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Comment le connaître

Mes fils découvrent de plus en plus le petit jeu des annonceurs à la télévision, avec leurs statistiques truffées de mensonges et leurs affirmations scandaleuses. Ce ne sera pas long avant que mes garçons deviennent blasés et ne fassent plus confiance. Nombreux sont ceux qui en sont arrivés là dans leur foi. Comment croire quoi que ce soit ? Comment faire confiance à ce que Dieu dit ?

Hymne révolutionnaire

Dans notre église, nous aimons chanter des hymnes. Plus ils sont vieux, mieux c’est. Nous les chantons souvent accompagnés de musiques différentes, mais parfois nous les interprétons tels qu’ils ont été écrits. La puissance des mots, la beauté des mélodies, le fait que des chrétiens ont chanté ces vérités longtemps avant nous, toutes ces choses font des hymnes une partie importante de notre adoration.

RENDEZ-LE ATTRAYANT

On raconte que, jadis, un garçon à bord d’un train de passagers cherchait à gagner de l’argent en vendant des pommes. Il a traversé le wagon en annonçant : « Pommes ! Aimeriez-vous acheter une pomme ? » Rendu à l’autre bout du wagon, il avait encore un sac plein de pommes et toujours rien en poche.

RESTAURÉ PAR LE MAÎTRE

Au fil des siècles, on a tenté de nombreuses fois de restaurer des œuvres d’art endommagées et usées par le passage du temps. Bien que des personnes aient su préserver, d’une main de maître, les œuvres originales de certains artistes, d’autres ont abîmé de nombreuses autres œuvres de génie, y compris des statues de la Grèce antique et au moins deux toiles de Vinci.

La question

Voici une chose que vous ne lirez jamais dans une nécrologie : « Suzanne Lafontaine laisse dans le deuil Louis, son mari de 47 ans, trois enfants et six petits-enfants. Suzanne était la trésorière de l’Association immobilière de Paris, la directrice de plusieurs camps de jour bibliques, et a achevé la course humaine au 823e rang. »

Sauvé des ténèbres

Dans le film de Clint Eastwood, Gran Torino, Walt Kowalski est un vétéran de la guerre de Corée grincheux, dégoûté par les gangs qui font maintenant la loi dans son quartier. Il fait la connaissance de Thao, un adolescent du voisinage, après l’avoir surpris en train de voler sa voiture Gran Torino, ce qu’il a fait sous la pression d’un gang.

Le respect mène loin

J’essaie de vendre ma maison directement du propriétaire (sans agent immobilier). Mon mari a demandé à tous nos voisins la permission de placer un panneau directionnel au coin de notre rue. Un des propriétaires a semblé surpris que Scott prenne la peine de s’informer. Il a donné son accord et a avoué qu’il arrachait les panneaux des gens qui ne demandaient pas la permission. Nous n’étions donc pas surpris en roulant près de sa maison, quelques semaines plus tard, de voir que notre annonce immobilière était toujours en place, alors qu’une autre avait été enlevée et jetée par terre. La leçon était évidente : Un peu de respect peut mener loin.

Le travail

Les filets sont la première chose que vous remarquerez. Ils s’étendent d’un bâtiment à l’autre, raides, prêts à attraper les travailleurs tentant de sauter vers leur mort. Voici Foxconn, l’énorme usine de Shenzhen, en Chine, où une armée de jeunes Chinois fabrique des iPad, iPhone et ordinateurs pour le monde entier. Comme les filets en témoignent, le travail n’est pas toujours valorisant.

Ce à quoi Dieu ressemble

En mars 2012, les Américains ont écouté avec regret et dégoût le rapport d’un soldat américain en Afghanistan, auteur d’une tuerie dans un village rural afghan. Ce vaurien de soldat avait massacré 16 civils afghans. C’était une horreur totale. Les répercussions de ce crime abject n’ont fait qu’aggraver notre peine, puisque ces actions cruelles (et quelques autres semblables) ont contribué à définir les idéaux américains pour nos voisins afghans. À cause des actions violentes d’un seul homme, plusieurs croiront que les Américains sont remplis de haine et qu’ils sont à craindre. Qui peut les blâmer ? Quand quelqu’un agit en notre nom ou de notre part, il nous représente par ses actions.

PETIT CHAPITEAU

Au cours de la campagne d’évangélisation historique de Billy Graham à Los Angeles en 1949, le grand chapiteau érigé en vue d’accueillir plus de six mille personnes s’est plus que rempli chaque soir pendant huit semaines. On avait érigé à proximité un chapiteau plus petit où l’on offrait du counseling et de la prière. Cliff Barrows, qui était depuis longtemps le directeur musical, un ami intime et un partenaire de Graham, a souvent dit que l’œuvre véritable de l’Évangile s’accomplissait sous « le petit chapiteau », où les gens se réunissaient pour prier à genoux avant et pendant chaque service d’évangélisation. Une femme de Los Angeles, Pearl Goode, constituait le cœur même de ces réunions de prière et de nombreuses réunions subséquentes.