Un prophète de la fin de monde a prédit que Jésus reviendrait le 6 septembre 1994, puis le 21 mai 2011 et finalement le 21 octobre 2011. Il a même dit que Dieu avait arrêté de sauver des vies le 21 mai. Lorsque la dernière prédiction s’est révélée fausse, cet homme a finalement demandé pardon pour tous ses faux enseignements.

Pendant des siècles, les Juifs ont attendu que leur Messie vienne et devienne leur roi. Ils se sont questionnés à savoir si Jésus était celui qui devait venir (Lu 7.19), mais les pharisiens l’ont provoqué en lui demandant quand il établirait son royaume, puisqu’il se proclamait le Messie (17.20).

Jésus a dit que beaucoup essaieraient de deviner la date de son retour, disant : « Il est ici, il est là. N’allez pas, ne courez pas après » (v. 23). Il est inutile de prédire son retour. Comme la pluie de feu et de soufre qui est tombée du ciel sur Sodome, « [il] en sera de même le jour où le Fils de l’homme paraîtra » (v. 30). Jésus reviendra lorsqu’on ne s’y attendra pas (v. 26-29,34,35), aussi vite que l’éclair (v. 24).

Jésus reviendra lorsque le monde sera comme aux jours de Noé (v. 26,27) et de Lot (v. 28-30), lorsque la méchanceté des hommes sera grande sur la terre (Ge 6.5 ; 2 Pi 2.7,8), d’une violence sans précédent (Ge 6.11), et qu’ils établiront des relations contre nature (19.5).

Oui, Jésus condamnera ce monde méchant et corrompu lorsqu’il reparaîtra (Lu 17.26-30), mais non, Dieu n’a pas arrêté de sauver des âmes. Car Dieu « ne [veut] pas qu’aucun périsse, mais [veut] que tous arrivent à la repentance » (2 Pi 3.9). Il « veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité » (1 Ti 2.4). Il est encore temps de remettre sa vie entre ses mains. « Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut » (2 Co 6.2).