PAS ABANDONNÉ
Tandis que Karissa Smith parcourait les rayons d’une bibliothèque municipale avec sa fillette de quatre mois qui ne cessait de babiller, un homme âgé lui a dit méchamment de faire taire son bébé ou c’est lui qui le ferait. Smith lui a répondu : « Je suis désolée de ce qui vous est arrivé dans la vie pour qu’un bébé heureux vous dérange à ce point, mais je ne ferai pas taire mon bébé et je ne vous laisserai pas le faire non plus. » Sur ce, l’homme a baissé la tête et s’est excusé, en lui racontant que son fils était mort du syndrome de mort subite du nourrisson plus de 50 ans auparavant. Il avait réprimé son chagrin et sa colère pendant toutes ces années.
LA VÉRITÉ DANS UN TAXI
Un jour que je me trouvais au centre-ville de Chicago, j’ai hélé un taxi. Après y être montée, j’ai remarqué qu’il y avait de nombreuses publicités d’un gourou du Nouvel Âge affichées au dos du siège devant moi. Le conducteur m’a dit que ce mystique était « le divin » de notre époque. Il croyait que Dieu avait nommé divers chefs au fil des siècles et que Jésus n’avait été que celui de son époque.
CE DONT NOUS AVONS BESOIN
Les histoires qui fendent le coeur abondent. L’ami dont la fille a quitté son mari et ses enfants. Les pères que je viens de rencontrer qui ont perdu leurs adolescents dans des accidents de voiture. Le pilier de l’Église dont les années de retraite ont été marquées par un chapelet de tragédies médicales. Vous connaissez ce genre d’histoires. Il se peut que vous ayez les vôtres.
SANS DORMIR AU CIEL
L’une des parties les plus dangereuses d’un vol consiste à atterrir. Tandis que l’avion approche du sol, l’espace aérien devient plus congestionné, les conditions météorologiques au sol risquent d’être bien pires que celles à 9000 mètres d’altitude et il se peut qu’il y ait encore d’autres avions sur les pistes d’atterrissage. Les pilotes doivent donc se fier au contrôleur aérien pour coordonner tous les détails, afin que tous les avions atterrissent sans causer d’incident. Sans le contrôleur aérien, le chaos serait inévitable.
TOUJOURS
Les mots toujours et jamais me plaisent énormément. Ils procurent tellement d’espoir ! J’aimerais croire que je pourrai toujours être heureux et que la vie ne me décevra jamais . Cependant, la réalité m’indique que je ne serai pas toujours heureux et que les choses que j’espère ne jamais voir se produire risquent justement d’arriver. Si agréables ces mots puissent-ils sembler, ils ont du mal à être à la hauteur de leur potentiel, à moins que vous ne pensiez à la promesse de la présence de Jésus.
RESTE AVEC MOI
La finale de la Coupe d’Angleterre de football (foot) constitue là-bas l’un des plus grands événements de l’année. Depuis plus de cent ans, ce jour suscite de l’exaltation, des festivités et des compétitions. Cependant, ce qui me fascine le plus, c’est la façon dont on y commence un match. On chante d’abord le cantique traditionnel : « Abide With Me » (Reste avec moi).
NOTRE PÈRE CÉLESTE
Lorsque Jésus nous a enseigné à prier, il a commencé ainsi : « Père ! Que ton nom soit sanctifié » (Lu 11.2). Il s’agit d’un des nombreux passages qui désignent Dieu comme un père. Je trouve à la fois fascinant et instructif le fait que, lorsque Dieu a voulu que nous sachions comment il était, il a choisi de mettre l’accent sur sa paternité.
NE CRAINS RIEN
Ma femme est tombée gravement malade pendant qu’elle portait notre deuxième enfant. Tandis que les médecins s’efforçaient de trouver le problème, elle ne cessait de s’affaiblir… dangereusement.
PAS CE QUE J’AI PLANIFIÉ
Ma vie ne se déroule pas comme je l’aurais cru. Je voulais me marier au plus tard à 19 ans, avoir une demi-douzaine d’enfants et vivre la vie d’une femme mariée et d’une mère. Au lieu de cela, j’ai travaillé, je me suis mariée dans la quarantaine et je n’ai jamais eu d’enfant. Pendant quelques années, j’ai espéré que le Psaume 37.4 soit pour moi une promesse sûre de la part de Dieu : « [Il] te donnera ce que ton cœur désire. »
LE VIEUX MOULIN À VENT
Un homme ayant grandi dans un ranch de l’ouest du Texas nous raconte l’histoire d’un vieux moulin à vent branlant qui se trouvait juste à côté de la grange de la famille et qui alimentait la maison en eau. C’était la seule source d’eau à plusieurs kilomètres à la ronde.