Le ménage de la maison
Dernièrement, j’ai changé de chambre dans la maison que je loue. J’y ai consacré plus de temps que prévu, car je refusais de simplement transférer mon désordre (considérable) dans une nouvelle chambre. Je tenais à repartir à neuf. Après avoir passé plusieurs heures à faire du ménage et du triage, j’ai déposé près de ma porte d’entrée des sacs remplis de choses destinées aux ordures ou au recyclage. Au terme de ce long processus épuisant, je me suis retrouvée dans une belle pièce où j’étais heureuse de passer du temps.
Ce n’est pas moi
En vacances, j’ai donné congé à mon rasoir en me laissant pousser la barbe. Mes amis et mes collègues y ont réagi de diverses manières, me complimentant pour la plupart. À la vue de ma barbe, j’ai toutefois décidé un jour qu’elle ne me représentait pas bien, alors j’ai ressorti mon rasoir.
Digne de confiance
Récemment, je suis allé dans une boutique de meubles où le vendeur m’a montré deux modèles. Le moins cher était une imitation bas de gamme. L’autre avait un autocollant confirmant sa valeur et sa qualité. Je pouvais être sûr qu’il était fiable et sécuritaire, car il avait été testé selon les normes rigoureuses de l’industrie.
Le meilleur cadeau de tous
Lors d’une retraite d’hiver en Nouvelle‑Angleterre, un des hommes a demandé : « Quel a été votre plus beau cadeau de Noël entre tous ? »
Quelle est votre valeur ?
On raconte qu’en l’an 75 av. J.‑C. des pirates auraient enlevé un jeune noble de Rome nommé Jules César pour qui ils auraient exigé une rançon de 20 talents d’argent (qui représenterait aujourd’hui une somme de 600 000 $). On dit que César aurait déclaré dans un éclat de rire qu’ils ignoraient manifestement qui il était. Il aurait alors insisté pour que ses ravisseurs augmentent leur rançon à 50 talents ! Pourquoi ? Parce qu’il estimait sa valeur être bien supérieure à 20 talents.
Non‑envoi
Vous est‑il déjà arrivé d’envoyer un courriel pour vous rendre compte soudain que vous l’aviez destiné à la mauvaise personne ou qu’il contenait des propos durs et blessants ? Si seulement on pouvait arrêter son envoi d’un simple clic de souris. Eh bien, on le peut désormais. Plusieurs entreprises offrent maintenant une option qui nous accorde un court laps de temps avant d’envoyer un courriel depuis notre ordinateur. Ensuite, le courriel se change en parole exprimée et que l’on ne peut donc plus reprendre. Au lieu d’y voir une panacée, l’option « non‑envoi » devrait nous rappeler qu’il est primordial de mettre une garde à nos lèvres.
Il vous perfectionnera
À sept heures pile, le réveille-matin sonne. Sophie se réveille avec un affreux mal de tête, mais en fait peu de cas. Elle repousse les draps et sort du lit. Soudain, tout devient noir ; Sophie est victime d’un AVC ; elle s’évanouit et tombe par terre. Malheureusement, des situations comme celle-là sont arrivées à beaucoup de personnes au cours des années.
Il ne s’épuise jamais
Lorsque j’ai demandé à une amie sur le point de prendre sa retraite ce qu’elle appréhendait le plus par rapport à sa prochaine étape de vie, elle m’a répondu : « Je tiens à ne pas manquer d’argent. » Le lendemain, mon conseiller financier m’a expliqué comment procéder pour éviter que cela m’arrive. Il est vrai que nous cherchons tous à savoir avec certitude que nous aurons de quoi subvenir à nos besoins pour le reste de nos jours.
Une vie honorable
En livrant un discours bien publicisé, un leader et homme d’État respecté a capté l’attention de sa nation en déclarant que la plupart des honorables membres du parlement (MP) étaient en réalité plutôt déshonorables. En évoquant des styles de vie citadins marqués par la corruption, l’arrogance, un langage grossier et d’autres vices, il a réprimandé les MP et les a exhortés à se ressaisir. Comme il s’y attendait, ses critiques ont mal été accueillies et lui ont valu une contreattaque.
D’une honnêteté saisissante
Lorsque le pasteur a demandé à l’un des anciens de conduire l’assemblée en prière, l’homme a pris tout le monde de court : « Je suis désolé, pasteur, mais je me suis querellé avec ma femme durant tout le trajet jusqu’à l’église, alors je ne me sens aucunement en état de prier. » Un malaise s’est alors installé, et le pasteur a dû prier lui‑même. Le culte d’adoration s’est poursuivi. Plus tard, le pasteur s’est promis de ne jamais plus demander à qui que ce soit de prier en public sans le lui avoir déjà proposé en privé.