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Un investissement sûr

J’étais assise sur le banc d’une boutique de cadeaux pendant que ma famille cherchait des souvenirs. Nous venions de monter près de 300 marches d’un escalier en colimaçon qui menait en haut d’un imposant monument. En m’appuyant contre le mur, mon regard s’est posé sur l’étalage le plus près de moi. Il était rempli de paquets de pièces de monnaie et de billets, des répliques de monnaies qui ne sont plus en circulation. La pièce de vingt‑cinq cents triangulaire m’a particulièrement intriguée. Sa seule ressemblance avec les pièces de monnaie courante était sa couleur. Je me suis mise à réfléchir à son inutilité sur le marché d’aujourd’hui.

Gloire et autorité

Jean a consigné pour nous deux événements qui se sont produits au début (probablement dans les premières semaines) du ministère public de Jésus. Il a accompli le premier de ses 35 miracles consignés durant un mariage à Cana. Il a changé de l’eau pure, utilisée pour le lavage cérémoniel, en du vin de qualité supérieure (Jn 2.1‑11). On nous offre bien plus qu’un Jésus au coeur tendre et compatissant qui aide un nouveau couple marié à sortir de l’embarras alors qu’il manquait de vin trop tôt. On nous offre un avant-goût de sa puissance transformatrice !

Fondement

La pièce était dans un état lamentable. Les bureaux semblaient avoir été déplacés sans soin, le sol était couvert de maïs soufflé et les tableaux affichaient un conglomérat d’oeuvres d’art abstrait. Ma salle de classe avait servi de salle de repos et de divertissement pour des acteurs d’âge primaire qui s’y rendaient entre les quelques scènes qu’ils jouaient dans une comédie musicale du lycée. Le rideau final était maintenant baissé, et je parcourais les dommages du regard avant de me mettre au travail en balayant et en nettoyant. Lorsque j’ai rabattu le grand tapis à l’avant de la salle, les mots écrits sur le dessous ont attiré mon attention.

LE LAISSER DERRIÈRE SOI

Pendant environ un an après que notre adolescent a obtenu son permis de conduire et s’est mis à utiliser un portefeuille, plusieurs personnes nous ont téléphoné pour nous informer qu’elles avaient trouvé son portefeuille quelque part. Nous avons donc conseillé à notre fils de se montrer plus prudent en évitant de le laisser derrière lui.

TROP TARD POUR CHANGER ?

Il existe dans de nombreuses langues des dictons illustrant la difficulté de se défaire d’habitudes bien ancrées. En français : « On n’apprend pas à un vieux singe à faire la grimace. » En anglais : « On n’enseigne pas de nouveaux trucs à un vieux chien. » En espagnol : « Le vieux perroquet ne saurait apprendre à parler. »

Chemin étroit, vie éternelle

L’un des mythes modernes les plus répandus est l’idée qu’une vie sans limites, c’est la liberté. Un mode de vie permissif nous rend libres pour un temps, mais il finit par nous piéger. Nous nous exclamons de façon ridicule : « Je suis libre ! Je suis libre ! » alors que nous retournons dans notre cage et verrouillons la porte.

La vie... avec Dieu

Chaque mois, plus de 500 000 personnes recherchent « sens de la vie » sur Google. Pourquoi suis-je ici ? On y trouve des réponses allant de « Il n’y a pas de sens à la vie » à « Le sens de la vie c’est ce que tu en fais. » Examinons la signification de deux mots grecs signifiant « vie » dans le Nouveau Testament : psuché qui veut dire « naturel, la vie créée » ; et zoé qui veut dire la « vie éternelle et surnaturelle de Dieu ». Il est possible d’avoir la psuché mais non la zoé… ou d’être biologiquement vivant, mais spirituellement mort.

La vraie vie

Lors d’un récent week-end de retraite, quelques amis et moi avons lu les Évangiles à haute voix. Le chalet que nous avions loué, situé dans un décor enchanteur, appartenait à une communauté religieuse. Nous avons assisté à quelques-uns de leurs services et avons enduré leur adoration terne et sans joie. Plus tard, lorsque nous nous sommes entretenus avec les dirigeants des services, nous avons découvert que les valeurs qu’ils prônaient ne correspondaient pas du tout au christianisme biblique. À ce moment-là, nous avons réalisé qu’il n’y avait pas que leur louange qui manquait de vraie vie.

Le mal

La question du mal est la première raison que les gens invoquent pour ne pas croire en Dieu. Ils allèguent qu’un Dieu bon ne permettrait pas au mal d’exister, et qu’un Dieu omnipotent serait capable de l’éradiquer. Pour eux l’existence du mal signifie donc que Dieu n’est ni infiniment bon ni tout-puissant, si bien qu’ils en concluent qu’il n’y a pas de Dieu.

PLUS DE LUI, MOINS DE MOI

Quand j’étais pasteur d’une Église, au début de mon ministère, ma fille Libby m’a demandé : « Papa, sommesnous célèbres ? » À cela, j’ai répondu : « Non, Libby, nous ne le sommes pas. » Après avoir réfléchi un instant, elle m’a dit d’un ton plutôt indigné : « Eh bien, nous le serions si plus de gens nous connaissaient ! »