Mois : juillet 2015

Équilibre essentiel

D’une voix tremblante, elle me parlait du problème qu’elle avait avec sa fille. Cette mère inquiète soupçonnait que son adolescente avait de mauvaises fréquentations. Elle a donc confisqué son téléphone mobile et elle la chaperonne partout où elle va. Mais leur relation est allée de mal en pis. Que devrait donc faire cette mère ?

Aider à porter une charge

C’est étonnant tout ce que l’on peut transporter sur un vélo. L’adulte moyen muni d’une remorque spéciale (et ayant un peu de détermination) peut utiliser un vélo pour remorquer une charge de 136 kilos à 16 km/h. Le seul problème : remorquer une charge plus lourde impose une progression plus lente. La personne qui remorque des équipements professionnels ou des biens personnels pesant 272 kilos ne pourrait progresser qu’à 13 km/h.

Il vous connaît

Il vous connaît. Il connaît chaque microcosme et nanoseconde de votre existence – chaque cellule, atome et molécule ; chaque intérêt, faiblesse et réalisation ; chaque espoir, rêve et peine.

La grâce dans notre coeur

Il y a quelques années, l’une des principales conseillères du président des États‑Unis a pris le général quatre‑étoiles Peter Chiarelli (le deuxième plus haut gradé de l’armée américaine à l’époque) pour un serveur lors d’un dîner officiel donné à Washington. Tandis que le général en question se tenait debout derrière elle dans sa tenue de cérémonie, la conseillère lui a demandé de lui apporter une boisson. Elle a alors pris conscience de son erreur, et le général a eu la grâce de la soulager de son embarras en remplissant joyeusement son verre et en l’invitant même à se joindre à sa famille au cours du dîner.

Une mauvaise réputation

Pendant des siècles, l’Église a eu la triste réputation d’entretenir des querelles amères et des désaccords brutaux. Les différentes confessions se dressent les unes contre les autres, et les membres d’une même confession prétendent connaître l’interprétation juste de l’Écriture et la façon de la mettre en pratique. Aujourd’hui, plusieurs dirigeants chrétiens encouragent plus d’humilité et moins de divisions dans la pratique de notre foi en groupe.

Gens ordinaires

Gédéon était quelqu’un d’ordinaire. Son histoire, racontée dans Juges 6, m’inspire. C’était un agriculteur, timide de surcroît. Lorsque Dieu l’a appelé à délivrer le peuple d’Israël de la main de Madian, Gédéon a eu pour réaction initiale de s’exclamer : « Ah ! mon Seigneur, avec quoi délivrerai‑je Israël ? Voici, ma famille est la plus pauvre en Manassé, et…

Persévérez dans la joie

Quand les gens sont dans un état comateux, il importe d’empêcher leurs muscles de se dégénérer. L’atrophie s’installe rapidement en l’absence de mouvement. De plus, la plupart des entraîneurs physiques vous diront que les muscles se développent après qu’ils ont été soumis à un stress. L’exercice intense crée de petites déchirures dans le tissu musculaire. En guérissant, le muscle devient plus fort et plus gros qu’il était avant l’épreuve. Notre corps doit connaître une certaine douleur pour conserver sa vigueur.

La marche lente

Caleb, cinq ans, souffrait d’un trouble grave du système nerveux, dont une paralysie temporaire. Angoissés, ses parents ont prié et attendu. Peu à peu, Caleb a commencé à se rétablir. Des mois plus tard, quand les médecins ont autorisé son retour en classe, il marchait d’un pas lent et incertain.

Familles et pendules

Mon ami d’âge mûr avait du mal à apprécier son Église locale. Il avait été élevé dans une famille qui accordait de l’importance à leur relation personnelle avec Dieu, mais qui se souciait peu de la religion organisée. Lorsque ses parents étaient plus jeunes, leur Église avait cessé de prêcher l’Évangile. Ils avaient donc commencé à se méfier de toutes les Églises. Ils ont transmis leur scepticisme à leur fils. J’espère qu’il ne tombera pas dans la surcompensation en favorisant l’adoration collective au détriment de son temps personnel de prière et de lecture de la Bible.

Ténèbres et lumière

Lorsque j’étais enfant, je livrais des journaux à environ cent quarante maisons dans deux rues reliées ensemble par un cimetière. Comme je livrais le journal du matin, je devais quitter la maison à 3 h et traverser ce cimetière de nuit. Il m’arrivait parfois d’avoir peur au point de le traverser au pas de course ! Je le redoutais jusqu’au moment de me retrouver en sécurité sous un lampadaire planté de l’autre côté. La lumière dissipait alors les ténèbres inquiétantes.