Des possessions chères
Jim et Jane ont éprouvé le sentiment exceptionnel qui nous anime lorsque nous retrouvons une possession chère perdue depuis longtemps. Plusieurs années après leur mariage en 1960, Jim a perdu son alliance dans les eaux du lac George, un lieu de vacances de la famille.
Des trésors qui durent
Un homme qui était concessionnaire automobile est devenu mieux « connu pour les voitures qu’il conservait que pour celles qu’il vendait ». Pendant la cinquantaine d’années qu’il a administré l’entreprise, il a conservé certaines voitures de prestige que les clients échangeaient ainsi que quelques modèles neufs.
Les frais cachés
Une agence de sécurité a installé un réseau Wi-Fi dans un lieu public de Londres. Lorsque les gens se connectaient au réseau, ils voyaient apparaître les conditions d’utilisation habituelles. Toutefois, il y avait une attrape machiavélique cachée à l’intérieur du texte.
Le corps est important
La revue The Week contient une rubrique Et puis quoi encore ? qui traite des événements actuels. Dans un numéro récent, on a demandé aux lecteurs de soumettre leurs réponses à une question concernant un commentaire du chef et vedette de la télé, Anthony Bourdain : « Votre corps n’est pas un temple, c’est un parc d’attractions. Profitez des tours. »
Nous avons un Prêtre
L’auteur William Willimon a raconté la fois où il a rencontré une femme atteinte d’un cancer, aux derniers moments de sa vie. Épuisée à force de se battre contre cette maladie, elle s’est cramponnée au crucifix qu’elle avait reçu de sa grandmère lorsqu’elle était fillette. C’était un symbole de ce que Jésus représentait pour elle. Lorsque Willimon est entré dans la chambre, il lui a demandé s’il devait faire venir un prêtre. La femme lui a tendu le crucifix qui arborait le corps de Jésus cloué sur la croix et elle a dit : « Merci, mais j’ai un Prêtre. »
Jalousie et générosité
Thomas J. DeLong, un professeur de la Harvard Business School a remarqué une tendance inquiétante parmi ses étudiants et collègues : l’obsession de la comparaison. Il a écrit : « Les chefs d’entreprise, les analystes de Wall Street, les médecins et autres professionnels sont obsédés par la comparaison de leurs réussites avec celles des autres [...] J’ai interviewé des centaines de professionnels ayant un grand besoin d’accomplissement au sujet de ce phénomène et je me suis rendu compte que la comparaison est devenue presque une épidémie. C’est mauvais pour les individus et pour les entreprises [et cela diminue la satisfaction]. » (Traduction libre) C’est particulièrement mauvais pour les croyants en Jésus.
Le péché mécontent
L’essayiste Joseph Epstein a écrit : « Des sept péchés capitaux, seule l’envie n’a rien de réjouissant. » Il a poursuivi en affirmant qu’elle nous fait paraître « cupide, méchant et avare » (Traduction libre). Beaucoup de recherches soutiennent l’affirmation d’Epstein. En fait, les psychologues ont découvert que l’envie réduit la satisfaction et le bien-être en plus d’être associée à la dépression et à la névrose. L’hostilité qui en découle peut même nous rendre malade physiquement.
Libéré du stress
Selon l’American Institute of Stress, les maladies liées au stress coûtent à l’économie américaine 300 milliards de dollars par année en factures médicales et en pertes de production. Quarante pourcent des Américains sont plus stressés qu’ils ne l’étaient il y a cinq ans. Les relations familiales, les défis au travail et même les études sont quelques-uns des facteurs de stress qui pèsent sur les citoyens.
Rendre la honte honteuse
J’ai mouillé mon lit jusqu’à l’âge de 12 ans. Il est difficile d’exprimer l’agonie ressentie lors de ces moments où vous vous réveillez au milieu de la nuit et que vos vêtements et vos draps sont mouillés. Honteux, je me dépêchais silencieusement de changer mes draps et mes vêtements, tout en faisant de mon mieux pour que rien n’y paraisse. Malgré tout, on le découvrait chaque fois. J’avais l’impression que j’étais un bon à rien, que j’avais échoué et qu’on désapprouvait mon incident.
Contemplez-le
À quand remonte la dernière fois où vous avez passé du temps dans le silence à apprécier la beauté de Dieu ? Un certain artiste chrétien croit que la contemplation de sa beauté est nécessaire à la vie chrétienne. L’auteur Joseph Sunde, dans un article de blog intitulé Beauty on a Bike Ride (La beauté lors d’une promenade à vélo), a cité l’artiste Mako Fujimura : « Peut-être la meilleure chose que nous pourrions faire en tant que communauté chrétienne est de contempler notre Dieu et sa création. »