Après qu’Adam et Ève ont désobéi à Dieu, la joie s’est perdue. Dieu les a chassés du jardin qu’ils habitaient afin d’éviter que pire se produise. S’ils avaient mangé de l’arbre de la vie après avoir mangé de celui de la connaissance du bien et du mal, ils auraient vécu à jamais captifs de leur misère.
La vie hors du jardin n’était pas facile. Adam et Ève ont dû travailler dur pour se nourrir. La réalité de la mort était partout, et les animaux se dévoraient entre eux. Pire encore, le premier-né d’Adam et Ève a tué son jeune frère. Que pouvait-il arriver de pire ? Le péché ayant pénétré leur vie, le couple était désormais incapable de l’empêcher de lui voler sa joie.
Cependant, Dieu avait un plan pour restaurer leur joie. Lorsque la mort est survenue, la joie a disparu du jardin, mais elle est revenue par la naissance – celle du Fils même de Dieu. « [Je] vous annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout le peuple le sujet d’une grande joie » (Lu 2.10). Jésus a grandi dans le but de guérir les malades, de donner la vue aux aveugles et de ressusciter les morts. Par contre, ce n’était là que l’ombre des choses à venir. Dieu est entré dans notre monde, a porté nos douleurs et a vaincu la mort, en nous donnant l’espoir qu’il tiendra la promesse qu’il nous a faite de mettre fin à la souffrance, à la tristesse et à la mort (Jn 11.25,26 ; 1 Co 15.3,4 ; Ap 21.4). Il n’y a donc rien d’étonnant dans le fait que la période de Noël procure de la joie !
Ben Guillot le 16 décembre 2012 à 21:35
Amen! Il s’agit de ce que j’ai appelé “le pire tragédie de l’humanité qui rend Noël si nécessaire!” À lire ici… http://benguillot.wordpress.com/2012/12/03/la-pire-tragedie-qui-rend-noel-si-necessaire/
Dans l’amour de Christ!
Ben