les tableaux et les affiches, il a toujours les dents blanches et droites, un teint resplendissant, de beaux yeux bleus et brillants, et de longs cheveux ondoyants. Il apparaît souvent en flou artistique, assis au soleil dans une paisible campagne, à regarder affectueusement l’agneau qu’il tient dans ses bras. Le « Jésus kitsch » porte de longues robes blanches, même lorsqu’il apparaît dans une scène moderne, et tient parfois un bâton de berger. Le « Jésus kitsch » est insouciant et ne plisse jamais le front. C’est le Jésus des cartes de souhaits, qui répand une odeur de lavande, un personnage mythique qui va nonchalamment par les prés.
Chez moi avec Jésus
Marcus était un criminel condamné à mort. Il avait demandé pardon à la famille de l’adolescente qu’il avait violée et assassinée. Puis, tout juste avant son exécution par injection létale, il a dit : « Je m’en vais chez moi rejoindre Jésus. » Il semble que, durant son séjour en prison, il ait reçu Jésus comme Sauveur. Ce qu’il a dit m’a fait penser à un certain criminel qui est mort à côté de Jésus il y a 2 000 ans.
Parler à la légère
Je conduisais depuis environ une demi‑heure quand ma fillette, assise sur la banquette arrière, s’est soudainement mise à hurler. En réponse à ma question : « Que s’est‑il passé ? », elle m’a dit que son frère lui avait serré le bras. Il lui avait serré le bras parce qu’elle l’avait pincé. Elle l’avait pincé parce qu’il lui avait dit quelque parole méchante.