Mois : janvier 2017

Tout abandonner

Lorsque je jouais dans l’équipe de basketball de mon université, je prenais consciemment la décision en début de chaque saison d’entrer dans le gymnase en me consacrant entièrement à mon entraîneur, résolu à faire tout ce qu’il demanderait de moi.

Les feux et la foi

Quand je fais de la randonnée et du camping durant plusieurs jours, les feux de camp sont essentiels. La chose la plus importante que j’ai sur moi lorsque j’amorce une journée c’est une poignée de morceaux de bois carbonisés par le feu de la veille. C’est le meilleur bois d’allumage qui existe. Pas besoin de trouver de petit bois ou de brindilles. J’allume les extrémités calcinées, je souffle dessus et je dépose quelques bûches sur le feu.

Un souffle de vie

Par une matinée froide et givrée, tandis que ma fille et moi marchions jusqu’à l’école, nous nous sommes amusées à regarder notre souffle se changer en vapeur. Nous trouvions comique de voir les divers nuages vaporeux que nous parvenions à créer. Or, j’ai accueilli ces instants comme un cadeau, celui d’être en compagnie de ma fille et en vie.

Priez sans cesse

Il y a un peu plus d’un an, j’ai pris la résolution d’être fidèle dans la prière. J’avais commencé l’année du bon pied, mais à mesure que les occupations s’accumulaient, j’ai eu de la difficulté à rester concentré lors de mes prières du matin, et mon corps exigeait plus de sommeil. Bâillement !

Un trésor à partager

En mars 1974, des fermiers chinois s’employaient à creuser un puits lorsqu’ils ont fait une découverte étonnante : ensevelie sous le sol aride de la Chine centrale se trouvait la fameuse armée de terre cuite – des sculptures d’argile grandeur nature datant du IIIe siècle av. J.‑C. Cette extraordinaire découverte archéologique comptait environ 8000 soldats, 150 chevaux de cavalerie et 130 chars tirés par 520 chevaux. Le lieu de la découverte de l’armée de terre cuite est devenu l’un des sites touristiques les plus prisés de Chine, attirant plus d’un million de visiteurs par année. Ce formidable trésor resté enseveli pendant des siècles est donc maintenant partagé avec le reste de la planète.

Avenir prometteur

On peut parfois me trouver en train de pratiquer de la musique de louange dans le sanctuaire de notre église. Le jeudi soir, lorsque les bancs sont vides, l’ambiance est totalement différente du dimanche matin alors que c’est salle comble ! Lorsque je suis seul dans le sanctuaire, il manque, d’une certaine façon, une partie de la gloire de Dieu, puisque cette gloire se trouve dans chaque croyant en Jésus.

De longues ombres

Il y a longtemps, ma femme et moi sommes descendus dans une auberge rustique du lointain Yorkshire Dales, en Angleterre. Il s’y trouvait quatre autres couples, tous Britanniques et inconnus de nous. Assis au salon un soir en train de prendre notre café de fin de repas, nous avons vu la conversation changer de cap : « Que faites‑vous dans la vie ? » À l’époque, j’étais président du Moody Bible Institute, à Chicago, dont j’ai présumé que personne ne connaîtrait le nom et le fondateur, D. L. Moody. Or, la mention de cette école m’a valu une réponse tant immédiate que surprenante : « De Moody et de Sankey… ce Moody‑là ? » Puis un autre client de l’auberge a renchéri : « On a à la maison un livre de cantiques de Sankey et la famille se réunit souvent autour du piano pour en chanter quelques‑uns. » Je n’en revenais tout simplement pas ! L’évangéliste Dwight Moody et son musicien, Ira Sankey, avaient tenu des réunions dans les îles britanniques plus de 120 ans auparavant, et leur influence s’y faisait encore ressentir.

Chasser les ténèbres

Au début de 2015, une fraternité de l’Université de l’Oklahoma aux États-Unis a été filmée en train de chanter une chanson offensante et raciste. Les autorités ont réagi rapidement et sévèrement, à juste titre. Que croyez-vous que le président de l’Association des étudiants noirs, Isaac Hill, a déclaré à ce sujet ? Après tout, le chant carrément raciste visait les Afro-Américains.

Trouver la vie

Les paroles du père de Ravi l’ont profondément blessé : « Tu es un bon à rien, la honte de la famille. » Contrairement à ses talentueux frères et soeurs, Ravi passait pour un sujet de déshonneur. Il s’est efforcé d’exceller dans les sports, ce qu’il a accompli, mais sans parvenir à se débarrasser de son sentiment d’échec. Il se demandait : Que va‑t‑il advenir de moi ? Suis‑je voué à tout échouer ? Comment pourrais‑je bien échapper à ma vie, d’une façon ou d’une autre ? Ces pensées l’obsédaient, mais sans qu’il en parle à qui que ce soit. Cela ne se faisait tout simplement pas au sein de sa culture, dans laquelle on lui avait inculqué ceci : « Garde tes douleurs pour toi‑même, et continue de tenir à bout de bras ton monde qui s’écroule. »

Satisfait en Jésus

La jeune mère a perdu du poids et a recommencé à se sentir attirante. Avec le temps, elle s’est lassée de son mari et de leur vie avec leurs quatre jeunes enfants. Elle sentait qu’elle s’était mariée jeune et qu’elle n’avait jamais eu la chance d’explorer d’autres avenues. Elle a fini par mettre en péril la stabilité de sa famille – son amour et son dévouement pour son mari et le bien-être de ses enfants – afin de satisfaire ses propres désirs. Ses voeux de mariage ne lui convenant plus, elle les a violés.