Le 25 avril 1915, des soldats des armées australienne et néo-zélandaise ont débarqué sur la péninsule Gallipoli, s’attendant à une victoire rapide. Toutefois, la résistance féroce des défenseurs turcs a engendré une impasse de 8 mois au cours desquels des milliers de soldats ont été blessés ou tués des deux côtés.

Beaucoup de soldats évacués en Égypte sont passés par le camp du YMCA à l’extérieur du Caire, où l’aumônier Oswald Chambers offrait hospitalité et espoir à ces hommes si brisés et désillusionnés par la guerre. Avec beaucoup de perspicacité et de compassion, Chambers leur disait : « Aucun homme n’est le même après une agonie ; il est soit meilleur soit pire, et l’agonie chez un homme est presque toujours la première chose qui ouvre son esprit pour l’amener à comprendre le besoin de rédemption acquise par Jésus-Christ. Derrière les difficultés de ce monde, Dieu se tient les bras tendus, prêt à accueillir tout homme qui se confie en lui. La croix de Jésus est la preuve suprême de l’amour de Dieu. »

Paul a dit : « Qui nous séparera de l’amour de Christ ? » (Ro 8.35.) Sa réponse confiante a été que rien ne peut nous séparer de l’amour de Dieu en Christ (v. 38,39).

Quand nous sommes acculés au pied du mur, Dieu est là les bras ouverts.