Des paroles qui ont du poids
À mes débuts dans l’équipe de la rédaction du Notre Pain Quotidien, je choisissais le verset de la couverture des méditations de chaque mois. Après quelque temps, je me suis mis à me demander si cela était utile. Peu après, une lectrice m’a écrit qu’elle avait prié pour son fils pendant plus de vingt ans, sans qu’il s’intéresse à Jésus. Puis un jour, il était passé lui rendre visite chez elle et avait lu le verset apparaissant sur la couverture du NPQ posé sur la table. Or, l’Esprit s’était servi de ce verset pour le convaincre, si bien qu’il a donné sa vie à Jésus à l’instant même.
Tenir ses promesses
Du regret. C’est ce que j’ai ressenti après mon premier jour de bénévolat. Selon moi, j’avais passé tout mon temps à ne rien faire, et je ne pouvais m’imaginer passer un autre précieux dimanche à recommencer la même chose inutile de 13 h à 21 h. Mais j’avais promis aux planificateurs de l’événement de les aider pendant deux dimanches.
Donnez au suivant
Je me plais à regarder des courses à relais. La force physique, la vitesse, l’aptitude et l’endurance requises des athlètes me remplissent d’admiration. Reste qu’un point crucial de la course capte toujours mon attention en particulier et m’angoisse un peu. C’est le moment où le témoin est remis à l’athlète suivant. Il suffit d’un instant de retard ou d’un simple manque de synchronisme pour vouer la course à une défaite.
Tant de choix
L’auteure Nancy Leigh DeMoss a écrit : « C’est déjà déplorable que je fasse des choix qui nuisent à ma relation avec Dieu. C’est encore plus sérieux s’ils incitent quelqu’un d’autre à pécher […] Je choisis donc la voie de la sainteté pour l’amour de Dieu et pour mon propre bien. »
Des paroles d’encouragement
Peu de temps après la mort de son père, C. S. Lewis, alors âgé de 30 ans, a reçu une lettre d’une femme qui avait pris soin de la mère de celui‑ci durant sa maladie l’ayant conduite à sa mort plus de deux décennies auparavant. La femme lui offrait ses condoléances et se demandait s’il se souvenait d’elle. Il lui a alors répondu : « Chère infirmière Davison, si je me souviens de vous ? Et comment ! »
Se justifier
Dans Les Confessions d’Augustin, nous pouvons suivre son parcours de vie : sa folle jeunesse, la fausse religion qu’il a embrassée et sa foi en Jésus. Ayant beaucoup de choses à confesser, Augustin était parfois tenté de se défendre. La traduction de l’une de ses prières va comme suit : « Seigneur, délivre-moi du besoin de toujours me justifier. »
Les portes de l’adoration
En entrant dans certaines des plus grandes villes du monde, on peut trouver de célèbres portes comme la Brandebourg (Berlin), la Jaffa (Jérusalem) et les Downing Street (Londres). Or, que ces portes aient été construites dans un but défensif ou cérémoniel, elles représentent toutes la différence entre se trouver dans ou hors de certains quartiers. Certaines sont ouvertes ; d’autres sont fermées à tous, sauf à quelques personnes.
Premiers mots
En 1865, vers la fin de la guerre civile américaine, le président Abraham Lincoln a prononcé ces paroles dans le cadre de son deuxième discours d’investiture : « Efforçons-nous de terminer le travail commencé, de panser les plaies de la nation, de prendre soin de ceux qui ont combattu, de leurs veuves et de leurs orphelins, et de faire tout notre possible pour instaurer et conserver une paix juste et durable entre nous et avec toutes les nations. »
De redoutables épreuves
Le feu peut être l’un des pires ennemis des arbres. Il peut aussi s’avérer utile. Des spécialistes disent que de petits feux fréquents nommés feux « cool » ont pour effet de nettoyer le sol d’une forêt en éliminant les feuilles mortes sans détruire les arbres. Ces feux laissent derrière eux des cendres qui conviennent parfaitement à la croissance des graines. Étonnamment, les feux de faible intensité sont nécessaires à la bonne croissance des arbres.
Prier dans la détresse
Le 27 octobre 2014, BBC Afrique a publié sur ses médias sociaux : « Aujourd’hui nous posons cette question : "Est-ce que la panique générale causée par l’Ebola est justifiée ?" Et nous sommes à la recherche d’appelants… Selon les statistiques, l’Ebola tue beaucoup moins de gens que la malaria ou d’autres maladies. Pourquoi domine-t-elle donc les manchettes ? »