Spiridon Louis n’est pas très connu dans le monde entier, mais il l’est en Grèce, en raison de ce qui s’est produit en 1896 lors des jeux de la 1re Olympiade, qui se sont tenus à Athènes.
Lors de ces jeux, les Grecs se sont démarqués en raflant plus de médailles que toute autre nation. Toutefois, l’événement
qui a suscité le plus la fierté des Grecs était le tout premier marathon de l’Histoire.
Dix-sept athlètes ont participé à cette course de 40 km, mais c’est Louis, un simple ouvrier, qui l’a remportée. Pour le récompenser de ses efforts, le roi et sa patrie lui ont rendu hommage et ont fait de lui un héros national.
L’apôtre Paul s’est servi de l’analogie d’une course pour illustrer la vie chrétienne. Dans
1 Corinthiens 9.24, il nous exhorte non seulement à courir, mais aussi à courir de manière à gagner la course : « Ne savez-vous pas que ceux qui courent dans le stade courent tous, mais qu’un seul remporte le prix ? Courez de manière à le remporter. » Cette exhortation, Paul ne s’est d’ailleurs pas contenté de l’enseigner, mais il l’a également mise en pratique. Voilà qui explique qu’il ait dit dans sa dernière épître : « J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi » (2 Ti 4.7). Ayant achevé sa course, Paul attendait maintenant d’un coeur joyeux de recevoir la couronne de la victoire de la main du Roi des cieux.
1 Corinthiens 9.24, il nous exhorte non seulement à courir, mais aussi à courir de manière à gagner la course : « Ne savez-vous pas que ceux qui courent dans le stade courent tous, mais qu’un seul remporte le prix ? Courez de manière à le remporter. » Cette exhortation, Paul ne s’est d’ailleurs pas contenté de l’enseigner, mais il l’a également mise en pratique. Voilà qui explique qu’il ait dit dans sa dernière épître : « J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi » (2 Ti 4.7). Ayant achevé sa course, Paul attendait maintenant d’un coeur joyeux de recevoir la couronne de la victoire de la main du Roi des cieux.
Comme Paul, courez de manière à remporter votre course terrestre – et à plaire à votre Roi.
La course chrétienne n’est pas un sprint, mais un marathon.