Tant pis ? Trop tard ?

Christopher Hitchens est un célèbre athée qui débattait gaiement avec les chrétiens. En 2011, sur le point de mourir d’un cancer, il a déclaré que quiconque entendait dire qu’il s’était converti à Jésus sur son lit de mort devait y voir la preuve qu’il avait perdu la tête. Après sa mort, un débatteur et ami a indiqué que Christopher avait ainsi prévenu ses disciples parce qu’il savait que, face à la mort, il risquait de se tourner vers Christ par désespoir. Et qui sait ? C’était possible. On peut combattre Dieu toute sa vie et recevoir le salut par miséricorde dans ses derniers instants. Cela s’est déjà vu.

Le brigand crucifié avait mené une vie de criminel. Il a pourtant dit à l’autre malfaiteur crucifié : « Nous recevons ce qu’ont mérité nos actes, mais celui-ci n’a rien fait de mal » (LU 23.41). Il vivait maintenant ses dernières heures, horribles, alors que son agonie physique lui indiquait fatalement qu’il allait mourir.

Il avait gaspillé de précieuses minutes en se joignant initialement à ceux qui se moquaient de Jésus et qui l’insultaient (MC 15.32). Mais une fois crucifié, à l’heure de sa mort, il a considéré la dernière chance que lui offrait Jésus : « [Seigneur,] souviens-toi de moi quand tu viendras régner » (LU 23.42).

Dieu désire intensément sauver les gens, y compris ceux dont les heures sont comptées. Au lieu de nous concentrer sur ce que nous avons fait de mal, tournons-nous vers Jésus.

Mike Wittmer

Quels sont vos plus grands regrets ? Qu’est-ce qui pourrait vous amener à vous croire impardonnable ?

Seigneur Jésus, je me confie en toi, et en toi seul, car toi seul peux réellement me sauver.

Luc 23.43

Jésus lui répondit : « Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis. »

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