La vasque des Jeux olympiques de Londres de 2012 était magnifique. Conçue par Thomas Heatherwick, la sculpture spectaculaire était formée de 204 pétales de cuivre qui représentaient le nombre de pays participants. Malgré sa beauté, la vasque a suscité du mépris de la part de certains visiteurs qui ne pouvaient pas la voir.

Heatherwick a expliqué vouloir reproduire l’intimité des Jeux de 1948 en plaçant la vasque à l’intérieur du stade, du côté des spectateurs. Il savait que seuls ceux qui s’étaient procuré des billets pour la cérémonie d’ouverture des Jeux pourraient la voir en personne, que les spectateurs présents dans le parc Olympique pourraient la voir sur de nombreux écrans, et que les partisans à travers le monde pourraient la voir à la télévision ou sur Internet.

Il est étonnant que le comité d’organisation des Olympiques et des paralympiques de Londres ait accepté ce plan. C’évtait une approche si novatrice, mais de nombreuses personnes à Londres ne pourraient voir la vasque.

Heureusement, par la grâce et la miséricorde de Dieu, rien ni personne ne peut cacher ou éteindre la lumière de Jésus, « la lumière étant venue dans le monde » (Jn 3.19). « Jésus leur parla de nouveau, et dit : Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie » (8.12).

N’étant pas limitée à une vasque, la lumière de Jésus révèle Dieu aux nations (Lu 2.31 ; Jn 3.21) et nous permet de voir sa face, sa vérité et son coeur (Lu 1.79). « Car Dieu, qui a dit : La lumière brillera du sein des ténèbres ! a fait briller la lumière dans nos coeurs pour faire resplendir la connaissance de la gloire de Dieu sur la face de Christ » (2 Co 4.6, italiques pour souligner).

Merci Seigneur, car « [par] ta lumière nous voyons la lumière » (Ps 36.10).