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Enlevé

Il y a trois événements majeurs de la vie de Jésus que la plupart des églises chrétiennes commémorent par des cérémonies spéciales : Noël, l’incarnation et la naissance de Jésus ; Vendredi saint, sa crucifixion et sa mort ; et le dimanche de Pâques, sa résurrection – son retour d’entre les morts. Certaines églises ajoutent le dimanche de la Pentecôte comme étant l’anniversaire de l’Église. Toutefois, il y a un événement important que la plupart des chrétiens oublient : le Jour de l’Ascension – lorsque Jésus est monté au ciel. Pour une quelconque raison, nos églises n’accordent pas l’importance que le retour de notre Seigneur au ciel mérite.

Titanic 101

Lorsque le Titanic a coulé le 15 avril 1912, l’évangéliste John Harper était parmi les 1 522 personnes qui ont perdu la vie. Après avoir déposé sa fille de six ans dans un canot de sauvetage, John a couru d’un bout à l’autre du bateau pour avertir les autres passagers de la destinée éternelle de leur âme. Lorsqu’il a dû sauter dans l’eau glacée, il s’est agrippé à un débris et a demandé à un autre homme : « Es-tu sauvé ? » L’homme lui répondit « Non », alors John lui a dit : « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé » (Ac 16.31). C’était le dernier homme que John a conduit au salut.

Comme au ciel

Dans le « Notre Père », Jésus encourage ses disciples à prier pour la venue du royaume de Dieu et pour que sa volonté soit faite « sur la terre comme au ciel » (Mt 6.10). Sans surprise, les quatre Évangiles sont remplis d’histoires sur le rassemblement du ciel et de la terre en Jésus et autour de lui.

L’APPARTENANCE

Mon père avait beaucoup d’histoires à raconter au sujet de sa ville natale. Vous imaginerez donc facilement à quel point j’étais heureux, enfant, qu’il emmène toute la famille là-bas chaque été. Nous pêchions ensemble dans la rivière St. Joseph et nous passions par la ferme de son enfance, où toutes ses histoires prenaient vie. Même si cet endroit n’a jamais vraiment été chez moi , chaque fois que je passe par cette petite ville – aujourd’hui avec mes enfants devenus adultes et mes petits-enfants –, elle me remplit d’un sentiment d’appartenance nostalgique.

LIRE À L’ENVERS

J’avoue qu’il m’arrive parfois de lire la fin d’un livre avant d’en lire le début. Cela me permet de savoir quels personnages vivent et lesquels meurent. En sachant l’issue de l’histoire, je peux me détendre et apprécier le récit et les personnages à leur juste valeur.

UNE AFFAIRE À RÉGLER

À 99 ans, Leo Plass a reçu son diplôme de l’Eastern Oregon University. Il avait interrompu ses études en pédagogie dans les années 1930, lorsqu’il avait dû quitter l’université pour gagner sa vie dans l’industrie forestière. Soixante-dix-neuf ans plus tard, il a fini par obtenir les trois unités de valeur nécessaires à l’obtention de son diplôme et a résolu cette importante affaire de sa vie laissée en suspens.

PATRIE CÉLESTE

Au lycée, ma meilleure amie et moi sommes allées faire une chevauchée en après-midi. Nous avons lentement erré dans les champs de fleurs sauvages et les boisés. Par contre, lorsque nous avons voulu diriger les chevaux vers l’écurie, ils sont partis comme deux flèches en direction de la maison. Nos amis équestres savaient que c’était l’heure du repas et d’un bon brossage, qu’ils attendaient avec impatience.

PRÊT POUR LA GLOIRE

Le 1er mars 1981, D. Martyn Lloyd-Jones, prédicateur et commentateur biblique, reposait sur son lit de mort. De 1939 à 1968, il avait servi Dieu comme pasteur à la Chapelle de Westminster, à Londres. À la fin de sa vie, Lloyd-Jones avait perdu l’élocution. Pour indiquer qu’il ne voulait plus que l’on prie pour sa guérison, il a écrit sur un bout de papier : « Ne me privez pas de la gloire. »

LE POUVOIR DE LA PENSÉE TERMINALE

Tandis que nous attendons de commencer la nouvelle année armés de projets et de résolutions, la voix d’hommes pieux du passé nous encourage à nous remémorer ce que nous préférerions oublier : notre propre mort.

TOUT CELA EN VAUDRA LA PEINE

Nous nous demandions pourquoi une de nos amies se rendait souvent à Hobart, en Tasmanie. Dernièrement, elle nous a invités à aller l’y retrouver. En venant de l’aéroport, nous sommes passés en voiture sur un pont, nous avons traversé la ville et sa banlieue. Jusque-là, il n’y avait rien de particulier, mais nous avons poursuivi notre route. Après avoir négocié quelques virages en épingle à cheveux nous faisant monter lentement et abruptement une colline, nous avons vu la ligne côtière plus bas. La vue était encore plutôt ordinaire.