Le mariage de mes amis bat de l’aile. Pendant les mois durant lesquels ils ont suivi une thérapie de couple, j’ai cru qu’ils s’en tireraient, mais maintenant, j’en doute.

Leur relation est devenue si houleuse que, hier soir, alors que je priais, j’entretenais peu d’espoir à leur sujet. Je me suis demandé : Pourquoi prier s’il ne semble y avoir aucun espoir de réconciliation ?

Quand j’ai confessé à Dieu que j’étais fatiguée de lui parler de ce couple (je sais que mes propres amis ont vécu la même chose lorsqu’ils ont prié pour moi durant mes luttes personnelles), le Saint-Esprit m’a invitée à me tourner vers sa Parole. Ce faisant, je me suis souvenue…

• de continuer de les remettre à Dieu dans la prière, de « faire des prières, des supplications, des requêtes, des actions de grâces, pour tous les hommes » (1 TI 2.1 ; voir 1 S 12.23) ;

• que Jésus « peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur » (HÉ 7.25) ;

• de croire que Dieu « n’abandonnera point son peuple, à cause de son grand nom » (1 S 12.22), peuple duquel font partie mes amis dont le mariage est en difficulté, et qui ont professé publiquement leur foi en Jésus ;

• d’exhorter mes amis à ne pas se détourner de l’Éternel, mais à le servir de tout leur coeur (1 S 12.20).

Nous avons un Dieu qui comprend que nous nous lassons, et il nous invite à déposer nos fardeaux à ses pieds. Lui seul peut nous donner le repos et la force de persévérer dans la prière et les bonnes oeuvres (MT 11.28).